Institut Trueman
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[Terminé] "Où est-ce que tu vas ?" me crie mon aimée "Prenons un kawa, je viens de me lever."

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Basilio Tsumi
Mieux côté que le sous-fifre du recrutement.
Basilio Tsumi
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Feat : Aidan Gallagher
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Je suis aussi : Neville, Henry, Anto & Gaston
Pseudo : Synicareless
Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.

Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici... Rolling Eyes



[Terminé] "Où est-ce que tu vas ?" me crie mon aimée "Prenons un kawa, je viens de me lever." 4f1c27d476d19772d3a8783bb8812abaf40850c6
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
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Jeu 27 Fév - 4:12
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Featuring Barbie Casse-Noisette
L’institut Trueman était un endroit machiavélique. Les professeurs étaient des gros cons d’ex super-vilains se pensant trop bien pour tout le monde, les secrétaires étaient, pour la plupart des putains de momies (bonjour pour les comprendre), la directrice était une folle alliée du cul (du cul de Barthélémy Leclercq, plus précisément) et puis… MÊME LES INSTALLATIONS DE CETTE FICHUE ECOLE ÉTAIT POURRIES. Enfin, plutôt, basiques. Car encore une fois, Basilio Tsumi se trouvait bloqué dans une situation délicate à cause de son fauteuil.

Oh, bien sûr, Basilio était habitué à cette vie et la plupart du temps, il se baladait avec l’ADN d’un télékynésiste dans les veines, histoire de pouvoir se déplacer où il le souhaitait. A force d’être emmerdé par le manque d’aménagements pour sa pomme, il s'était adapté le petit. Sauf que là. Il ne l’avait pas. Ce pouvoir. Ou plutôt, il ne l’avait plus.

Pourquoi ? Parce qu’un IDIOT (ou un élève aussi machiavélique que cette école…) avait bu dans son verre sans que Baz ne s’en rende compte. Déposant sa salive. Et son pouvoir. De merde.

Comment il le savait ? Parce que. Maintenant. Lorsque. Basilio. Tsumi. Parlait. Il. Crachait. Des. Bulles. De. Savon. Il allait buter quelqu’un dans cette école. Il ne savait pas qui (enfin, si, ça, si, il pensait savoir qui allait être sa cible), quand, où comment, mais il allait faire un homicide, parce que…

PARCE QUE DU COUP BASILIO ÉTAIT TROP PETIT, SUR SON MISERABLE FAUTEUIL, POUR ATTEINDRE LA FENTE DE LA MACHINE A CAFE POUR METTRE SA PIECE ET AVOIR SON DOUX BREUVAGE. Dix minutes qu’il essayait de se soulever de son fauteuil, mais dès qu’il devait retirer un bras pour mettre la pièce, aussitôt il retombait.

« Bordel… c’est un cauchemar… » dit-il, créant des bulles de savon qui s’éparpillèrent dans l’air. Heureusement qu’il était seul dans le foyer…

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Basilio Tsumi
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Barbara Gward
Plus surcôté qu’un fapfap! (Enfin, que Neville, mais quand même!)
Barbara Gward
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Feat : Sadie Sink
© Avatar : letsheresy, Signature : bat'phanie
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Je suis aussi : Artémis Leclercq
Pseudo : The Voice
Super-pouvoir : Jacques a dit : Barbara utilise la parole pour plier les autres à sa volonté. Il lui suffit d'utiliser la formule "Jacques a dit" pour que la suite de sa phrase devienne un ordre que son interlocuteur doit exécuter, qu'il le veuille ou non.

Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.

Bazbie for the win <3
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
Les Petits + : Sœur à 100% de Shana, Emma et Pascal, c'est aussi la demi-sœur de Sasuke, la belle Azalée et... Harry.
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Ven 27 Mar - 2:23
Opération Caméra CaféBaz-à-roulettes & Barbie casse-noisettesCette école laissait franchement à désirer. Le personnel était aimable comme une porte de prison, elle n'aurait même pas donné la nourriture servie ici à ses poneys, les prolétaires mal fagotés étaient légion et en plus, EN PLUS, elle devait partager sa chambre avec un MEC. Un vieux, qui plus est, qui aurait pu lui apparaître fort attractif s'il n'était pas si taciturne - si au moins il la laissait se rincer l’œil... Le bon côté ? Elle pouvait voir Azalée, bien sûr, autant qu'elle le voulait - elle faisait son affaire de son déchet de frère. Il y avait aussi Shana et Emma, bien qu'on ait eu l'idée stupide de les mettre dans des groupes différents. M'enfin, elle ne s'en plaignait qu'à moitié, elle préférait son uniforme rouge à leur doré trop clinquant... Au moins, la couleur ne jurait pas trop avec le teint de Shana.
On ne pouvait pas trop se plaindre de son comportement, à vrai dire. Barbara s'adaptait doucement mais sûrement à la vie en internat, et pour le moment, n'avait pas provoqué de grands dégâts - excepté sur la personne du cancrelat j'ai nommé Harry qu'elle s'évertuait à piétiner quotidiennement dans l'espoir de le pousser à la dépression, ou mieux, au suicide (c'était tellement plus drôle que de se contenter de lui demander de se pendre avec ses lacets). Elle se sentait d'humeur... magnanime. Elle n'avait même pas intimé à son nouveau colocataire de dormir sur le palier, roulé en boule comme un chien. Sa bienveillance soudaine n'était pas tout à fait liée à de bonnes résolutions prises sur le tard. En vérité, la jeune Barbara, adolescente aux hormones furieusement actifs, planait beaucoup trop pour prendre de force la considération qui lui était due par droit de naissance. Il y avait ce garçon. Ce n'était pas n'importe quel garçon. Dès que son regard avait croisé le sien, l'été dernier, elle n'avait plus pensé à rien d'autre qu'à leur rencontre. Elle ne savait pas très bien comment expliquer ce qu'elle avait éprouvé. Elle avait bien cru que son cœur allait exploser en mille morceaux dans sa poitrine et la tuer sur le coup. Il était beau, intelligent, avait cet accent aussi particulier que délicieux qui ressortait à chaque mot et les yeux bleus les plus incroyables. Il était... parfait. Et surtout, surtout, SURTOUT, il fréquentait cet internat, lui offrant tout le loisir d'observer le moindre de ses faits et gestes. Ça n'avait rien de bizarre, après tout, elle voulait simplement mieux apprendre à le connaitre. Tout spécialiste se devait d'étudier son sujet ; on ne devenait pas professionnel de la faune en apprenant le tricot... Comment savoir quel genre de fille il aimait si elle ne l'observait pas ? Si elle ne le suivait pas assidûment sur les réseaux sociaux et si elle n'apprenait pas tout ce qu'elle pouvait sur son cadre familial ? Elle avait déjà parcouru tous les articles parlant de lui ou de n'importe lequel de ses proches. A présent, il était grand temps de passer aux choses concrètes, d'avoir une expérience sur le terrain. Il était encore trop tôt pour établir l'emploi du temps détaillé de l'adolescent, mais elle ne doutait pas d'être capable de reconstituer le moindre de ses faits et gestes sous quelques jours - une semaine, tout au plus, si elle se laissait vraiment aller. En attendant, elle se contentait d'interroger les pensionnaires quand elle partait à la chasse. Il y en avait toujours au moins un pour savoir où se trouvait Basilio Tsumi, qu'il soit loquace ou bien... qu'elle doive l'aider un peu.
C'est donc avec une confiance absolue en sa source (une jeune FDP timide qu'elle avait gentiment encouragée à parler) que l'adolescente pénétra dans le foyer et repéra sans mal l'adolescent, très facile à pister dans son fauteuil roulant - ça lui donnait un air à la Professeur Xavier qui n'était pas déplaisant. La pièce était vide, à l'exception de Basilio, prostré devant la machine à café, qui grommelait dans sa barbe.

- Besoin d'aide ?

Elle arborait un large sourire minutieusement passé au gloss. Ses grand yeux gris bleus avaient eu droit à un trait d'eye liner directement emprunté à Audrey Hepburn et du mascara pour mettre en valeur ses longs cils blonds. Ses pommettes n'étaient pas en reste, subtilement rehaussées d'une touche de blush rose pêche. Son uniforme était impeccablement repassé et ses cheveux retombaient sur ses épaules en belles boucles bien formées. Elle voulait mettre toutes les chances de son côté pour que Basilio la trouve jolie. Pour qu'il soit bien forcé de la trouver jolie.

- Je peux te commander quelque-chose, peut-être ?, minauda t-elle d'un air ingénu, les bras croisés dans le dos.

De toute évidence, tout coincé qu'il était sur son fauteuil, le garçon était bien incapable d'atteindre la fente de la machine à café, ce qu'elle trouvait, à vrai dire, vraiment aberrant - quel genre d'établissement digne de ce nom n'était pas équipé pour accueillir les élèves handicapés ? duh, c'était du bon sens ! C'était très triste, oui, mais Barb ne pouvait pas nier que d'un point de vue plus pragmatique... ça l'arrangeait bien.
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Barbara Gward
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Basilio Tsumi
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Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.

Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici... Rolling Eyes



[Terminé] "Où est-ce que tu vas ?" me crie mon aimée "Prenons un kawa, je viens de me lever." 4f1c27d476d19772d3a8783bb8812abaf40850c6
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
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Ven 27 Mar - 4:14
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Featuring Barbie Casse-Noisette
Désespérément désespéré dans son désespoir (oui, à ce point, Baz voulait son kawa.), il sursauta en entendant une voix. Même pas les pas. La voix, pour vous dire à quel point ça n’allait pas, si son radar a boulet (donc à étudiant de l’Institut Trueman) n’avait pas fonctionné. Le regard de l’adolescent se porta d’abord sur les hauteurs de la pièce pour voir éclater la dernière bulle de savon. … Avec un peu de chance, la fille (d’après la voix) n’avait rien vu ! Croisant intérieurement les doigts, il descendit ses yeux et se tourna vers … Une rouquine.

Dans ses souvenirs, elle n’avait dû arriver qu’il y a peu… Même s’il eut une impression étrange en la voyant. Pas du genre à profiter de ses temps libres pour aller dehors, un souvenir de cette fille sans son uniforme lui revenait à la mémoire mais…C’était flou. Peut-être qu’il rêvait. Ou qu’il l’avait vu à son premier jour donc en civile… Pourquoi son cerveau se retournait-il ainsi ?

Le bon point dans tout ça, c’était qu’elle était une Oméga. Comme lui. Qu’elle avait un bon pouvoir et sa place véritable chez les super-vilains. Et ça lui offrit donc un Basilio plus enclin à accepter son offre. Du moins, sur un ton plus agréable que si elle avait arboré un costume aux bordures grises, dorées, ou pire, vertes. Dans tous les cas, en manque de caféine… Il aurait accepté. A contre cœur. Mais pas là. Là, il tendit docilement sa pièce d’un euro à sa « sauveuse » en faisant un oui de la tête et recula pour lui laisser de la place. Puis, une main devant sa bouche (pour que les bulles qu’il crachait ne se voient pas et éclatent direct au contact de sa peau), Basilio finit par faire entendre le son de sa voix. Un peu brouillé par les bruits d’éclats de bulles… La honte.

« Un ca(ploc) (ploc)long s’il te(blop) plait. » Bon dieu, que c’était un enfer cette mutation… Il allait faire des recherches et trouvait qui osait se penser de la veine d’un super-vilain avec un tel pouvoir de merde. « P(ploc)rends-toi(blob) un truc si(bloblob) tu veux, il y a assez. » Toujours la main devant la bouche. Uniquement pour la remercier. Car elle était agréable. Et n’avait eu aucun trait de pitié à son encontre. Elle n’avait pas tiqué. Un comportement aussi impeccable que n’offrait son apparence. C’était rare ici… Mais grandement appréciable.

Ainsi sur le côté, lui ayant laissé toute la place nécessaire pour choisir la (ou les) boisson.s, Basilio pouvait l’observer. En toute discrétion, en patientant, silencieusement. Jusqu’à ce qu’un hoquet ne le prenne et qu’une bulle ne s’échappe de sa bouche qui n’était plus cachée par ses mains depuis quelques secondes. Même si pour le coup, en voyant cette boule de savon virevolter, il se plaqua aussitôt les deux mains sur sa bouche… Tandis que le flocon transparent alla s’éclater sur le bout du nez de la rouquine. C’ÉTAIT RIDICULE. Et Basilio se sentit gêné, ses pommettes rouges devant ce spectacle pitoyable.

« SORRY! »... Blub.

L’anglais était sorti tout seul, ancré dans sa personnalité lorsque son propre comportement lui échappait. Bon, il ne se corrigea pas, tout le monde sur terre devait connaitre la signification de ce mot banal ! Mais dieu, qu’il avait honte. Il avait envie de se barrer en roulant dès que son café serait prêt…

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Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.

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Dim 29 Mar - 1:28
Sortir de sa bulleBaz-à-roulettes & Barbie casse-noisettesIl hocha vigoureusement la tête, ce qui ne fît qu'élargir le grand sourire de la jeune fille. Elle reçut sa pièce avec un sentiment de satisfaction hâtif, qui ne l'empêcha pas de s'étonner de son silence. Ne parlait-il donc pas ? Elle se souvenait pourtant qu'il parlait, elle n'aurait pas eu le cœur qui s'emballait pour un muet. Ou peut-être que si, finalement. Il y avait des personnes qu'elle aimait mieux silencieuses ; les bêtises qu'elles proféraient lui écorchaient les oreilles - au figuré, bien heureusement, quoiqu'elle ait parfois littéralement exigé que des langue soient passées au savon, ce qui était encore une autre histoire.
Mais Basilio parlait, lui, il parlait derrière sa main, d'une manière étrangement saccadée qui n'avait rien avoir avec son accent. Barbara retint un froncement de sourcil. Il avait l'air de retenir un hoquet, ou bien peut-être d'essayer de camoufler une mauvaise haleine matinale. Elle préférait quand même voir son visage... pas qu'elle ait particulièrement envie de subir des relents de chicots pourris... mais enfin, les soubresauts de ses phrases la faisaient quand même opter pour le hoquet. Ça ne la gênait pas, le hoquet. C'était même mignon, le hoquet. Presque aussi mignon que de lui proposer de se prendre quelque-chose avec le reste de monnaie, ce que Basilio n'avait pas manqué de faire comme un parfait gentleman. La rouquine avait envie de sourire béatement, ce qu'elle ne fit pas, par peur d'avoir l'air cruche, pour ne pas dire carrément conne. Elle voulait apparaître cool, détendue, souriante mais pas comme une hôtesse d’accueil aux dents trop blanches et au rouge à lèvres trop agressif qui parlait d'une voix mielleuse et haut perché. Elle voulait trouver un juste milieu, avoir l'air naturel  pour être mignonne, sans toutefois avoir l'air de faire trop d'efforts pour l'être - Gosh, ce que ça prenait comme boulot d'être agréable...
Elle laissa Basilio décaler son fauteuil avant de prendre sa place devant la machine pour commander. Un café long pour monsieur, et pour elle ? Eh bien... elle resta quelques instants prostrée devant l'appareil, sans conviction, avant de choisir la même chose que l'adolescent, pleine d'un dépit voilé. Comment l'exprimer avec tact ? Elle... ne faisait pas dans le jus de chaussettes. Elle avait l'habitude que son père fasse importer de l'arabica pur d'une petite récolte bio d'Ethiopie. Les machines à café, très peu pour elle. Mais voilà, Basilio lui offrait le café, et elle aurait bu le filtre d'une cafetière si il lui avait proposé aussi gentiment.
Un breuvage fumant dans chaque main, elle laissa un hoquet de surprise lui échapper lorsqu'une bulle de savon lui éclata sur le nez. Ses grands yeux bleus s'élargirent d'étonnement. Il était assez probable qu'elle se soit mise à loucher et fuck, elle avait prévu de faire autrement plus glamour...

- SORRY !

Ses yeux se reposèrent sur Basilio qui produisait une nouvelle bulle de savon entre ses lèvres.  D'accord. Il faisait des bulles. Mieux que ça, il hoquetait des bulles. Le garçon semblait ne plus savoir où se mettre et avait viré au rouge pivoine. Merde. C'était mignon. C'était super mignon. L'adolescente ne pût retenir un léger éclat de rire avant de se mordre la lèvre, dans une tentative assez peu concluante pour reprendre le contrôle de son visage. Elle était à peu près sûre d'avoir elle-même viré légèrement au rose, parce qu'il fallait être honnête : toutes ses émotions se voyaient toujours très facilement sur sa peau de rousse, avec ou sans blush - il y avait des fois où elle enviait vraiment le teint mat d'Emma. Il était grand temps de se reprendre avant de finir à balbutier et bégayer comme une idiote - oh non, elle ne laisserait pas ça arriver, plutôt s'enfoncer son gobelet dans la gorge et s'étouffer avec.

- That's okay, finit-elle par répondre, presque timidement (A l'aide !), dans un très bon accent anglais en tendant son café au garçon.

Bien entendu, elle avait appris à parler à Londres avec des professeurs payés une petite fortune ; évidemment, duh. Reprenant d'avantage contenance, elle enchaîna avec un sourire plus étudié :

- J'ignorais que le verbe "buller" était à prendre au sens littéral, plaisanta-t-elle dans une tentative pour détendre l'atmosphère.

