Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.
Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici...
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
Haters : 1008
Jeu 9 Jan - 3:31
.
Featuring Eglantine
S’il y avait bien une chose que Basilio DETESTAIT, c’était perdre son temps. Ce qu’il détestait ENCORE PLUS ? Qu’ON lui fasse perdre son temps. Déjà qu’il n’était pas tendre avec lui-même lorsque c’était de sa faute, alors si l’erreur provenait d’une autre personne… Comment dire que le petit américain n’allait pas se montrer bien sympathique avec ? … Et comment dire aussi que Basilio Tsumi avait la fâcheuse tendance à rejeter la faute sur les autres, en plus, en général ? Donc en gros, la chose à retenir : ne soyez JAMAIS dans les parages lorsque Basilio fait de la merde, car ça ne sera JAMAIS sa faute. Oui, même le micro tremblement de terre causé par votre nez peut être la raison de son échec et donc de toute acte chronophage et sans résultat convaincants. Non mais non, chut, votre faute, ne cherchez pas, point barre.
Ce genre d’échec, d’habitude, il préférait les oublier. Mais c’était compliqué quand l’égo prend un sale coup, assez pour rentrer dans son top 3 des pires fails de sa vie ! (Devinez ce qui est en numéro 1 ? Fauteuil Roulant ? Vous l’avez ?) Bref, il y avait donc cette histoire (classée numéro 3) qui s’était passée il y avait un an plus ou moins de cela… Cet immense gâchis d’heures, que dis-je, DE JOURS ENTIERS, n’était ab-so-lu-ment pas de sa faute. Et encore moins de sa manie à foncer dans le tas sans chercher à se renseigner d’avantage… Beh non, voyons. Après tout, un journal français, c’est censé dire la vérité, non ? Ou ne pas EXTRAPOLER ? (Basilio ? Avoir lui-même abusé les choses ? Si peu…) Donc quand vous lisez qu’un dessin, créé par une personne pouvant donner vie à ses coups de crayon, a saccagé une école… C’est censé être intéressant comme pouvoir, non ? Assez pour prendre le premier train, débourser des centaines d’euros, et faire Paris-Bretagne pour retrouver la super qui a mis un tel bordel et lui acheter du sang, NON ? Il avait passé plusieurs jours là-bas, le temps de mener son enquête et de retrouver cette personne si fabuleuse à ses yeux.
Puis il avait rencontré Eglantine. Et à cette époque, le français du Tsumi était si pitoyable qu’il n’avait pas encore pu faire le rapprochement entre son prénom et une insulte qui allait à ravir avec cette soit disant mutante de pacotille… Bref, résultat des courses : Eglantine ne lui servirait à rien tout comme son propre pouvoir ne servait à rien !... Et il devait garder cet échec en mémoire…
Désormais, depuis cette sombre affaire, lorsque Basilio lisait le journal… Il s’avérait être un peu plus à cheval sur les détails, sur la véracité de ce qui était écrit, quitte à faire quelques recherches. Et dire qu’il avait fallu l’histoire de la prétendue arrestation du tueur Xavier Dupont De Lyon pour que les Français commencent à se rendre compte du bullshit qui pouvait être écrit dans les médias… Un adolescent de 15ans avait de l’avance sur un peuple entier ! Bon, Baz était plus intelligent que beaucoup de monde après tout, donc au final, c’était normal…
C’était donc avec une sale manie (presque paranoïaque), que l’adolescent posa son journal sur la table et se mit à pianoter sur son téléphone pour voir la météo de demain. Ne jamais croire les journaux. L’un de ses nouveaux passe-temps était désormais de vérifier chaque info puis d’insulter d’idiot le journaliste qui avait écrit de pareilles bêtises. Avec toute l’amertume hautaine possible venant de sa part.
« Soleil, tiens tiens… Et pas nuageux. Bullshit, bullshit and bullshit again… » maugréa-t-il, satisfait d’avoir encore démenti les écrits d’un journal. Si satisfait que, lui qui d’habitude, avait tendance à lever son nez de son quotidien lorsque quelqu’un rentrait dans la salle du foyer, ne releva même pas cette information mentalement…
Code par Melody
Basilio Tsumi
Invité
Invité
Invité
Dim 12 Jan - 15:11
S'il y avait bien une pièce que j'adorais dans toutes les écoles où j'avais pu aller, mais notamment le lycée, parce que les autres n'en avaient pas...C'était bien le foyer. Faut dire que c'était l'endroit où il y avait un ordinateur, le plus souvent, et que je devais bien l'avouer : j'étais une "grosse geek". J'adorais passer mon temps sur internet et ça n'allait pas changer juste parce que j'étais chez les supers méchants.
Enfin super méchants c'était à revoir parce que super crétin ils semblaient l'être aussi pas mal. Un instant je repensais à ma chute dans le lac, et à ces trois types et je levais les yeux au ciel. Mais bref, toujours est-il que même si j'avais eut le droit de prendre mon ordinateur portable avec moi (apparemment, c'était un avantage que mes parents aient un peu d'argent), j'aimais aussi trainer au foyer. Parce que c'était aussi le meilleur endroit pour se faire des amis. Et même si je doutais que dans ce maudit institut je me fasse tant d'amis que ça, au moins, je pouvais toujours essayer de trouver des gens un minimum intelligent. Et puis, je pouvais aussi tenter d'être tolérante. Hier, ma mère m'avait appelé et c'est ce qu'elle m'avait dit "soit tolérante avec eux Eglantine, ils ne sont pas si méchants".
Mon c** oui. Ahem. Je n'avais bien sûr pas répondu ça à ma mère, sinon, je suis persuadée qu'elle serait parvenu à user de son pouvoir même depuis le téléphone, et me faire tremper d'eau n'était guère appréciable. Surtout que j'avais déjà eut mon lot de trempette pour la vie, vu mes dernières aventures. Bref.
