Institut Trueman
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Sachez que vous ne vous débarrassez pas de moi aussi facilement [Kaan]

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Altea C. Tsumi
Tête de gnon en formation.
Altea C. Tsumi
Altea C. Tsumi
Feat : Iris Law
© Avatar : Saumon Mortel & Bavboules & Greenhouselab
Messages postés : 343
Je suis aussi : Le Parrain & Alden & Loutron
Pseudo : The Wanderer
Super-pouvoir : ௮ Fonctionnement : Altea a le pouvoir de contrôler le sang. Elle peut le déplacer, en utilisant des réserves de sang ou directement à partir ou dans le corps d'un individu. Elle est également capable d'accélérer la cicatrisation en faisant coaguler le sang plus rapidement.
௮ Conséquences : Altea doit prévoir d'avoir de constituer des réserves de sang, de préférence avec son propre sang. Une utilisation prolongée de son pouvoir entraîne de la fatigue et des conséquences sur le fonctionnement de son propre système sanguin, avec des changements de pression sanguine ou de l'hémophilie. Elle doit contrôler les quantités de son sang qu'elle utilise dans un combat sous peine de perdre trop de sang et risquer de mourir.

Sachez que vous ne vous débarrassez pas de moi aussi facilement [Kaan] Imageonline-gifspeed-4381510
Réputation (intra-école) : 4/10 = Arrivée depuis le mois de janvier, Altea est discrète et ne se fait pas vraiment remarquer. Elle a cependant acquis une petite réputation après la soirée du Chaos de la Saint-Valentin. Son passage des Omégas aux FDPs attire en effet l'attention, tout comme sa proximité et sa relation explosive avec Basilio, qui ne passe pas inaperçu. A cela s'ajoute le fait qu'elle commence à être connue comme étant particulièrement gentille... à la limite de se comporter comme une héroïne (comme sa mère).
Les Petits + : -Avant de se retrouver parmi les FDPs, Altea était Oméga. La raison de sa déchéance? Elle a attaqué avec son cousin Mila lors du bal de Saint-Valentin...

-Altea un petit chaton Il s'appelle Gal, officiellement pour Gale, officieusement pour Galahad.
Haters : 1263
Dim 22 Nov - 17:31
ft. Kaan Tolan
Sachez que vous ne vous débarrassez pas de moi aussi facilement

Pour une fois, Altea avait authentiquement envie d'apprendre quelque chose de cette maudite école. La jeune super-héroïne en infiltration éprouvait pour la plupart des enseignements la plus grande indifférence (même si elle jouait le jeu), et parfois du dégoût. Certes, certains cours pratiques arrivaient parfois à piquer son attention, mais c'était rare, et c'était surtout pour réfléchir à des moyens de contrer des super-vilains. (Même si, à force de les fréquenter, Altea ne les voyait pas comme des ennemis à proprement parler, ni comme de nécessaires dangers... Ils étaient à l'opposé sur le plan  des valeurs, mais ce n'était pas non plus la peine de la voir comme des engeances du diable. La plupart étaient juste cons, et malheureusement, cette caractéristique se trouvait également en abondance hors des enceintes de l'Institut Trueman). Après neuf mois passés sur ces bancs, qu'elle ressente une grande détermination pour apprendre et étudier un domaine pourrait être vu comme bonne chose. Peut-être même comme un exploit. Ou comme une étape dans la conversion d'une héroïne cachée en véritable super-vilaine. Mais non. Dommage que ce qu'Altea veuille apprendre n'était pas dispensé dans un cours.

Cela faisait longtemps qu'Altea voulait acquérir de solides connaissances médicales. Elle était attiré par ce domaine depuis de nombreuses années. D'abord, les soins étaient l'usage de son pouvoir qui lui avait toujours le plus convenu. C'était même en refermant une blessure qu'elle l'avait découvert. Ensuite, elle avait appris des rudiments en s'entraînant avec sa mère Antonella et en partant dans des missions héroïques avec elle et son cousin Basilio. Autant dire qu'au cours de ces sorties, les petites blessures n'étaient pas rares, et Altea ne manquait pas d'occasions de pratiquer. Les récents événements de la colonie de vacances des super-héros (de joyeuses semaines passées en Lettonie...) lui avaient rappelé l'urgence d'en savoir davantage. Sur deux points. Pour mieux soigner bien sûr. Pour être plus efficace et mieux savoir hiérarchiser lorsqu'il y avait de nombreux blessés. Elle devait aussi apprendre d'autres techniques. Et elle voulait savoir comment se débrouiller face à des blessures, maladies ou malaises qui n'étaient pas liés au sang et à la circulation sanguine. Savoir comment se comporter avec les blessés n'était pas non plus une chose innée et c'était un savoir-faire dont elle pensait qu'il lui manquait. La deuxième chose était moins avouable, mais il s'agissait également de faire un meilleur usage de son pouvoir d'hémokynésite, découvrir d'autres possibilités. Comme ça, elle aurait plus d'assurance et pourrait arriver à avoir des effets parfaitement calculés, qu'il s'agisse d'entraîner des désagréments plus ou moins intenses, ou de se défendre de manière plus fatale s'il le fallait. Elle ne le souhaitait pas, mais elle devait envisager la possibilité. Pour tout cela, la jeune femme avait besoin de mieux connaître le corps humain, la médecine...