Mignonne ou pas, elle n'était pas le genre à faire dans l'empathie et encore moins dans la compassion dégoulinante. Il faisait des bulles, bon, ça devait être d'un inconfort sidérant, mais elle ne voyait pas l'intérêt de le plaindre. Elle ne se moquait pas non plus, d'ailleurs, elle n'avait vraiment pas l'air de se moquer de lui, ni dans son expression, ni dans sa façon de parler. Elle aurait pu, dans d'autres circonstances, mais pas avec Basilio. Bizarre de se dire qu'elle le prenait comme un égal... Dérangeant, presque... Elle n'avait vraiment pas l'habitude de ne pas prendre les gens pour des abrutis à manipuler comme des pantins décérébrés. De fait, les gens étaient généralement des abrutis aussi faciles à manipuler que des pantins décérébrés...
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Barbara Gward
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Mer 15 Avr - 7:58
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Basilio détestait perdre le contrôle, que ça soit de son apparence comme de son mental. Sentiments, émotions, réactions, mimiques, voix, paroles, tout devait être constamment contrôlé à la perfection pour correspondre à une certaine image figée et visée. Après tout, il se jetait dans la gueule du loup en faisant sa scolarité ici -avec son passé de super-héros caché...- alors il fallait tenir certaines apparences et… Comment dire que cet instant fut un échec ?

Cependant Basilio savait quand la situation était critique ou non. Et là, elle ne l‘était pas. Il était juste en face d’une adolescente qui lui offrait une aide tout à fait normale, sans offrir un quelconque regard de pitié ou tout autre geste montrant de la peine pour lui. Ça n’était qu’une situation banale entre deux étudiants. Rien de plus anormal. Si ça n’était ces fichues bulles de savon qui s’échappaient de sa bouche. Bon, par contre, ça, ça faisait tellement mal à l’égo ! (Oui, après la question de la sécurité, arrivait la question de l’égo. Et encore, étonnez-vous que cela arrive dans cet ordre-là, avec Basilio Tsumi, l’inverse aurait pu être tout à fait possible…) Mais avec une gêne partagée… et donc avec une égalité, l’américain vécut mieux le ridicule de la scène. Elle était encore plus rouge que lui ! Bon, elle était rousse, ça aidait pas mal à rattraper le teint pâle de l’adolescent qui connaissait la même problématique de changement de couleurs ! Mais dans tous les cas, ça l’aida à ne pas prendre mal son éclat de rire. Mieux, encore, le fait qu’elle parle dans son langage natale l’aida davantage à être appréciée. Même avec une petite touche d’humour qui fit s’envoler très légèrement une commissure de Baz.

Pourquoi n’était-il pas sur ses gardes ? Ou rien que neutre ? Quelque chose clochait et sa conscience semblait carburer et prêt à secouer son inconscience dans tous les sens pour lui faire cracher ce mystère.  Pendant ce temps, l’amerlock finissait par éloigner l’une de ses mains de sa bouche pour récupérer son café qu’il aurait déjà pu boire si l’Institut n’était pas une école totalement stupide et faisant fi des handicapés. Et c’est tout en continuant de bloquer (et de faire éclater par simple contact avec sa peau) les bulles qu’il finit par répondre à… une tentative de plaisanterie ? Ok, ça avait marché.

« Il l’est seulement quand on a un pouvoir de merde... » répondit-il avec un certain sarcasme, et laissant échapper un soupir de fatigue face à cette situation. « Merci beaucoup... » Café. Café. Il avait son café. Son breuvage pour survivre dans ce monde de crétins finis. Il appréciait la chaleur dans sa main que lui prodiguait le gobelet. C’était… réconfortant. Tout comme l’odeur du café qui ressemblait, malgré sa différence de qualité en terme de goût, à celle d’un café qu’il avait visité, en…

Ses yeux focalisés quelques secondes sur son café remontèrent aussitôt avec un air perplexe sur l’inconnue. Ca arrivait. Ca revenait. Son cerveau faisait des liens étranges avec un de ses voyages. Il se revoyait dans un train, il se rappelait de ce fumet qui embaumait entièrement l’air dans ce petit restaurant, un mélange de café et d’air iodé mais… ça continuait de lui échapper. Et sous cette interrogation qui continuait d’exister, il finit par craquer.

« On se connaît toi et moi. Mais pas d’ici. Comment... tu... t’appelles déjà...? » Réfléchissant en même temps comme s'il se posait également la question, sa main laissa échapper quelques bulles qui le firent soupirer. Regard braqué sur elle, il ne la quitta pas des yeux tout en tournant son fauteuil légèrement vers la droite, roulant vers une table ou il déposa sa boisson. Il voulait sa réponse. Ou son cerveau allait exploser à force de chercher autant dans sa mémoire. Il lui suffisait juste d’un nom, un prénom, ça l’aiderait, en plus de son visage avec lequel il se rappelait clairement avoir partagé une conversation. Pas désagréable, en plus. Son radar à boulet se serait mis en route sinon. Peut-être était-ce pour ça aussi, qu’il n’était pas resté figé devant elle et qu’il était retourné à son emplacement initial (avant son envie de café), comme si sa compagnie n’allait pas le déranger plus que ça, si elle s’y rajoutait.

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Super-pouvoir : Jacques a dit : Barbara utilise la parole pour plier les autres à sa volonté. Il lui suffit d'utiliser la formule "Jacques a dit" pour que la suite de sa phrase devienne un ordre que son interlocuteur doit exécuter, qu'il le veuille ou non.

Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.

Bazbie for the win <3
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
Les Petits + : Sœur à 100% de Shana, Emma et Pascal, c'est aussi la demi-sœur de Sasuke, la belle Azalée et... Harry.
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Mer 6 Mai - 4:17
Hey, I just met youBaz-à-roulettes & Barbie casse-noisettesSa remarque était parvenue à lui arracher l'esquisse d'un sourire, ce dont elle s'estima très satisfaite, et presque... ravie. Barbara ne savait pas ce qu'il y avait chez Basilio Tsumi, entre tous les autres, qui lui faisait cet effet-là. Elle voulait lui plaire, certes, mais au delà de ça, elle avait aussi envie de... de lui faire... plaisir ? C'était incongru, pour ne pas dire irrationnel - après tout, elle ne lui avait réellement parlé qu'une seule fois dans son existence - et pourtant bien trop plaisant pour qu'elle consentit à laisser son esprit logique reprendre le dessus. Oui, décidément, il y avait quelque-chose chez Basilio Tsumi, et elle finirait bien par mettre le doigt dessus.

- Il l’est seulement quand on a un pouvoir de merde, finit-il par répondre.

Et ce, avant de rajouter un timide remerciement que Barbara accueillit d'un mouvement de tête. Devait-elle lui dire qu'elle comprenait ce qu'il voulait dire, car elle connaissait déjà beaucoup de ses capacités ? Il avait répliqué le pouvoir tout moisi de faire des bulles, voilà, elle le savait, mais lui avouer cela risquait peut-être de le braquer, il se demanderait certainement d'où lui venait une telle information. Elle pourrait alors lui remémorer leur rencontre de l'été passé, sur le littoral breton. Oui, pourquoi pas. C'était une façon comme une autre d'amener la chose, après tout.
Plongée dans ses pensées, elle trempa machinalement les lèvres dans son "café" et retint une grimace répugnée. La prochaine fois, elle tâcherait de voir si cette foutue machine ne faisait pas du thé. Il fallait vraiment du matériel criminellement bas de gamme pour rater un thé à ce point-là. Si cela n'avait tenu qu'à elle, elle aurait sans nul doute jeté l'insipide liquide dans les plantes - elle ne se serait même pas approché de la dite machine, pour commencer. Mais voilà, Basilio était là, face à elle. Elle avait un plan bien précis en tête, et passer pour une gamine capricieuse aux exigences princières n'en faisait pas partie. Non sans réticence, elle sirota donc son café à petites gorgées.
Son interlocuteur n'était quant à lui pas aux prises avec ce genre de désagréments. La lassitude semblait - surprenamment - quitter les traits de Basilio à mesure qu'il ingurgitait sa propre mixture. Il continuait de hoqueter des bulles à intervalle réguler, et bientôt, il leva les yeux de son gobelet pour les fixer droit sur Barbara. La jeune fille sentit son cœur pris d'un léger rebond, qu'elle fît le choix d'ignorer. L'adolescent ne semblait pas tant la reluquer que réfléchir intensément. Si elle se fiait à ses petits yeux de plus en plus plissés, elle s'attendait à ce qu'il crache le morceau d'une seconde à l'autre, et cela ne manqua pas :

- On se connaît toi et moi. Mais pas d’ici. Comment... tu... t’appelles déjà...?

Barbara battit furieusement des cils, le regard soudain écarquillé par la surprise. Elle se sentait prise au dépourvu. C'était bête, vraiment, elle... n'avait pas prévu qu'il la reconnaisse... ou en tous cas, pas avant qu'elle lui ait fait remarquer qu'ils se connaissaient. Dans un sens, elle n'avait pas eu complètement tort. Il ne la reconnaissait pas, pas vraiment... Il se souvenait bien l'avoir déjà rencontrée, mais c'était à peu près tout - c'était déjà plus que ce qu'elle avait anticipé.
La jeune fille ne s'était jamais considérée comme quelqu'un d'oubliable, mais elle n'était pas dupe non plus. Bien que Basilio l'ait bien plus marquée qu'elle ne pouvait l'expliquer, elle ne s'était jamais attendue à ce qu'il lui retourne la faveur. Ça avait été une rencontre plutôt rapide, autour d'un café, dans un petit restaurant de bord de mer. Aucun contact durant les mois suivants, peu de chances de se recroiser un jour, pas de quoi garder un souvenir impérissable, à priori - à part quand on s'appelait Barbara Gward-Chevalier, de toute évidence.
C'était étrange, ce sentiment... elle se sentait vraiment contente pour trois fois rien... parce qu'il ne l'avait pas totalement écartée de sa mémoire... Plaçait-elle vraiment la barre si bas ? Ça n'était pas tellement son style, pourtant... Enfin... à bien y réfléchir... elle avait bien un autre exemple en tête.