J'arrivais donc dans le foyer, qui contenait alors une télévision, un babyfoot et... Oui il y avait bien un ou deux ordinateurs mais ils étaient déjà pris. Je fis une moue, prête à repartir. La télé c'était pas mon dada. Ma maman la regardait souvent avec Olivier, mais moi... Bof.
Et ne disait-on pas que ça rendait idiot ? Mais alors j'entendis une voix.
Et ce qu'il fallait savoir, avec moi, c'est que les voix et les visages je les retenais super bien. Genre, pas méga giga bien genre je me rappelle de tout, mais tout de même ! Et cette voix, comme elle semblait m'avoir marqué, elle me fit me tourner vers la silhouette qui venait de se plaindre notamment en anglais.
C'est là que je ne mis pas très longtemps à le reconnaître. Ce type. Ce mec. Ce..... Je sentis comme une pointe de colère s'appuyer sur moi et fit une mauvaise moue. Je n'étais même pas surpris qu'il soit ici au vu de qui il était. Vu comment il m'avait traité.. Mais croyez moi, Eglantine Goyache (donc moi), ne se laissait jamais marcher totalement sur les pieds. Je me rappelais de ce type qui parlais français comme un cul (zut, j'ai oublié de mettre mes astérisques mentales), et qui m'avait regardé avec tant de dédain pour mon pouvoir... J'avais toujours mon carnet sur moi.
Je pouvais bien lui faire un petit dessin, non ? J'espérais sincèrement qu'il prendrait vie de suite d'ailleurs... Je réfléchissais un instant et dessinait une abeille. Elle allait me permettre de pouvoir foncer sur ce type et d'aller le piquer si j'avais envie. Mais elle n'apparu pas. Je grimaçais, en griffonnant trois avant qu'enfin une ne prenne forme. C'était ma plus belle en plus. Elle se souleva et tomba au sol, juste aux pieds de ce type, sans même le piquer.
- Mais non, idiote ! Vole !
Me rendant compte que j'avais quasiment crier ça et donc qu'il allait forcément me regarder, je repris ma moue et le fixait avec colère :
- Hey you, I know you suck in french, alors je vais exprès te parler en français pour te faire iech !
...Désolé maman du gros mot, promis, je me laverais bien la bouche avec du savon.
- J'suis même pas surprise que tu sois là ! T'es trop méchant !
Eglantine, Eglantine, ce n'était pas très classe de juste lâcher ça. Argh, j'avais l'air d'une enfant de maternelle. Zut, il fallait que je me rattrape....
Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.
Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici...
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
Haters : 1008
Lun 13 Jan - 5:40
.
Featuring Eglantine
Concentré sur sa lecture (ou sur sa recherche de nouvelle bêtise à pointer du doigt avec tout son dédain possible), tête baissée sur ses lignes, un petit quelque chose dans sa périphérie visuelle aurait pu attirer l’attention de Basilio, si cela n’avait pas laché un dernier souffle aussi silencieux que rapide et pitoyable, tombant au sol. Sans un bruit. Non. Le seul bruit qu’il y eut, fut une voix grinçante du point de vue de Basilio. D’abord agacé, il roula des yeux rapidement, persuadé que c’était une élève juste idiote, n’importe laquelle, il y en avait tant, après tout ! Mais un tilt résonna dans sa caboche. Cette voix détestable… Il la connaissait ! Et ça n’était certainement pas une voix parmi tant d’autre qu’il aurait entendu au détour d’un couloir, non ! Il n’aurait pas eu un frisson de mauvais karma lui traverser l’échine dans ce cas-là ! Baissant alors son journal pour observer la propriétaire de cette voix agressante… le papier tomba finalement sur ses jambes. Eglantine. Eglantine Goyache était là. (Oui, sa mémoire allait jusqu’à garder en tête son nom débile.) Et pire, elle lui parlait.
Il aurait pu regarder autour de lui, voir s’il n’y avait pas un autre malheureux à qui cette folle alliée s’adressait. Et il l’aurait plaint alors, offrant même un sourire pincé et désolé face à l’existence de ce boulet ! Mais non. Elle était là pour lui. Elle lui parlait à lui. … Et elle était bien plus pitoyable qu’avant. Sérieusement, c’était terrifiant, lui qui pensait qu’elle avait déjà atteint ce paroxysme, mais non ! Elle pouvait s’enfoncer encore plus que ce que son pouvoir faisait déjà ! Sourcil relevé, l’américain la laissa déblatérer ses inepties. Par fatigue ? Patience ? Ou parce que son cerveau avait tout simplement du mal à se rendre compte qu’elle était bel-et-bien là devant lui, à se donner en spectacle ? … Non, son cerveau marchait très bien. C’était uniquement par fatigue. Et parce que ses yeux curieux s’étaient baissés sur un gribouillis au sol. Pour lequel il se pencha pour le ramasser, admirant le chef d’œuvre d’un œil dubitatif. Elle avait voulu faire quoi, là, en fait, avec ça ? … Oui, bon, il y avait autre chose à demander avant.
« Par contre, moi, je suis surpris que tu sois là. » répondit-il dans un français soutenu, jusque dans son accent (bien que roulant encore les r et prononçant quelques ou à la place des u), répondant en quelques sortes à la première bêtise de la blonde. Elle avait bien tort de le penser toujours avec un français aussi pitoyable : Même le pire crétin se serait amélioré en avec une année passée ici, c’était évident. Et le meilleur, c’est-à-dire Basilio, ne pouvait que mieux faire, surtout avec une professeure comme Charlie Wood, une véritable tortionnaire mais… Que l’américain pouvait largement remercier pour lui avoir enseigné les rudiments de la langue de Molière.