Or, elle avait entendu parler du nouveau médecin de l'Institut Trueman, et une fois n'est pas coutume, en des termes très élogieux. Apparemment, Kaan Tolan était excellent. Alors Altea s'était renseignée sur lui, sur ses compétences, son histoire (concernant son passé, elle avait trouvé peu de choses, mise à part qu'il était un super-vilain et était l'acolyte d'une célébrité, Hadès), et récupéré quelques informations auprès d'étudiants venus le voir avec des blessures pour le moins sérieuses. Il n'était pas à proprement parler médecin, mais il pratiquait l'art avec un grand talent. C'était exactement ce que recherchait Altea : apprendre directement des meilleurs. C'est pourquoi elle était en train de se diriger vers l'infirmerie. Elle voulait parler au médecin, lui demander de la guider, et peut-être même d'en faire une "apprentie". Ça, c'était le plan idéal. Après, n'importe quoi, même juste le droit de venir lui poser des questions, ce serait toujours intéressant. Ou de l'observer.

Sans qu’elle ne sache dans quelle mesure exactement, Altea avait bien compris que Kaan Tolan n'était pas d'un caractère facile, mais ce n'était pas cela qui allait la faire abandonner. Déjà, elle allait voir de ses propres yeux ce qu'il en était. En plus, depuis un an, la jeune femme commençait à être habituée aux caractères peu amènes et à s’en prendre plein la figure. Elle était tenace, et elle comptait bien convaincre le médecin. Alors qu’elle effectuait le trajet jusqu’à l’infirmerie, la Tsumi se répétait mentalement les arguments qu’elle pourrait lui donner, et réfléchissait encore une fois à son approche. Elle arriva dans la salle d’attente, déserte. Bon très honnêtement, les salles d’attentes n’étaient pas ses lieux préférés, et même si elle était déterminée à parler avec ce médecin, elle appréhendait quand même un peu la rencontre. Elle s’aperçut, en tournant dans la pièce, que si elle s’installait à un endroit particulier, elle avait une vue sur la salle des soins, où se trouvait un homme – présumément Kaan Tolan. … Après tout, quoi de mieux pour finaliser son approche que de gagner encore un peu d’informations sur lui ? Altea s’installa donc là, pour observer ses gestes… et activa son pouvoir pour accéder à ses pensées le temps qu’il termine de soigner l’étudiant dont il s’occupait.


Altea C. Tsumi
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Invité
Invité
Anonymous
Invité
Mar 27 Avr - 3:23
How unexpected...Kaan Tolan & @Altea C. TsumiI see you windin’ and gridin’ up on the floor, you know I see you lookin’ at me and you already know. I wanna kill you ( kill you ), you already know, girl. (I wanna love you → Akon ft Snoop Dogg)« Je veux savoir comment les humains font pour se blesser et tomber malades », as-tu dit à Hadès pour expliquer ta lecture d’un traité de médecine. Il avait approuvé, t’avait encouragé dans cette voie et t’avait dès lors donné les meilleures enseignements et instructeurs. Une arme qui sait soigner est une arme deux, voire trois, fois plus utile. Tes expériences ont permis de nuancer cette volonté qui avait guidé ton apprentissage et, avant sa disparition, quand Hadès t’a demandé pourquoi tu voulais poursuivre dans cette voie maintenant, tu avais répondu « Pour savoir comment les humains font pour se soigner » avant de bâiller et de t’endormir. Et c’est cette deuxième volonté que ton esprit ressasse en soignant imbécile n°42, qui a cru pertinent de s’éclater le coude contre un mur pour venir piailler à l’infirmerie et étaler ô combien il a mal. Depuis trois minutes. Trois minutes. Certes, tu lui as naturellement demandé comment il s’est fait ça – par pur professionnalisme – mais trois minutes, bordel. Trois secondes suffisent amplement.

- « T’as une seconde pour fermer ta gueule avant que je t’arrache le bras pour que t’aies une bonne raison de bramer et que j’aie une bonne raison de te balancer par la fenêtre. » Lâches-tu d’une voix blasée en finissant de ranger des médicaments dans un placard – fermé à clefs.

Le silence se fait, interrompu par ses reniflements plus ou moins discrets. Clairement moins. Aussi apathique et froid qu’à ton habitude, tu le soignes et, après lui avoir enjoint de faire quelques mouvements, tu écris une liste d’instructions comprenant les différents scénarios à appliquer suivant l’évolution de son état. Tu lui fourres le papier dans sa main libre et lui demandes avec une grande courtoisie de dégager son derche de ta vue. Voyant qu’il n’y a personne dans la salle d’attente, tu en profites pour prendre la première pause de la journée, à quatorze heures cinquante tout à fait, puis tu mouds des grains de café pendant que ta bouilloire chauffe puis tu mets le tout en place dans ta cafetière. L’eau n’est pas encore chaude aussi tu te diriges vers ton bureau et ordonnes la paperasse présente, puis les dossiers obtenus. Tu vérifies les différents inventaires à ta disposition en t’asseyant à ton bureau, non sans souffler du nez. Quarante deux imbéciles sont venus te faire chier et tu n’as pu vérifier que cinq inventaires sur les neuf. Cinq inventaires. En sept heures. Alors qu’à peine trente minutes plus tard, tu as bouclé les quatre manquants... et tu t’aperçois accessoirement que ta bouilloire ne chauffait pas. Une bouilloire débranchée ne chauffe pas. Tu la mets en marche, t’offres un carré de chocolat noir avant d’aller poser ton cul.