- Barbara, répondit-elle enfin, je m'appelle Barbara.

L'étonnement avait de nouveau cédé place à un sourire distingué. Elle replaça une mèche de cheveu roux derrière son oreille, dans une tentative pour reprendre définitivement contenance - ça allait bien deux minutes, ces réactions de petite vierge effarouchée.

- C'est vrai qu'on s'est déjà rencontrés. C'était durant l'été, en Bretagne. On a pris un café ensemble. Ce qui est plutôt drôle, finalement , conclut-elle avec un trait d'esprit.

Ironique, en effet, que la caféine fût impliquée dans leur deuxième "nouvelle" rencontre autant que dans la première. A la différence près que le petit restaurant de bord de mer servait un café décent, lui.
Barbara avait hésité à dire qu'elle se souvenait bien de Basilio parce-qu'elle avait beaucoup aimé son accent, mais non, elle avait préféré se taire. C'était pourtant vrai qu'elle avait aimé son accent, mais le dire n'aurait pas été une approche subtile, et par conséquent, pas une approche productive. Il était plus recommandé qu'elle la ferme, puis, qu'elle avise selon les réactions du garçon. Mieux valait éclaircir le mystère pas à pas que de se montrer, d'entrée de jeu, trop bavarde.
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Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici... Rolling Eyes



[Terminé] "Où est-ce que tu vas ?" me crie mon aimée "Prenons un kawa, je viens de me lever." 4f1c27d476d19772d3a8783bb8812abaf40850c6
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Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
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Prenons un Kawa :
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Concentré sur la jeune fille, à continuer de maltraiter sa mémoire, Basilio put voir le ton de la surprise sur son visage. Est-ce qu’il avait été si étrange que ça à penser la reconnaitre ? Ou bien était-ce autre chose ? Peut-être, après tout, ce qui était bien le plus étrange chez le garçon, était le fait qu’il lui ait parlé avec sympathie et intérêt. Mais au fond, ça, elle ne pouvait pas le savoir parce qu’il était persuadé de tout juste la connaitre et hors d’ici, surtout. Et puis, avec tout ça… Elle avait laissé un souvenir non désagréable… -il ne pouvait pas juger encore si ç’avait été agréable, mais c’était au moins neutre. -… Persuadé de prendre le bon chemin de pensées mais n’arrivant définitivement pas plus que ça à l’identifier, l’adolescent ne put qu’attendre d’avoir enfin un début de réponse de sa part.

Barbara. Oh. Il avait déjà vu ce genre de comportement. Cette mèche derrière l’oreille. Sa tante Abby le faisait souvent, elle utilisait ça comme arme à chaque homme qu’elle croisait et qui était à son gout. Il paraissait que ce geste était aussi preuve d’une gêne chez l’individu, mais n’ayant prêté attention à ce geste que chez la sœur de son père, Basilio ne savait pas s’il pouvait s’appuyer sur les « on dit ». Il n’avait jamais eu ce genre de réactions en face après tout. Et ceux qui l’entouraient, -hormis sa famille- ne l’intéressaient pas assez. Pourquoi décortiquer la communication non verbale de parfaits inconnus sans intérêt ? Essayant de déterminer donc la nature de ce geste, il oublia complètement ceci quand il eut enfin une réponse plus convenable qu’un simple prénom. C’était déjà bien, mais à part avoir excité d’avantage ses neurones, il n’avait toujours pas remis le doigt sur…

La Bretagne. Mais oui. Bien sûr ! Quand Basilio s’était intéressé, sans plus de sources et de recherches que ça, à ce cas social d’Eglantine Goyache et avait foncé tête baissée en Armorique ! Il avait encore manqué bien d’immaturité en ce début d’été (comparé à désormais) en déboulant là-bas sans plan à part « retrouver la fille au pouvoir qui avait détruit une école ». Si le souvenir de la blonde aurait pu le faire grimacer, celui associé à la rousse surplomba tout.

Et là.

Une expression.

Inimaginable.

Pour quiconque.

Connaissant Basilio Tsumi.

A l’institut.

Eclaira son visage.

Outre le fait que cette fille l’avait aidé dans sa quête (et il lui en avait été fortement reconnaissant, perdant son masque du petit con hautain, une fois éloigné de l’institut), Barbara avait été d’une agréabilité sans pareil. Sa manière d’être, son air d’adolescente distinguée, leur discussion anglophone -le français de Basilio était encore maladroit à cette époque-, son accent british qui offrait un joli mélange de sonorité mélangé avec les paroles de Basilio... C’avait été une belle rencontre, quoi que courte. Il n’avait jamais su par la suite si c’était le fait d’avoir vécu loin de sa famille (ce qui avait déclenché un manque) puis le fait d’échanger soudainement avec elle dans sa langue, qui eut donné un tel ton à son après-midi ou … Si ç’avait été simplement cette Barbara, mais elle avait réussi à le marquer. Un minimum. C’était qu’il s’en voulait presque de ne pas l’avoir retrouvé dans ses souvenirs !

« Yeah… Je m’en rappelle ! » dit-il avec un soudain air ravi. Et tout bonnement surpris. Avant de lever les yeux amèrement avec ces fichues bulles qui sortirent encore, le temps qu’elles éclatent.

Quelles étaient les chances pour que Basilio, un mutant, en rencontre une autre dans sa « quête » ? Et pour qu’ils se retrouvent ici ? Finalement bien lancé dans une journée « positive », son agacement face à son pouvoir se ravisa vite pour laisser place à un léger rictus quant à la remarque de la rouquine, suivi d’un soupir, amusé malgré tout. Soulevant son verre de café pour lui démontrer qu’il avait compris l’élément « drôle » dans l’histoire, il ne put s’empêcher de rajouter, n’oubliant pas la main près de sa bouche cette fois : « Si la comparaison avec cette horreur n’est pas un crime envers celui que nous avions bu…Alors oui. Mais c’est clairement de l’irrespect, à ce stade-là. » Pourtant il en but une gorgée et déposa le verre sur la table, près de son sac. « C’est agréable de voir une personne comme toi ici. » avoua-t-il sans fioriture. « La vilainerie t’intéresse donc ? Je n’y aurai pas cru. » demanda le brun en gardant son français tandis qu'une bulle s’échappa malgré la barrière et explosa au dessus de lui. Tout son intérêt posé sur la dénommée Barbara, Basilio posa son bras sur son accoudoir et planta sa mâchoire dans sa main, l’observant. Avant que son point de vue ne le fasse tilter sur un détail, bien différent de leur première rencontre. Le fauteuil. C’était toujours désagréable, ce genre de fait. Rencontrer une personne en étant tout aussi debout qu’elle et la recroiser sur ce misérable fauteuil. Mais bon. Il avait passé son entrainement avec l’institut entier, donc une de plus… Même si en soi, il y avait plus de chance que Barbara ne s’intéresse à cette étonnante différence que les autres étudiants… De l’intérêt ou de l’aplomb ? Quoi que, avec son côté distingué, tout était possible.
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Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
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Ven 17 Juil - 13:23
It's so easy when you're evilBaz-à-roulettes & Barbie casse-noisettesBasilio avait l'air très heureux de ses réponses et une expression ravie ne tarda pas à éclairer son visage, qu'elle devinait souvent renfrogné. Cela ne manqua pas de réjouir l'adolescente. Tout compte fait, son plan se déroulait plutôt bien Ça y était, il se souvenait d'elle, de leur rencontre bretonne, du petit café en bord de mer où ils avaient discuté. Il se montrait affable, intéressé, et vraiment, elle n'en demandait pas plus - elle ne s'attendait pas à plus. Elle continuait de prétendre qu'elle ingurgitait son café tout en l'écoutant bien sagement. Le pipi de chat qui remplissait son gobelet était encore l'aspect le plus regrettable de cette première phase d'approche, mais au moins, Basilio avait lui-même le bon sens de reconnaître que la mixture qu'il buvait à grands traits n'était ni plus ni moins qu'une horreur qui ne subissait aucune comparaison avec la café qu'ils avaient partagé en Bretagne. D'après Barbara, il ne subissait aucune comparaison avec aucune forme de café, point à la ligne. C'était manquer de respect au noble art de la torréfaction de seulement cautionner l'existence de cette machine satanique. Ce qu'elle ne ferait pas pour les beaux yeux de Basilio Tsumi...

- C’est agréable de voir une personne comme toi ici, enchaîna l'adolescent, l'air de rien.