« Enfin, par contre, je ne suis pas étonné de la couleur de ta veste. Il n’y a bien qu’en payant que tu peux te retrouver ici… Toi et… » Beaucoup de dégout s’échappa de son visage, tordant sa bouche et son regard, presque apitoyé aussi par sa création. « … Ton monstre. Un véritable monstre de Frankenstein. A la différence que cet homme était intelligent. Au moins. Et que sa créature faisait bien plus peur que ça.. » dit-il, présentant le gribouillis au centre de sa main. Quelques regards étaient portés sur eux mais... Rien d'inhabituels. Selon le ton, ils allaient rapidement retourner à leurs affaires. Sauf si la scène devenait drôle. Ce qui l'était déjà, du point de vue du Tsumi. Eglantine, super-vilaine. La blague.
Code par Melody
Basilio Tsumi
Invité
Invité
Invité
Lun 13 Jan - 11:08
Il ne me laissa pas le temps de me reprendre. Bien évidemment, il était super méchant et méprisant, ce mec. Le peu que je l'avais vu, m'avais donné envie de lui refaire son visage. Et même Julie (ma meilleure amie, j'avoue, ça fait longtemps que j'y ai pas pensé, et pourtant elle est trop cool !) avait été d'accord qu'il avait été incorrect. Julie, elle utilise toujours un langage de noble en mode "je sais bien parler", mais je l'adore, et croyez moi que quand elle s'énerve et qu'elle veux insulter les gens, ça peux devenir soudainement super méga drôle. Bref, il me laissa pas le temps de lui répliquer un truc cinglant, qu'il parla avec un français relativement correct. Zut. Je pourrais plus l'embêter avec ça. Il pouvait pas rester nul ? Cela aurait été mieux non ? J'étais déçue et fis une moue.
Et pis en plus, il disait être surpris de me voir là. Je voyais pas pourquoi ! Enfin si. Je n'avais rien à faire là. Moi j'étais une future super héroïne. Faire le mal, je serais jamais capable. Mais je me doutais que ce n'était pas ce qu'il voulait dire, en fait. Il parla ensuite de ma couleur de veste. Jaune, comme si j'avais bien compris "Les fils à papa". J'étais pas une fille à papa. J'étais juste.... Bon ok, mes parents avaient payé pour que je puisse rentrer plus facilement mais.... Mais ce type là. Ce type qui se foutait de la gueule de mon pouvoir. Ca me rappelait cette femme à mon entretien qu'avait dit que même sa nièce dessinait mieux que moi. Même pas vrai ! Mes dessins étaient super beaux !
Je lui arrachais mon abeille morte des mains et m'avançais brusquement vers lui. Un instant, une voix dans ma tête me fit prendre conscience qu'il avait un uniforme rouge. Depuis quelques temps, je faisais attention aux uniformes. Parce qu'apparemment, oui, il y avait de l'importance. Si je me trompais pas, c'est qu'il avait un pouvoir badass. Mon c... oui. J'étais sûre qu'en fait son pouvoir était trop nul.
- Je suis rentrée aussi par mes propres moyens ! Mes parents ils ont juste aidé un peu ! Le type qui m'a fait passé l'entretien a été impressionné ! Tu peux pas savoir t'étais pas là !
Un instant, la voix d'Olivier traversa mon oreille "Grande soeur, parfois tu agis comme une enfant, peut-être que c'est pour ça que tes dessins en ont le niveau" et ça m'énerve encore plus. J'avais menti, parce qu'en fait, le type de l'entretien avait pas tant été impressionné. Tout le monde disait que je dessinais comme un maternelle voire pire. Mais c'était faux ! Elle était belle mon abeille non ? Elle était morte parce que...Parce que ! Parfois mes dessins ne survivaient pas !
- Et si tu veux, je peux te dessiner un truc bien plus effrayant tiens !
Voilà, s'il me provoquait j'allais répondre à ses provocations !
Frénétiquement je dessinais un vampire. Mais il ne fit pas son apparition. Vexée, je dessinais alors rapidement une momie. Peut-être trop rapidement parce que je n'eus pas le temps de m'attarder sur les détails... J'espérais que la momie ne mourrait pas vu qu'elle était déjà morte de base. Je la laissais apparaître sous mes yeux, et elle poussa un râle d'agonie, ce qui était digne d'une momie. Elle termina au sol, et sembla ramper jusqu'à ce crétin dont j'avais oublié le nom. Je l'encourageais du regard.
Elle semblait dégouliner en même temps, ses bandes que j'avais dessiné bougeant en même temps, et elle essaya de grimper sur Basilio, la main - enfin le moufle, j'avais été trop rapide - tendue, encore agonisante. J'avais un sourire fier.
- Ha ! Tu vois que je peux faire plus effrayant que Frankenstein !
Il avait intérêt à arrêter de se moquer, sinon je m'arrangerais pour l'étrangler, et cette fois de mes propres mains !
Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.
Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici...
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
Haters : 1008
Ven 31 Jan - 22:00
.