Affalé sur ta chaise de bureau, tu fermes brusquement les paupières et relâches la tête sur le dossier de ton trône. Visage offert au plafond, tu soupires légèrement, excédé, puis tu fais craquer les doigts de ta main gauche en un geste machinal. Qu’imbécile n°43 soit entré dans ton bureau – ou l’infirmerie, question de point de vue – te passe au-dessus du chakra couronne. Qu’il respecte ton silence est à son honneur, qu’il ne dise pas pourquoi il vient te déranger en cinq secondes est tout à son déshonneur. Tu te pinces l’arête du nez.

- « Quoi ?
- Euh, je... Bonjour monsieur. Je me suis enfoncé une écharde en rangeant mes affaires et depuis mon index et une partie de ma paume se sont engourdis. Vu que je ne ressens qu’une gêne je n’ai pas voulu vous déranger mais...
- Quand ?
- À neuf heures.
- Et il t’a fallu six heures et vingt-trois minutes pour venir me faire chier ? »


Tu le fais taire d’un geste et inspectes l’index en question, puis sa main. Tu lui demandes alors de réagir dès que tu es sur une partie qui est engourdie et tu te rends ainsi compte que c’est aussi le cas du majeur mais pas de l’annulaire. Tu passes sur le fait que sa partie de paume engourdie signifie que son écharde appuie ailleurs que sur le nerf médian. Et il va falloir qu’on t’explique comment on peut se péter le canal carpien avec une écharde. Et depuis quand les échardes ont cette gueule-là, aussi. Un coup d’oeil vers la salle d’attente t’informe qu’imbécile n°44 – que tu n’as pas vue arriver – semble disposée à te laisser déguster ton café en paix. Tu es en train de mentalement compter de trois milliards neuf cent trente-deux millions deux cent soixante-sept mille quatre-vingt-quatre vers zéro sans que tes gestes ne soient perturbés par ta pensée. Ton décompte se fait assez rapidement, même si tu penses les nombres en toutes lettres. Tu t’interromps à trois milliards neuf cent trente-deux millions quarante et un mille six cent quatre-vingts, après l’avoir assis, rouvert et agrandi sa plaie.

- « C’est... grave ?
- Non. Et si c’est pour dire ça, tais-toi. »


Évidemment que ce n’est pas grave mais tu viens de remarquer que le bout de bois comprend un bout d’aiguille appuyant sur le canal de Guyon... 3932267084 multiplié par 3932041680 font 15461838071180060000 soit quinze trillions quatre cent soixante et un mille huit cent trente-huit billions soixante et onze milliards cent quatre-vingts millions soixante mille... et qui a sans doutes permis de pénétrer le canal carpien. Tu ne sais absolument pas comment il a fait son compte mais avec tous les abrutis du coin, tu ne te poses pas la question non plus. Et tu te fiches complètement qu’il te regarde bizarrement depuis que tu t’es figé pendant vingt-six secondes, dont cinq pour penser en chiffres et douze en toutes lettres le résultat de ton calcul. Tu reprends ton décompte mentalement et enlèves conscieusement l’écharde puis le bout d’aiguille, nettoyant correctement le tout. Tu prends mieux en charge la plaie qui est passée de microscopique à petite, la nettoies ensuite et lui bandes la main. Quoi, tu aurais pu lui proposer une anesthésie ? Il ne l’a pas demandée et a voulu tanker la douleur, il assume. Plus ça va, plus tu vois un tic agiter son œil gauche jusqu’à ses sourcils se froncer – alors que sa main est bandée depuis plus de quelques secondes. Hm. Il la sent à retardement, donc. Tu poursuis ton décompte, imperturbable, et tu vas écrire tes instructions sur un bout de papier que tu lui fourres dans sa main libre.

- « Soit tu reviens dans deux heures puis ce soir, soit tu vas pioncer dans la salle de repos.
- J’ai des vertiges... et un haut-le-coeur...
- Laisses ton estomac à sa place et va pioncer. »


Tu le surveilles du coin de l’oeil et l’accompagnes en posant le nécessaire à côté de son lit et, après le formidable rappel qu’il nettoiera toute la salle s’il s’avise de vomir ailleurs que dans la bassine et de partir sans la laver s’il vomit, tu retournes dans l’infirmerie et vas pour verser l’eau chaude sur ta mouture. L’imbécile n°44 te voit, soit elle comprend qu’elle peut entrer et déballer en vitesse ce qui l’amène soit elle souffre en silence.
:copyright: 2981 12289 0
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