En tant normal, Barbara aurait sans doute à peine relevé, ou aurait même roulé des yeux. Bien sûr, elle ne jouait pas dans la même catégorie que tous les cas sociaux qu'elle avait déjà pu observer au sein de cet institut. Cela allait de soi. Elle était plus puissante, plus riche, plus éduquée, plus gracieuse. Et pourtant... voir le Tsumi le reconnaître à demi-mot lui procurait une joie inexprimable. Elle s'en troublait, mais le sentiment de chaleur qu'elle sentait naître dans sa poitrine était le plus fort. L'adolescente allait finir par prendre Basilio pour un sorcier, ou alors c'était elle qui se ramollissait... Non, elle ne pensait pas que ce soit cela. Elle n'avait pas changé, c'était la présence du garçon qui faisait toute la différence. Ce dernier lui arracha un sourire radieux, qu'elle parvint malgré tout à garder sous contrôle. Elle s'en sortait bien jusqu'ici, et il n'était pas question de laisser sa façade craquer de sitôt. Toujours des réactions mesurées, appropriées, agréables. Elle entendait jouer les jeunes filles modèles encore un moment, puisque Basilio semblait apprécier qu'elle se prête à cet exercice. Elle craignait que les aspects les plus sombres et brutaux de sa personnalité l'indisposent. Ils n'étaient pas si nombreux à la supporter quand elle ne mettait pas du fard sur ses façons d'être. Si elle voulait que le garçon idéal l'apprécie, elle entendait mettre toutes les chances de son côté.
Déjà, la prochaine question de Basilio pouvait s'avérer délicate, si elle n'y prenait pas garde :

- La vilainerie t’intéresse donc ? Je n’y aurai pas cru.

Ooooh, s'il savait... De fait, elle supposait qu'il saurait  bien assez tôt, mais à l'heure actuelle, Barbara ne se voyait pas lui répondre que... qu'elle se fichait éperdument du mal qu'elle faisait aux gens. Elle... aimait ça, même, et ne comprenait pas qu'on puisse se soucier sérieusement du bien-être de ceux qu'on n'appréciait pas ou qu'on ne connaissait pas. Elle ne se sentait pas spécialement vilaine dans l'âme, mais elle n'était pas non plus dérangée par l'idée de répandre le chaos. Barbara n'avait jamais tué d'être humain jusque-là, mais elle ne pouvait pas promettre que cela n'arriverait jamais, elle elle pouvait encore moins jurer qu'elle en éprouverait la moindre once de remord... Il y avait de bonnes chances pour que cela ne lui fasse ni chaud ni froid. Certains pleurnichards la jugeraient probablement cruelle ou monstrueuse, mais elle se trouvait simplement pragmatique. Ce qui la dérangeait était encore de devoir limiter ses pouvoirs dans le cadre d'un contrat passé avec un super bon samaritain. L'adolescente n'était pas certaine de se satisfaire de pareilles contraintes. Elle avait encore tout le temps d'y penser...
Le fait est que Basilio devrait se contenter d'une version édulcorée. Elle n'allait pas lui raconter ses prédispositions à devenir super-vilaine, mais plutôt lui expliquer comment elle était arrivée ici, ou plutôt, à cause de qui :

- A vrai dire, commença t-elle en touillant distraitement son café, je me dirigeais plutôt vers des études de droit, mais mon père ne l'entendait pas de la même oreille. Il a toujours été un fan absolu de super-vilains et il a profité que tous ses enfants aient des pouvoirs pour nous envoyer étudier dans cet institut. Je ne sais pas quels événements t'ont amenés dans cette école, mais je suis heureuse d'avoir au moins une personne de qualité avec qui discuter.

Elle ponctua sa phrase d'un sourire destiné à montrer tout le bien qu'elle pouvait penser du garçon... et tout le "bien" qu'elle pensait des autres élèves. Affligeants, pour la plupart. Sans parler de son propre demi-frère qui défiait continuellement les limites du pathétique par sa simple existence.

- Avec ou sans fauteuil roulant, d'ailleurs, ajouta t-elle avec un haussement d'épaules éloquent.

Sa remarque était neutre, ni trop légère, ni trop grave. C'était simplement une information posée là. Oui, elle se moquait qu'il soit ou non handicapé, cela ne faisait pas grande différence à ses yeux.
Bien sûr, Barbara invitait le garçon à parler de son entrée à l'institut et des événements qui l'avaient mis dans son fauteuil roulant, mais elle n'entendait pas forcer les choses. Il en parlerait s'il le souhaitait et uniquement s'il le souhaitait. Elle ne le piégeait pas, lui offrait tous les moyens de faire dévier la conversation si le cœur lui en disait. Si elle n'obtenait pas ses informations de Basilio, elle trouverait bien le moyen de les avoir ailleurs.
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Sam 8 Aoû - 17:35
 

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Des sourires et des paroles distingués. Une clarté dans ses propos. Barbara avait eut de l’éducation. … Que faisait-elle là, alors, sérieusement ? Oui, Basilio lui-même y était mais il était l’exception qui confirmait la règle, noyé dans une mare de boulets. Mais outre ça, il plaçait la rouquine encore plus hautement que lui. Le Tsumi venait d’une famille moyenne (avec beaucoup de ressources, certes) tandis que la Chevalier semblait venir de… Plus haut. Il ne savait pas pourquoi il pensait ainsi, la surclassant peut-être, qui sait. Dans tous les cas, la voir inscrite ici (au moins, elle était une oméga elle aussi.) désolait presque le brun qui avait une sorte de compassion pour sa consœur. Oui, Basilio Tsumi considérait déjà énormément cette nouvelle, en l’espace de… une heure ou deux qu’ils avaient partagé, en comptant leur rencontre en Bretagne. Comparé aux longues et atroces journées passées aux côtés des « étudiants » de l’Institut Trueman qui aidait davantage Baz à se mettre sur un piedestal par rapport à ces ratés… Toujours plus à chaque rencontre, à chaque échange… Barbara était donc… Une sorte de miracle dans la scolarité du Tsumi. Un peu comme Lotre, en fait… Cette pensée le refroidit aussitôt. Il s’idéalisait déjà une amitié avec une jeune fille de bonne famille et au pouvoir assez intéressant… Il était tombé d’assez haut comme ça, pas question de s’aventurer aussi facilement à nouveau dans ses fantasmes. Il devait découvrir l’adolescente pas à pas et ne pas la juger trop rapidement. Pas question d’être encore déçu et de surévaluer une connasse au final.

Ça ne l’empêcha pas d’être attentif à l’histoire de Barbara cependant. Des études de droit. Un père fan du monde de la vilenie. … Parent d’une grande fratrie à pouvoir ? Oh, les yeux de Basilio se mirent certainement à briller. Ou du moins, il ne fut certainement pas difficile de remarquer un intérêt soudain de sa part. Le tout, adouci par un compliment le mettant aussi à son tour en avant. Clairement, les deux partageaient le même point de vue que l’autre. Normal, entre bonnes personnes, entre personnes distinguées, entre oméga, on se reconnaissait.

Mais voilà. Le fauteuil roulant fut inclus dans la conversation. De manière assez neutre, tout de même. Un voile de curiosité, léger et peu dérangeant. Avec des pincettes. Elle savait comment s’y prendre et diriger les sujets de discussion tout en douceur et avec courtoisie. Une sacrée éducation. Aussi, au final et peut-être pour la première fois de toutes ses rencontres dans l’institut… Basilio ne sentit pas un quelconque malaise de sa part sur le sujet.

« Un bête accident l’été dernier. » Devait-il dire que c’était en jouant les héros ? D’un côté, Barbara n’était pas dans son élément, ici dans cette école de vilains. Mais de l’autre, n’était-ce pas se précipiter (et hautain) que d’avouer avoir été dans une troupe de héros ? Surtout familiale ? Hmmm. Certainement. Basilio allait donc en rester là sur ce sujet. Même si la suite de sa réponse pouvait faire pencher la balance de son alignement aux yeux de l’Oméga.

« Je fais parti du monde des Supers par ma famille. » De la neutralité. Pas héros, pas vilain. Et puis sa famille était un mélange, mine de rien. Même si son père était un criminel repenti et non un super-vilain. Et que son oncle disparu était… Un super-neutre, comme il aimait si bien le dire. Contrairement à sa tante Antonella qui le mettait chez les Vilains mentalement. « Et entre les cours donnés à l’EIFEB et les cours donnés à l’Institut Trueman… Quelque soit ton alignement, il vaut mieux faire ces études ici. De meilleurs professionnels, moins de théatralité, tu es plus dans le bain entouré de vilains qu’entouré de gentils petits héros prêts à sauver la veuve et l’orphelin, à bouffer de la guimauve à tous les niveaix. » Tant de cynisme. Même s’il se considérait encore du côté du Bien, avoir grandi dans une telle famille (et auprès de Holden) tout en ayant sa mentalité propre, mine de rien, ça lui offrait un bon camouflage. Outre sa bienveillance à l’égard de la vie humaine (et encore, ça dépendait, ça…), Basilio avait davantage le comportement d’un petit con hautain et moqueur, donc celui d’un vilain. … Peut-être que l’école l’avait changé, aussi ?