Featuring Eglantine
Brrrr. Cette idiote venait de toucher la main de Baz pour récupérer son cad… … Son gribouillis. Cette pauvre « abeille » n’avait même pas eu la décence de vivre assez longtemps pour que… « ça », puisse être nommé comme cadavre. Grimaçant en se pinçant les lèvres, par automatisme, l’américain se pencha sur le côté de sa chaise roulant pour sortir d’une des poches un gel hydro-alcoolique et se nettoyer les mains entre elles. La connerie ne s’attrapait pas, certes, mais savait-on jamais… … Okay, par contre, elle était TROP proche. Et genre un possible postillon bien visé (du genre sur les lèvres de Baz… BRRRRRR), lui, pouvait CLAIREMENT rendre l’adolescent aussi débile qu’elle (de son point de vue). Et il re-fu-sait, même d’avoir son pouvoir ! Il avait beau savoir dessiner (un minimum) (enfin, toujours mieux qu’elle dans tous les cas) il était sûr qu’elle avait un souci pour dessiner aussi MAL et qu’il chopperait aussi ça en plus de son pouvoir ! Et puis, copier une ratée, c’était MORT ! Copier EGLANTINE, ET PUIS QUOI ENCORE. Copier le pouvoir de l’alcoolique de service jaune ? Tsss. Bref, tout ça pour dire, par mesure de précaution, il pinça encore ses lèvres entre elle pour éviter la transmission de salive et eut un petit mouvement de recul, alors qu’elle continuait à déblatérer de ces conneries…
Intérieurement, Basilio Tsumi se gaussait. Oui, oui, ses parents l’avaient aidé, un peu. Comme tous les autres jaunes, en fait. Mais il préféra la laisser dans sa mauvaise foi, après tout, ça n’était pas son rôle de rappeler à ce genre de personnes à quel point elles étaient pitoyables. … Disons qu’il pouvait le prendre, éventuellement, ce rôle, mais là, il avait clairement la flemme de la rabaisser, elle le faisait très bien toute seule aussi…
« Ah bah j’ai hate de voir ça… » annonça faussement et sur le ton le plus ironique au monde, son ‘envie’ de voir un truc effrayant de la part de la blonde. Son coude sur l’accoudoir de son fauteuil, il plaça sa joue dans le creux de sa main, avec un air las, attendant donc le chef d’œuvre… Avec une certaine impatience. Comment Eglantine Goyache allait encore se ridiculiser ? C’en était un véritable spectacle. De son échec, jusqu’à… la création de… … De… … de un… Une… Bordel, c’était quoi ça ?
« UNE MOMIE ! » cria Baz en tapant dans ses mains, comme s’il donnait la réponse à un jeu du genre « dessiner c’est gagner » ! « C’est une momie ! … Enfin, Je crois ? Après, plus effrayant que Frankenstein… Je t’avoue ne l’avoir jamais croisé. Donc te faire un comparatif serait compliqué. » Comment dire qu’il n’était pas du tout impressionné. Et s’il avait tord et que cette… chose présenterait un minimum de danger… l’americain saurait comment s’en occuper. Mais pour l’heure…
Pour l’heure, Basilio eut pitié de la créature qui venait d’agripper une de ses jambes… Et qui la tirait. Le décalant tout juste du repose-pied. C’est que ça avait un minimum de force, pour un truc raté ! L’observant quelques secondes, l’adolescent de 16ans finit par lancer un rapide regard sur la créatrice de ce bordel… Et se pencha en avant, tripotant quelque chose vers son genou, à travers le tissu. Clic. Clic. Quelques instants plus tard, la Momie eut la possibilité (et peut-être la joie ?) de câliner la prothèse en plastique qui remplaçait le pied et le mollet et qui venait de tomber au sol dans un petit bruit. Après, est-ce qu’elle allait profiter de ce cadeau ou non ? Enfin, la question était plus, est-ce qu’elle aurait le temps ?
Les yeux bleu dignes de la Tsumi Family roulèrent à nouveau sur la blonde, dans un regard incrédule.
« Me voilà totalement à ta merci je crois… privé d’une de mes jambes… Félicitation, je t’ai mal jugée, tu as bien ta place à Trueman… »
Code par Melody
Basilio Tsumi
Invité
Invité
Invité
Lun 3 Fév - 10:49
Je sentais bien que ce type se foutait de ma poire ! Déjà quand on s'était rencontré, il s'était moqué de moi. Il m'énervait vraiment, j'avais envie de lui montrer que j'étais meilleure que ce qu'il pensait ! Mes dessins étaient bien, et ce qu'ils faisaient étaient bien ! ...Bon parfois ils faisaient n'importe quoi, mais... Mais c'est parce que je devais juste m'améliorer dans leur contrôle c'est tout ! Et j'ignorais d'ailleurs totalement comment m'améliorer là dedans, mais... Mais c'était pour ça que j'avais voulu rejoindre l'école des héros ! Mais non, j'étais à l'école des zéros, ceux qui étaient "méchants". Argh. Dans tous les cas, je détesta immédiatement la réaction que ce mec eut. Genre ça se voyait pas que c'était une momie ?! C'était une très belle momie en plus ! Je le regardais avec les sourcils froncés. J'avais envie de lui faire rappeler ses mots, en plus de lui rappeler que Frankenstein, ce n'était pas le nom de la créature, qui s'appelait "La Créature". Ce type était totalement inculte en plus. Il me tapait vraiment sur les nerfs.
Mais bientôt, ma momie alla attaquer ce type, et j'eus un large sourire victorieux. Avant de le perdre. Parce que clairement, machin... ....Basitruc ne semblait pas du tout impressionné par l'attaque de ma momie. Je fis une moue, même si j'encourageais mentalement ma momie, espérant que ça servirait à quelque chose. Sauf que quelque chose arriva auquel je ne m'attendais pas. Un objet tomba. Sauf qu'au lieu d'être un objet banal, c'était...Une jambe.
J'eus une grimace rapide, avant d'être surprise, et de comprendre. Eglantine, tu as été stupide, voyons. S'il était assis dans une chaise roulante, ce n'était pas pour faire joli finalement... J'ignorais sa remarque pleine de sarcasme, et enlevait la momie de la jambe, que j'observais, avec un air un peu mal à l'aise.
- ...T'as une jambe en plastique...
Même si je trouvais ça super cool parce que cela me faisait penser à Full Metal Alchemist, mais en plastique, il n'empêchait que c'était aussi super triste. Je levais un regard vers lui :
- ...J'suis désolé, j'savais pas, j'aurais su, j'aurais fait attention....
Je soufflais :
- Même si t'es un sale type quand même.
Je croisais les bras, et regardais la momie ramper pour aller retourner vers la prothèse. Je crois qu'elle l'aimait bien. Elle s'y accrochait dans un râle digne d'une véritable momie - aha ! Mon dessin il est pas réussi hein ? EH BEN SI ! -
- ....Je crois qu'elle aime bien ta prothèse. Tu veux que je l'enlève ?