« Etudes de Droit, sinon. C’est dommage que ton paternel t’ait privé de ton choix. » Basilio aurait presque souri en s’imaginant forcé par son père… « Je fais un retour en arrière mais… tu as dit avoir toute une fratrie à pouvoir ? » Vous l’attendiez, hein ? Le copieur qu’il était ne pouvait pas passer à côté d’un tel sujet… Surtout si la demoiselle était une oméga. D’autres Omégas de la famille… … Il ne connaissait pas son nom de famille. Zut. Il espérait recevoir les informations sur la fratrie de sa part donc, sinon, ça rallongerait cette enquête qui venait tout juste de naitre. « Je suis curieux. Surtout que ta formulation donnait l’impression de plusieurs enfants. Toute une fratrie d’Omégas parmi nous donc ? » Basilio frétillait intérieurement d’excitation. Mais il avait oublié quelque chose d’important : s’intéresser à cette Barbara. A l’adolescente d’une famille bretonne qu’il avait là, en face de lui, dans l’immédiat. Aussi, il reprit rapidement, ponctuant de son sourire de crapaud: « Mais pardon, toi, d'abord, c’est quoi ton super-pouvoir ? » Car il ne pouvait être que super avec ses bordures de costume rouges… Et en parlant de rouge… Il en avait sérieusement marre de ces fichues bulles qui l’obligeaient à mettre sa main devant la bouche, polluant ses paroles de blulblub. Aussi, installé dans une situation confortable, et laissant enfin la parole à sa consœur, Basilio décida d’arrêter ce cirque bullesque. Gardant son regard principalement sur elle, il la quittait seulement l’espace de quelques secondes afin de lire les étiquettes de petites fioles qu’il sortait une à une, à la recherche d’un pouvoir intéressant pour la situation. Pas besoin de gaspiller du sang trop important. Même s’il gaspillerait n’importe quoi pour ne plus avoir a être ce spectacle affligeant.
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Super-pouvoir : Jacques a dit : Barbara utilise la parole pour plier les autres à sa volonté. Il lui suffit d'utiliser la formule "Jacques a dit" pour que la suite de sa phrase devienne un ordre que son interlocuteur doit exécuter, qu'il le veuille ou non.

Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.

Bazbie for the win <3
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
Les Petits + : Sœur à 100% de Shana, Emma et Pascal, c'est aussi la demi-sœur de Sasuke, la belle Azalée et... Harry.
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Sam 22 Aoû - 16:44
I've got the powerBaz-à-roulettes & Barbie casse-noisettesTout comme dans son souvenir, Basilio était d'une délicieuse compagnie, et sa curiosité à son égard semblait intarissable. Cela tendait à prouver qu'il s'intéressait à elle, et son avidité à en savoir toujours plus l'enchantait, du moment qu'elle gardait la maîtrise de la conversation. Elle ne voulait pas trop en dire, et encore moins révéler quelque information qui pourrait si rapidement la faire tomber en disgrâce aux yeux du jeune Tsumi. Barbara se confortait dans l'idée qu'elle ne voyait aucune raison pour que cela arrive.
Sa mention du handicap du garçon était passée le plus naturellement du monde dans leur échange, et l'adolescente s'en félicitait. Un bête accident datant de l'été dernier, telle était la réponse indirecte du garçon. C'était plus d'informations qu'elle n'en avait demandées, et elle ne comptait certes pas le questionner davantage sur le sujet - pour le moment. La patience était une vertu qu'elle ne cultivait que pour ceux qui valaient bien la peine qu'elle ronge son frein. Indubitablement, Basilio Tsumi faisait partie de ces rares élus.
Déjà, le garçon ramenait la conversation vers quelque-chose de moins épineux, révélant avec une certaine prudence qu'il appartenait à une famille de "Supers". Le terme "révéler" était sans doute un peu fort, car Barbara avait déjà mené ses propres recherches, et savait de source sûre que les Tsumi donnaient dans le super-héroïque. La réserve dont Basilio faisait preuve sur le sujet la surprenait un peu, mais en y réfléchissant à deux fois, elle paraissait très naturelle. Il ne la connaissait pas, ne savait encore rien de ses inclinations en la matière. N'était-elle pas scolarisée dans un institut de super-vilains ? Elle aurait très bien pu avoir en sainte horreur les boyscouts en collant, comme tant d'autres dans cette école. Bien entendu, elle n'était pas si attardée, et avait mieux à faire de ses journées que jouer aux fléchettes sur le faciès de Batman. A l'occasion, elle ne manquerait pas de laisser savoir à Basilio dans quelle indifférence tout cela la laissait. Lui-même semblait penser que Trueman était une meilleure école que l'EIFEB pour apprendre le métier de Super, et Barbara retint de justesse une remarque sarcastique. Si l'institut surpassait l'école des héros, les petits poussins héroïques devaient vraiment recevoir un enseignement des plus bancal. Cela étant, peut-être se méprenait elle sur l'institut Trueman. Peut-être y avait-il plus à voir que cette affligeante médiocrité dans la direction semblait se féliciter. Les arguments du Tsumi étaient presque convaincants. Les vilains étaient, par essence, plus brutaux et cruels que ces grands moralisateurs de héros, et ne devaient pas rechigner à faire plonger leurs élèves dans le grand bain, tête la première et sans flotteurs. Moins de théâtralité, disait Basilio, plus de concret. Elle était bien contente que son père se soit entiché du monde des super-vilains plutôt que de celui des super-héros ; elle n'aurait pas supporté longtemps de s'immerger dans tous ces bons sentiments...

- Etudes de Droit, sinon. C’est dommage que ton paternel t’ait privé de ton choix, enchaîna le garçon.

- C'est vrai, acquiesça-t-elle, mais je fais avec.

Les études, travailler... pas une nécessité, plutôt un passe-temps, de quoi occuper ses capacités intellectuelles à quelque-chose. Avec son pouvoir, où était le challenge dans les études de droit ? Elle pouvait défendre les plus riches et se bâtir une solide carrière d'avocat sans même lever le petit doigt. Pernicieusement, son esprit lui soufflait que le monde des Supers ne semblait pas davantage représenter un défi à sa mesure. Tout ces pantins gavés de super-pouvoirs, manipulables à souhait... rien de bien excitant.
En parlant de pouvoirs...

- Je fais un retour en arrière mais… tu as dit avoir toute une fratrie à pouvoir ?

Imperceptiblement, les doigts de Barbara se crispèrent un peu plus sur son gobelet, tandis que son visage demeurait d'une remarquable sérénité. Elle sentait arriver la question de trop...
Comme elle s'en doutait, Basilio continua sur sa lancée :

- Je suis curieux. Surtout que ta formulation donnait l’impression de plusieurs enfants. Toute une fratrie d’Omégas parmi nous donc ?

Well... fuck. Barbara aurait mieux faire de ne jamais mentionner sa fratrie. Qu'on ne s'y méprenne pas, elle adorait ses frère et sœurs, à une exception notable près, mais son pouvoir n'avait vraiment rien à envier aux leurs. Emma, par exemple, avait un pouvoir plutôt amusant, qui était un atout non négligeable pour sa carrière d'instagrameuse. C'était toujours mieux que les... "capacités" d'Harry, dont l'existence même tenait de l'insulte au bon sens. Faisant mine de rien, elle n’aimait pas l’idée d’en parler. Et si Basilio était déçu ? S’il ne la trouvait plus si intéressante que ça, après avoir découvert que contrairement à lui, elle n’appartenait pas à une famille de Supers puissants ? Certes, sa mère était une brillante polymorphe, mais sa mère était bien trop loin pour attirer l’intérêt du Tsumi. Si elle n’en laissait rien paraître, Barbara réfléchissait intensément.

-Mais pardon, toi, d'abord, c’est quoi ton super-pouvoir ?

C’était sa chance. Si elle l’impressionnait suffisamment, Basilio se moquerait pas mal du manque de puissance de ses frères et sœurs. Ils étaient seuls, ce qui faisait du garçon son cobaye de prédilection. Manipuler le garçon à son insu avait matière à lui déplaire, mais cela pouvait aussi lui faire gagner des points auprès de lui, et elle aimait beaucoup les paris gagnants. Elle n’était cependant pas stupide pour parier tous ses points de sympathie en même temps.

-Une démonstration vaut mieux que des mots, déclara-t-elle avec un large sourire.

Le plus naturellement du monde, elle continua de touiller son café – qui n’en avait même pas la couleur, et encore moins la saveur, c’était chose étable – en lançant d’un air détaché :

-Jacques a dit : pose ton gobelet.

Aussitôt, Basilio s’exécuta. Il y avait des jours où c’était presque trop facile, ça en devenait ennuyeux.

-Jacques a dit : lève le bras.

Ce qu’il fit, évidemment.

-Jacques a dit : redescend ton bras et pense à quelque-chose d’agréable.

Utiliser son pouvoir pour le mettre dans des dispositions positives ? Elle y était tout à fait disposée. Une fois sa petite démonstration termina, Barbara jugea bon de fournir quelques explications :

-Je contrôle les gens avec mes mots. Avec ma… formule magique. Pas que j’en ai réellement besoin, cela dit, c’est plus… une forme de régulateur. Mes frères et sœurs ont en effet des pouvoirs, mais rien de comparable. Mon pouvoir est le plus intéressant.

Elle n’allait pas en dire plus, si Basilio avait deux sous de jugeote, et elle ne doutait pas qu’il en ait plus que cela, son intention resterait focalisée sur elle, la plus digne d’intérêt. Peut-être pas la plus jolie, ni la plus populaire, mais celle dont il aurait envie de copier le pouvoir. Pour le moment, elle continuait de prétendre qu’elle ne connaissait en rien les dons de Basilio, et c’est pourquoi elle enchaîna avec la question qui s’imposait :

-Je suis sûre que ce liseré rouge sur ton uniforme signifie que tu as un pouvoir autrement plus utile que de faire des bulles, n’est-ce pas ? Pas que ce soit un mal…

Elle laissa une légère ironie percer dans sa voix alors que ses grands yeux bleus accrochaient ceux de Basilio avec une certaine assurance.
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Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.

Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici... Rolling Eyes



[Terminé] "Où est-ce que tu vas ?" me crie mon aimée "Prenons un kawa, je viens de me lever." 4f1c27d476d19772d3a8783bb8812abaf40850c6
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
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Prenons un Kawa :
Je viens de me lever

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Invisibilité, pyrotechnie, télékynésie, bouclier mental, transformation animale… Rien d’autre… Bon, et bien… Pyrotechnie. Ce sang ne lui servirait pas vraiment mais il préférait cela au fait de buller à chaque mot et ricanement… Aussi, rangeant ses précédentes capsules dans sa sacoche et refermant son poignet autour de sa future nouvelle capacité, sa curiosité fut piquée à vif dès lors que Barbara parla d’une démonstration. Immédiate apparemment car Basilio n’eut même pas à attendre que… son bras tenant le gobelet dont le trajet vers ses lèvres s’était interrompu sous l’annonce du spectacle, se reposa immédiatement. Peut-être brutalement. Laissant quelques gouttes s’échapper sous le mouvement du liquide marronatre. … Oooookay. C’était peut-être trop… Brute pour le cerveau de Baz qui bugua littéralement sous ce qui venait de se passer. Comprenez, vous parlez, une parole de jeu pour gamin est prononcée et votre corps obéit comme la plus docile des marionnettes. Les neurones avaient besoin de se connecter, même les plus vifs comme ceux de l’américain. Mais surtout, ils avaient besoin d’accuser le coup face au sort d’obéissance qui n’était pas offert de voir tous les jours… ou même dans une vie, en générale. Son regard bleu vrilla de sa main soumise à Barbara, fronçant ses traits face à la situation. Pas qu’il en était agacé ou quoi. C’était juste…assez déconcertant pour qu’il aille l’interroger d’un simple regard par réflexe.

Une seconde formulation infantile sortit des lèvres de Barbara. Et il obéit. Puis une troisième. Et encore une fois, Basilio répondit à son ordre. Si mécaniquement qu’il avait l’impression de ne plus être dans son corps lorsque la formule Jacques A Dit faisait effet sur lui. Sa conscience vrillait et semblait avoir du mal à comprendre ce qui arrivait à ses muscles et au cerveau qui  dirigeait tout comme un parfait petit soldat. Mais bientôt, ce fut l’inconscience qui reçut un tout autre type de choc, faisant remonter un souvenir qui datait de plusieurs années dans l’esprit du garçon.

***

Basilio arborait des traits encore plus jeune. Il approchait les 10ans et était entouré de deux hommes : Holden, son oncle et Lancelot, son beau-père. Le premier était un homme blond aux yeux bleus et ayant une 40ène dépassée. L’autre était chatain aux yeux verts et arborait des traits bien plus jeunes que l’autre l’emmenant vers les 30ans. Et ces deux là avaient un sourire que n’avait pas leur petite victime.

« Aller crapaud, on n’a pas toute la journée ! »
« Ah bon ? Et pourquoi pas ? Et puis, je peux très bien partir avec les deux verres au lieu de devoir choisir ! » leur lança petit Basilio avec un air de défi.
« Et te prendre une attaque mentale de tonton Holdy ? » rigola Lancelot en croisant ses bras sur son torse, n’attendant qu’une chose : que Basilio ne choisisse un des deux gobelets ou chacun des adultes de la pièce avait bu. Le petit mutant était si pénible à demander à son oncle son pouvoir que les deux hommes avaient décidé de lui offrir la chance en choisissant le bon récipient.

« ...Je vais le dire à papa si tu recommences. » grogna Baz en regardant le blond qui lui en avait déjà lancé une il y a une année pour le calmer.

« Adri sait très bien que tu mérites chacune d'elle. Et puis je défendrai mon beau-meilleur-ami-beau-beau-frère si tu fais ton cafteur. »

Holden restait silencieux mais son sourire et ses regards lancés étaient analysés par son neveu qui VOULAIT son pouvoir de télépathie ! Et il l’aurait un jour !

« Basilio Nick Dante Tsumi, il te reste trois secondes. »
« Quoi ?! »
« Troiiiiis... »
« Mais ! »
« Deuuuux... » Basilio commença à paniquer et prit un gobelet et observa le regard du père d’Altéa.
« Uuuun... » Le gamin reposa vite sa prise et s’empara de l’autre, analysant à nouveau.
« Mazel tov, tu as enfin choi-HEY ! »

Lancelot fut soudainement attaqué par sa petite teigne de beau fils qui s’empara du verre qui venait d’être retiré et en but le contenu aussitôt. Les deux adultes éclatèrent de rire et durent attraper le récipient abandonné et le mettre en hauteur (juste en levant le bras) pour éviter toute fraude de la part du Tsumi.

« Mais quelle peste, j’y crois pas ! » s’exclama Lancelot, encore lancé dans son rire alors que Basilio essayait de batailler pour garder son 1er gobelet entre les mains. Mais contre deux adultes… il le perdit. « Tricheur ! … Bon, alors ? Avec toutes tes bêtises je ne sais même plus… … » Le beau-père s’interrompit en voyant des branchies apparaître sur le visage de son garçon… Et éclata à nouveau de rire, devant s’appuyer sur un des meubles pour ne pas tomber au sol pendant que Basilio s’énervait et… dût parcourir en courant dans la salle de bain. Suivi de près par les « adultes » de la pièce, Basilio découvrit cependant une baignoire déjà remplie… Dans laquelle il alla immédiatement se plonger. S’il avait voulu voler l’autre verre de base… il comprit bien vite que ça n’aurait servi à rien.

« Je suis sûr qu’y avait pas le pouvoir de Holden sur l’autre !!! » s’énerva Basilio la bouche dans l’eau, bullant de l’écume pendant que le rire des deux autres idiots s’aggrava, confirmant clairement…


***

Basilio en avait longtemps voulu à ces deux crétins pour cette blague puérile… Mais là… Elle ressortait sous un autre jour, qui fit rire le brun et qui garda un sourire même lorsque sa voix s’éteignit. Et malgré les bulles qui s’échappèrent encore de sa gorge.

Revenant peu à peu à la réalité et sortant de cet état d’hypnose, l’oméga se figea un instant devant ce qui venait de se passer. Redescendre sur terre et retrouver ses repères lui demandèrent plusieurs secondes et Barbara sembla les respecter car ce ne fut que lorsque Baz fut à nouveau pleinement avec elle qu’elle offrit des explications à sa pratique. Et.. Malgré la démonstration qui aurait pu chambouler son confrère… Sa réaction fut positive. Son regard à nouveau présent offrit un air plus qu’intéressé et charmé par Barbara et ne fut même pas déçu en apprenant qu’elle avait le pouvoir le plus intéressant de sa fratrie. Car après tout… son pouvoir n’était absolument pas à bouder. Et venait de sonner le top cinq des pouvoirs les plus fabuleux de sa vie.

« Captivant. Vraiment. Et inédit. »

Il fallait l’avouer, et bien sûr avec la surprise qui était allée face à la découverte du pouvoir. Pouvoir que Basilio voulait, désormais. Ce nouveau joujou. Cette diablerie. Ce cadeau divin. S’il l’avait… … … Pourquoi du conditionnel ? Il préféra le futur : Il l’aurait. Pas tout de suite peut-être, mais un jour… Et pour cela...

Un sourire délicieusement sous le charme de Barbara et de son pouvoir resta cloué sur son visage tandis qu’il roula des yeux, pendant que l’on traitait de l’utilité d’un possible autre pouvoir pour lui. Restant sur des expressions pour répondre, il hocha lentement la tête face à ses mots. Puis, ce fut presque comme un gamin qu’il souffla au dessus de la rouquine pour balancer quelques bulles et entamer un début de mise en scène pour offrir à son tour son pouvoir.