Parce que maintenant, à regarder mon dessin s'accrocher comme ça, je me sentais un peu honteuse.
Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.
Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici...
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
Haters : 1008
Jeu 27 Fév - 4:56
.
Featuring Eglantine
Clairement, Basilio se foutait de sa gueule. Quasiment depuis le début de leurs « retrouvailles » (enfin, ou tout autre synonyme car ce mot semblait trop positif, ce qui ne l’était clairement pas). Le foyer était baigné par le cynisme du rouge et l’imbécilité (et les cris, elle avait tendance à parler ultra fort, encouragé par sa stupidité sûrement). Et en fait, c’était pas si dérangeant que ça, cette ambiance. Bon, clairement, il préférait continuer de lire les bêtises du journal et de relever d’autres inepties et mensonges de la part des journalistes de ce torchon (du genre, pour la météo de demain !) mais… S’il devait choisir maintenant entre continuer de subir la présence pathétique de cette Eglantine en mode « je parle pour rien dire » et son mode « triste et mal à l’aise »… Il aurait clairement préféré rester sur le premier.
Eglantine Gouache (ou quelque soit son nom de famille) était gênée. Captain obvious venait de capter que cette jambe immobile et qui n’avait pas forcément une chaussure dans un angle très classique humainement parlant, était fausse. Après son ignoble et effrayante attaque qui avait bien failli offrir une crise cardiaque à la pauvre victime américaine, voilà que la jaune fit part de sa découverte et qu’elle s’excusa. Avec un air de chien battu. Hey, c’était Baz ou elle qui venait de se faire arracher sauvagement un membre par une momie là ?! Bref. L’oméga détestait ça. Ce manège incessant de ressentis à son égard. La surprise, le malaise, la tristesse, le pardon, la pitié. Ce si bel enchainement qu’Eglantine suivit plus ou moins à la perfection.
…
Bon, il y eut une petite surprise imprévue : Elle avait au moins la décence de rester sur ses positions et de continuer de penser et de clamer qu’il était un sale type ! De l’inédit ! Ça alors, cette petite idiote savait se démarquer du lot d’humains stupides dans lequel Basilio l’avait placé mentalement ? Impressionnant. Ok, elle avait un minimum sa place au dessus des FDP. Ce qui, en soi, n’était pas un compliment non plus mais Basilio le reconnaissait quand même : les étudiants de l’Institut se plaçaient au dessus de la race humaine, par leurs pouvoirs (même les plus pathétiques). Légèrement. Un chouïa. Fallait pas abuser non plus. Et avec son pouvoir et le fait qu’elle n’ait pas changé de position malgré le malaise, cette Eglantine pouvait profiter d’un égard légèrement plus important que les gris. Mais clairement, pour un œil non habitué, il n’y aurait aucune différence. A ce degré là, elle ne se faisait que dans la tête de Basilio.
Silencieux, seuls ses yeux offraient un minimum d’action. Regardant tantôt la blonde et tantôt son monstre, Basilio sentit une de ses commissures désireuses de se relever. Le bruit que vomissait cette pauvre chose était quand même… Horriblement drôle. Et pathétique. … Comme sa créatrice qui notait l’amour fou entre les bandelettes ambulante et le bout de plastique. Captain obvious, encore. C’était fou, c’était son pseudo de super-vilaine, non ? Ou de super-héroïne plutôt ? Enfin… Le « super » était vite dit. … Comme le « héroïne » en fait…
« Non, laisse, je dois devenir empathique, j’ai du absorber la pitié que tu as émis à mon encontre et j’en ai pour elle maintenant… Et puis, démembré pour démembré… » dit-il pensivement, posant son menton sur son poing comme acoudoir. Il était désespéré. « Accorde-lui ses derniers instants de souffrance avant la libération de son âme. Ca devrait prendre… Combien de temps… Deux trois minutes, no ? » C’était une réelle question, avec une pointe de curiosité… Bon, et de sarcasme, certes. Cette pauvre chose semblait bien tenir par rapport à son dessin de frère, mort en quelques secondes.
Et c’est dans une ambiance encore plus malaisante et bruyante (avec la « momie » et ses râles) que les deux autres étudiants de la pièce décidèrent de partir, laissant Eglantine et Basilio seuls. … Et ses deux cadavres. Oui, bon, la momie n’était pas encore morte mais en soi, si, quelque part, non ? C’était le principe d’une momie.
« Bon, au moins ton spectacle pathétique aura fait dégager ces deux idiots. » Dépliant son journal à nouveau devant ses yeux en donnant un petit coup pour remettre les feuilles droites, Basilio ajouta : « Tu mettras mon membre sur la table avant de partir. Oh et n’oublie pas de fermer la porte, avec les courants d’air, manque plus qu’en plus d’être handicapé par ta faute, je tombe malade. Quoi que, ça serait digne d'une super-vilaine tu me diras... »
Code par Melody
Basilio Tsumi
Invité
Invité
Invité
Ven 28 Fév - 22:08
Ce sale type handicapé - pardon maman, pardon papa, vous m'avez toujours appris à respecter les handicapés, mais jamais les sales types, alors j'ai mes priorités -, continua d'être ce qu'il était. Un sale type. Plus je le répétais mentalement, mieux ça m'empêchait de lui griffer le visage, avec des ongles que je n'avais pas. Maudite habitude de les bouffer. Ca me donnait envie de me remettre du vernis dessus pour jamais les bouffer, et le griffer. Hehe. L'idée me plaisait.
Dans tous les cas, il voulait laisser ma momie là, et je fis quand même une moue. D'autant qu'il douta de moi. J'eus un large sourire machiavélique - comprenez par là que j'avais un grand sourire. Je sais pas si je savais être machiavélique en fait... -
- Sache, monsieur l'insupportable petit.... Voilà, que mes dessins peuvent tenir une heure....
J'avais un large sourire. Haha. Arriverait-il a supporter ce fait ? Moi j'y arriverais. J'avais l'habitude. Je ne pouvais pas faire disparaître de moi même mes dessins. Cela ne me dérangeait pas. Je laissais la momie câliner la prothèse. Après tout...Bon. Pourquoi pas ? Je vis alors le foyer se vider. Roh. Ils étaient nuls les autres gens.
Bien sûr, le sale type répondit avec mépris et je fronçais les sourcils. Il était vraiment pas sympa. En plus, il se remit à lire son journal, comme ça. Et m'envoya des ordres bien évidemment très méprisants. Je l'observais un instant, et lâchais soudain avec un large sourire :
- Bien sûr, et monsieur prendra du thé avec ceci ?
Je repris soudain mon crayon et me remit à dessiner, une tasse de thé avec une cuillère. Elle n'apparu pas. Bon tant pis.
- Ou bien.... Je pourrais lui faire la lecture ?
Je lui arrachais des mains le journal, et lu, un article imaginaire :
- Elle encastre un handicapé par la fenêtre. Oh ! Ca a l'air intéressant celui ci.... Il y a même un témoignage, écoute : "Il me traitait comme s'il était un petit roi, je ne l'ai pas supporté, je vous jure que c'était de la légitime défense"
Et je déchirais soudain le journal. Ok. J'avoue. J'allais un peu loin. Sûrement. Mais... J'y pouvais rien. Il était tellement insupportable, j'arrivais pas à me contrôler. Papa me l'a toujours dit, j'étais trop impulsive. Parfois, Olivier lui même allait pleurer vers maman parce que....Parce qu'il était tellement énervant aussi. C'était mon petit frère, alors c'était peut-être normal, mais...
Je fixais Basilio - si je me trompais pas de nom, et au pire, tant pis - avec colère.
- Voilà ! Et puis de toute façon, tu peux te moquer, mais toi, tu sais faire quoi hein ?
Je failli lâcher une très grosse méchanceté mais me retins. Je n'étais pas méchante. J'étais juste en colère.
Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.
Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici...
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
Haters : 1008
Lun 23 Mar - 6:18
.
Featuring Eglantine
C’aurait été trop beau que cette Goyache parte. Basilio le savait clairement. Tout se passait exactement comme il ne le voulait pas à l’Institut Trueman, le repère des trous du cul. Le repère des rendez-vous-même. Qui il y avait d’autre ? Oh, la team Harker, déjà et… Et la Team Tsumi aussi en fait. Bon, l’américain dégagea sa jumelle, quand il visait sa famille c’était surtout sa cousine Altéa et… lui-même. Il savait qu’il était à sa place ici, clairement. Il ne vivait aucunement dans le déni. Mais il avait espéré que, ici, il n’aurait pas à subir les autres. Qu’il y aurait un minimum de respect ou du moins, que ces personnes comprennent le concept de hiérarchie et qu’ils s’écrasent (quelque soit le sens du terme) devant lui au moins. Car oui, Basilio était au sommet. Entre les Harker. Au dessus de Lotre et… En dessous d’Orian.
Mais non.
NON.
Rien de tout ça ! Cette blondinette continuait à l’ouvrir et à désespérer de plus en plus le pauvre adolescent qui ne demandait qu’à vivre tranquille. Sans déconner, pour une fois, il était juste là et… les emmerdes venaient à lui. Était-ce encore Kakarma qui frappait ? Parce que devoir supporter cette mutante de bas étage et sa momie et ses beuglements pendant une heure…
« Je suis américain, pas anglais, débile… » siffla-t-il, presque agacé qu’on l’associe à un british. Quelle raciste incapable de différencier les deux nationalités ! Ou alors elle avait dit ça au pif. Dans tous les cas, il détestait le thé, ça ne changeait rien. N’ayant même pas levé son regard du journal, le garçon ne s’aperçut donc même pas de la tentative d’Eglantine (heureusement pour elle) et l’ignora royalement. C’était comme les enfants, elle allait en avoir marre et aller voir ailleurs si elle n’avait pas de spectateur et…
« Non mais ça va oui ?! Mais omaïgad touche tes fesses et rends-moi ça ! »
Clairement, il était outré ! Essayant d’attraper le papier, finalement hors de sa portée, Basilio ne put que se raviser, recollant son dos à son fauteuil, dans un long soupir, qu’il fit durer le plus longtemps possible. Tout ça pour gâcher la pseudo lecture de cette folle furieuse. Zen Basilio. Il fallait rester zen. Mais comment le rester alors que cette stupidité sans nom venait de réduire en miette son quotidien ?! Mais il lui manquait une case, clairement ! …
Oui.
Clairement.
Il lui en manquait autre qu’une seule.
Elle venait elle-même de provoquer Basilio à faire une démonstration, là, non ?
A quelqu’un avec un uniforme rouge.
Si si.
Bien sûr que oui.
Le regard agacé de Basilio identifia rapidement l’emplacement de sa prothèse avant de le reposer sur cette blonde sans gêne et casse-pied. Et d’un mouvement sec de main, il actionna un mouvement de croche-pied à sa prothèse pour renverser Eglantine par terre.
« Je sais faire ça. »
Secouant sa main comme pour déconnecter le lien créé entre elle et sa fausse jambe pour montrer sa télékinésie du moment, il finit par attraper un semblant de balle invisible devant lui et imita le geste d’un lancer en direction de la pauvre fille à terre… faisant s’envoler la momie en plein sur sa figure.
« Et ça aussi. »
Il pouvait être encore plus connard mais… ça restait une fille. Pathétique, en plus de ça. Clairement pas le niveau d’un oméga.