« C’est très utile de faire des bulles, tu oserais en douter ? »
Un peu d’humour… « A moi de faire une démonstration donc. » annonça-t-il en ayant désormais perdu toute gêne face aux bulles qui sortirent sous ses mots car… Ce furent les dernières. Décapsulant sa dose de sang, Baz avala le liquide sans aucune gêne ou dégout et jeta l’emballage dans son verre de ca… de boisson chaude ignoble et retourna son regard sur Barbara. Un regard qui ne tarda pas à passer d’un bleu à un vert clair. C'était toujours rapide, ce détail-là. C'était le pouvoir qui prenait plus de temps à venir. Parce que d'abord, il fallait annihiler l'ancien ADN. « Il faut juste être un peu patient encore. » Aucune bulle n’osa sortir de sa bouche cette fois-ci. Enfin. Dans un soulagement discret du brun qui finit par appuyer son coude sur la table, il se mit à faire danser ses doigts entre eux, attendant… Jusqu’à ce qu’une flammèche ne vienne parsemer la peau de sa main.

«  En somme… Je copie le pouvoir des autres. Ou plutôt leur ADN et mon corps pioche quelques autres bêtises. Dons, maladies, couleur des iris... Je crois que celui a qui appartient ce sang les a vert-gris... »

Désormais, Basilio était persuadé que Barbara pouvait comprendre tout l’attrait qu’il avait pour elle avec une telle déclaration. Aussi, il referma sa main pour éteindre la flamme.

« C’est pour ça que j’étais allé en Bretagne d’ailleurs. Pour acquérir un nouveau pouvoir. Malheureusement... »

Il se pinça les lèvres face au souvenir que représentait cette crétine d’Eglantine.

« Ça n’est pas tous les jours que l’on rencontre des personnes aussi interessantes que toi. »
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Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.

Bazbie for the win <3
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
Les Petits + : Sœur à 100% de Shana, Emma et Pascal, c'est aussi la demi-sœur de Sasuke, la belle Azalée et... Harry.
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Jeu 1 Déc - 3:32
Just a little crushBaz-à-roulettes & Barbie casse-noisettesL'expression de la jeune oméga se fît rapidement plus soucieuse alors qu'un doute insidieux se frayait un chemin jusqu'à ses pensées. Elle avait cru marquer des points auprès de Basilio en lui faisant une démonstration de son don, mais peut-être s'était-elle montrée trop ambitieuse pour son propre bien. Peut-être en avait-elle trop fait, trop tôt. Le garçon avait eu l'air sensiblement choqué lorsque son bras avait cessé de lui obéir l'espace de quelques instants, soumis au bon vouloir de la rouquine. Puis elle n'avait pas attendu pour le plonger en état de transe, ou plutôt, de rêve éveillé. Elle ne pouvait jamais prévoir à l'avance de quelle façon ses cobayes vivraient ses ordres les plus ouverts à interprétation. Il n'était pas exclu que Basilo déteste l'expérience et elle se maudissait déjà d'avoir commis une telle imprudence. Tout se déroulait à la perfection, pourquoi avait-il fallu qu'elle tente le Diable de la sorte ?  Impuissante, elle ne pouvait rien faire d'autre que d'observer l'adolescent pris en plein flashback, les doigts crispés sur son gobelet en plastique.
Les traits du garçon s'adoucirent finalement en un sourire réjoui et Barbara sentit ses poumons se remplir d'air à nouveau. Elle n'avait pas réalise qu'elle retenait sa respiration. Bientôt, le regard de Basilio retrouva tout son éclat, annonçant son retour dans la réalité.

- Captivant. Vraiment. Et inédit.

Pour l'amour du Ciel... L'adolescente souffla imperceptiblement, trop heureuse que son pari se soit révélé payant. Elle n'aurait su dire ce qui la perturbait de plus ; les éloges plein de sincérité de Basilio ou le sourire charmeur qu'il lui adressait ? A elle. Barbara Gward-Chevalier. Les papillons qui agitaient son ventre étaient pris dans une tempête qui avait de quoi lui donner des hauts le cœur. Oh, elle aurait dû en être affolée, mais rien de tel ne se produit. A sa plus grande stupéfaction, elle ne détestait pas l'expérience. Elle se contenta de sourire à son tour avec un peu plus de retenue, inquiète de ne pas dévoiler si vite l'étendue de son affection.
Après cette première prestation réussie, c'était au tours de Basilio de montrer l'étendue de ses dons, qui consistaient jusqu'alors à souffler une nuée de bulles dans la direction d'une Barbara gentiment taquine, et ce, pour le plus grand amusement de la demoiselle, qui les regarda passer au dessus de sa tête.

- C’est très utile de faire des bulles, tu oserais en douter ?, demanda t-il avec légèreté.

C'était comme si, non content d'être d'une compagnie délicieuse, le garçon souhaitait à tout prix lui rappeler qu'il savait aussi faire preuve d'autodérision. Que demander de plus, sinon peut-être, un pouvoir réellement impressionnant ? C'était une chose de connaître la capacité du Tsumi, mais c'en était une autre de le voir en action, aussi, l'adolescente devint elle très attentive lorsqu'il débuta sa démonstration. Le plus naturellement du monde, il ingéra une capsule d'hémoglobine, sans que la jeune oméga ne décèle la moindre trace de dégoût dans son expression. Elle se prit à penser que cela ne pouvait, de toute façon, pas être pire que l'immonde texture caféinée qu'ils venaient d'avaler du bout des lèvres...
Ce fût d'abord les yeux qui changèrent, passant d'un bleu cristallin à un tendre vert clair. Voilà qui était intéressant. C'était, supposait-elle, un effet secondaire. Y'en avait-il d'autres ? Et si oui, de quelle nature ? Pour peu, l'adolescente n'aurait pas prêté attention à Basilio qui lui demandait encore un peu de patience, trop concentrée sur la scène. Elle hocha sagement la tête alors que le garçon installait son coude sur la table, dépliant et repliant ses doigts comme pour faire jaillir quelque-chose, qui ne tarda pas à se manifester. Une flame rougeoyante naquit sur sa main, tel un feu follet apprivoisé. Barbara l'observa avec un plaisir non feint, très satisfaite de voir le garçon manier son élément favori.

- En somme… Je copie le pouvoir des autres, expliqua t-il. Ou plutôt leur ADN et mon corps pioche quelques autres bêtises. Dons, maladies, couleur des iris... Je crois que celui a qui appartient ce sang les a vert-gris...

Ah, elle ne s'était donc pas trompée, son changement de regard tenait bien de l'effet secondaire. Cette histoire de génétique était bien hasardeuse, et si la jeune fille admirait sans aucun doute le pouvoir de son comparse oméga, elle n'était pas sûre de vouloir de ce genre de roulette russe. Les conséquences de son propre pouvoir étaient déjà bien assez pénibles à supporter comme ça.

- C’est pour ça que j’étais allé en Bretagne d’ailleurs, ajouta finalement Basilio. Pour acquérir un nouveau pouvoir. Malheureusement...

Il se pinça les lèvres avec un déplaisir évident. Elle en concluait donc qu'il n'avait pas trouvé ce qu'il était venu y chercher mais ne trouvait pas à s'en plaindre. Sans ce séjour, elle-même ne l'aurait peut-être pas si vite remarqué, une fois à l'internat. Cela aurait été plus que dommage, il fallait bien l'admettre.

- Ça n’est pas tous les jours que l’on rencontre des personnes aussi intéressantes que toi.

Prise au dépourvu par un compliment si soudain, l'adolescente fît son possible pour ne pas virer au rouge pivoine. Elle esquissa un sourire qui laissait voir sa rangée de dents blanches, retenant celui, bien moins gracieux, qui menaçait de faire deux fois le tour de sa tête. Comment pouvait-on ne pas tomber sous le charme de Basilio Tsumi ? Elle avait beau chercher, la chose lui paraissait inconcevable.

- Et ce n'est pas tous les jours qu'on rencontre quelqu'un d'aussi remarquable que toi, répondit-elle, son regard revenant naturellement vers la flamme qui dansait sur sa paume. Ton pouvoir est fascinant...

Il l'était, et elle aurait bien aimé pouvoir en discuter davantage, mais fût coupée dans son élan par une sonnerie stridente et franchement désagréable. Briser un moment pareil était tout bonnement criminel, mais elle n'avait pas dit son dernier mot.

- Le devoir m'appelle, soupira t-elle. Tu n'aurais pas cours avec Leclercq, par hasard ?

Elle ne s'étonna guère de le voir acquiescer et la suivre dans le couloir. Après tout, elle avait appris son emploi du temps, et cela n'avait pas été en vain. La première phase de son plan était un grand succès, et elle se le promettait, ce n'était que le début d'une longue liste.
Toute visionnaire qu'elle se croyait être dans la suite de leur relation, elle était pourtant loin de s'imaginer la route qui les attendait tous les deux. Même Barbara Gward-Chevalier ne pouvait pas entièrement planifier son futur à l'avance, et ce, même s'il lui faudrait encore bien des années avant de le reconnaitre...


THE END
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