« Et je sais faire beaucoup d’autres choses. Mais pour faire simple… » Il se pencha en avant, croisant ses bras entre son torse et ses cuisses, comme s’il lui faisait une confidence. « Je sais copier les pouvoirs des autres. » Une de ses mains se décrocha et fit tourner son index sur le côté de sa tête. « Ca va, tu commences à comprendre pourquoi j’étais venu te voir ? » Baz replongea en arrière en avouant sa faute. « Puis je t’ai rencontré et… J’ai compris mon erreur. Mais, j’ai au moins pu découvrir quelques mots sympathiques de chez toi. Comme Skarzh pe'baki unan. [Si tu dégage pas de devant moi, tu vas te prendre une tarte.]. Got it ?»
Code par Melody
Basilio Tsumi
Invité
Invité
Invité
Jeu 2 Avr - 10:56
Sérieusement. SERIEUSEMENT ?! Maintenant il se vexait parce que j'avais donné un terme général à sa langue ? Vraiment ?! Ca allait loin là... En plus j'en savais rien qu'il était américain. En plus je m'en fichais qu'il soit américain, british, ou quoique ce soit d'autre ! Il me tapait un peu plus sur les nerfs, c'est fou, comment faisait-il pour m'enrager de pareille façon ? Aucune idée. Mais il était bon, le con. ....Pardon Papa, j'ai encore dit un gros mot, je suis désolé, c'était sorti tout seul, promis je ne recommencerais plus.
Je prenais mon pied à m'occuper de son journal, mais il avait l'air de ne pas s'en préoccuper. Zut. Zut il ne faisait rien. Zut il ne disait rien. Zut il s'en fichait. Zut zut zut zut et zut ! Moi je voulais qu'il me respecte un minimum ! Mon pouvoir n'était pas aussi nul que ça ! Il pouvait servir ! Il servait ! Mon...Espèce de patron étrange, me trouvait utile, j'en suis sûre, pour ses lettres gentilles de compliment ! Alors bien sûr, je le provoquais, je pouvais pas m'en empêcher, ce type se foutait de moi, je... Je ne supportais pas ça ! C'était normal non ?! Bon ok, déchirer son journal, c'était être allé un peu loin, et peut-être que j'aurais dû me retenir mais... Trop tard. Voilà c'est tout.
Mais voilà que "l'anglais" - ha ! - fit soudain bouger sa prothèse, à distance, pour me faire tomber. Je m'étalais au sol, parce que j'étais de toute façon de base très maladroite. Grimaçant, je me rattrapais sur les mains, alors que je me pris mon dessin en pleine tête. Lâchant un petit "aïe" je finissais sur les fesses et me sentait pas bien. Ah ça, il se vengeait bien, de l'avoir un peu sous estimé sous la colère. Mais ça ne voulait pas dire que j'allais me plier devant lui et le laisser être méchant avec moi !
Seulement, maintenant qu'il m'avait montré ce qu'il pouvait faire, il m'expliqua. Et ce n'était pas de la télékinésie son pouvoir. Non. Il savait copier le pouvoir des autres. Il voulait copier le mien, et c'était pour ça qu'il était venu. Peut-être qu'il avait entendu parler de l'école que j'avais fait fermé...C'était peu avant qu'on ne se rencontre après tout... Mais venir jusqu'en France pour me chercher moi. Je m'en sentais presque flattée. Presque. Il m'insulta en breton, j'en était sûre, et je reconnaissais un peu ce qu'il me disait. J'avais un peu les yeux vers le sol, parce que je comprenais soudain pourquoi il m'avait rencontré moi, alors qu'il avait finalement mal réagi.
Mais je relevais les yeux. Je serrais les poings. Il était venu me voir moi, mais m'avait trouvé probablement trop inutile pour réellement m'utiliser pour son pouvoir. Parce que je dessinais mal, que mon pouvoir était trop instable... C'était ça, n'est ce pas ? Pourtant, je le fusillais du regard. Je me relevais, laissant tomber la momie qui fini par disparaître dans un "pouf".
A le regarder, lui et sa prothèse, je ne pouvais certainement pas me moquer de lui, n'est ce pas ? Au delà du fait qu'on ne se moquait pas des handicapés. J'en étais une aussi.
- Tu aurais pu le copier, mon pouvoir.
Je ne disais pas ça parce que j'étais vexé qu'il ne l'avait pas fait. Mais parce qu'au delà de l'utilisatrice, un pouvoir pareil était très utile. Je me rappelais tellement de la réaction de mes parents quand ils l'avaient appris. J'avais huit ans, ils étaient si fiers de moi, et me firent prendre des cours de dessin, pour que je m'améliore vu mon talent catastrophique. Pour rien, bien sûr.
Je sentais que mon regard fini par devenir ni dur ni froid, mais en fait, trop sérieux. En fait, je comprenais mieux pourquoi il me détestait. Avoir fait un long voyage pour ça. Je le plaignais presque.
- Mais j'imaginais que tu avais peur de ne plus savoir dessiner si tu le faisais.
Je ramassais mes feuilles, observait mon dessin de tasse de thé, et continua de me bercer des d'illusions, me forçant à reprendre un sourire. Je ne devais pas faire ça. Comme ça. Si sérieux. Je devais... Sourire. Sourire et le provoquer, sourire, et lui montrer qu'il ne me faisait pas peur. Alors j'eus un grand sourire et le pointait du doigt. Eglantine. Voyons, tu es forte. Tu as l'habitude. Tu ne dois pas montrer ça. Alors je braillais :
- Mais ton pouvoir a beau être très très classe, il me fait pas peur ! Tout ce que je te demandes, c'est de me respecter ! Parce que, d'abord, on est dans la même école ! On est camarades de classe ! On est humains tous les deux - bien que je me demande si tu n'es pas une créature des marais en fait - ! C'est le minimum !
Mais je savais qu'il allait se moquer de moi et me dire non. Aussi, je lui fit soudain quelque chose qui aurait fait hurler mes parents. Je fis un large doigt d'honneur, et lâchais un bon gros :
- Serr da veg, sac’h Kaoc’h !
Avant de vite courir vers la porte de sortie pour me barrer. Aucune envie qu'il m'envoie la télé dans la figure, s'il avait compris ce que j'avais dit.
[Je te laisse chercher ce que le gland vient de dire à Basilio Oh et à toi de voir si on fini ici ou pas ]
Super-pouvoir : Copier les pouvoirs des autres. Voyez-vous, chaque pouvoir se retrouve dans l'ADN et il suffit à Baz d'avoir accès à de la bave ou du sang de quelqu'un pour copier son pouvoir et muter, pendant 3 jours en moyenne.
Problèmes : de manière aléatoire, il copiera aussi certains traits de caractères, maladies ou dons... Ce qui rend Baz assez difficile dans ses envies de copie. En plus du fait que de base, déjà, il y a TRES PEU de pouvoirs intéressants ici...
Réputation (intra-école) : 8/10 : Un Tsumi, héros, sur fauteuil roulant, tout le temps hautain, aigri, et qui n'a pas beaucoup de scrupule pour clasher, insulter ou récupérer de la bave ou du sang pour copier un pouvoir... Voilà, vous avez tout compris. Puis bon, aussi, quand on passe d'Oméga à FDP puis à Héros... ça n'arrange rien.
Les Petits + : Ex oméga, il a été déchu de ce groupe... Après avoir tenté de voler les clefs des dortoirs fermés à Mila, lors de la soirée "Chaos" de la Saint Valentin... A cause de sa cousine Altéa qui a mal fait diversion, bien sûr. Tout est de sa faute. Encore. Mais vous savez ce qui est le pire ? C'est que Mila l'a bazardé chez les héros maintenant. Et c'est chiant, clairement.
Haters : 1008
Lun 13 Avr - 6:07
.
Featuring Eglantine
Est-ce que le message était passé ? D’un côté une telle menace pouvait être risible venant d’un handicapé ou encore peu prise au sérieux car « qui frappe les femmes » ? … Est-ce qu’on mettait vraiment ce gland dans la catégorie femme ? Ou dans la catégorie « chose fragile » ? Car c’était pour ça que l’on ne devait pas toucher aux femmes, non ? Car elles étaient considérées comme des choses fragiles qu’un homme viril ne devait PAS toucher, non ? Et bien Baz avait des idées TRES féministes. Tout le monde dans le même panier. Pas de viril, pas de fragile, zou. C’était ça, être un super-vilain au XXIeme siècle non ? Arrêter les distinctions et botter le cul à tout le monde ! Donc est-ce qu’il hésiterait à lui envoyer un truc dans la gueule ou se servir d’elle tout court comme objectif ? Oui.
Quel était cet air sur le visage de la blonde, quand elle releva ses yeux? … Un air déterminé ? Non… idiot, non ? Car il fallait l’être pour penser pouvoir relever la tête aussi fièrement alors que… y avait aucune fierté à être elle ! Clairement ! A croire que les blondes n’avaient au final pas une réputation pour rien… Damn. … Et voilà qu’elle lui donnait désormais une ancienne autorisation à lui copier son pouvoir. Il aurait pu la trouver davantage stupide si elle n’avait pas deviné un des mauvais côtés du pouvoir de Baz.
« Ça n’est pas ‘avoir peur’ c’est comprendre la perte de temps énorme de tout ça. » préféra-t-il rectifier. Il n’avait pas ‘peur’ d’une perte de temps, il préférait juste les éviter. Ou peut-être que ç’en était une de peur mais depuis sa chute d’un 2ème étage, il avait appris à relativiser entre les petits désagréments et cette sensation immonde de perdre pied. De réellement avoir peur. D’être paralysé par ses propres émotions et pour des choses vraiment graves. Et cette gamine (aussi vieille pouvait-elle être vis-à-vis de Basilio, il la considérait ainsi) ne comprendrait certainement jamais cet adolescent. Le fameux incompris. Le fameux être qui ne pouvait être compris par personne tant ce qu’il avait vécu l’éloignait des autres, rendant ce partage de ressentis impossible. Alors, bien au dessus d’elle et de son pitoyable vécu de gosse trop gâtée, Basilio Tsumi soupira devant Eglantine. Du respect ? Jamais de la vie. Et puis, il l’aurait laissé dans son coin si elle n’était pas venu déranger sa séance de râlement sur les journalistes ! Mais non, il fallait lui rappeler qu’elle était chez les grands méchants (autant se mettre à son niveau d’âge mental et avec le vocabulaire qui allait avec, hein), chose qu’elle semblait avoir oublié… …
…
…
Elle venait vraiment de se casser en courant après lui avoir fait un doigt ?
…
Sérieusement ?
En plus il avait rien compris à ce qu’elle avait dit. Sa propre réplique en breton avait été retenu car il avait trouvé la prononciation assez marrante. Mais le reste du vocabulaire… A part deviner une insulte…
« J’y crois pas... » rala-t-il après avoir quitté la porte du foyer des yeux et les avoir posé sur son journal… Cette fille était un poison. Infernale, gamine, chiante. … Bon, peut-être qu’elle avait un très léger potentiel pour devenir une super-vilaine si elle était à la fois pitoyable et énervante. Car elle avait quand même réussi à lui gacher sa si parfaite matinée à boire son café en lisant le journal… … Et le café était froid maintenant. … On passait d’un « très léger potentiel » à « léger potentiel » en fait, rien que par ce détail. … Enfin, du moins, s’il se considérait encore comme un super-héros. CHOSE QU’IL N’ETAIT PLUS DU TOUT, BIEN SÛR.
Bon. Du coup, il devait arriver à retrouver un journal ici… Si les supers vilains lisaient… Et comment dire que Baz avait un doute.
Accueil
![[Terminé] Il te faut un dessin pour comprendre mon "Casse-toi" ? 4f1c27d476d19772d3a8783bb8812abaf40850c6](https://64.media.tumblr.com/6bc67d0cd665189cbf4bd0a6b9bd7c31/10e5bdfbfcd5aa98-bf/s500x750/4f1c27d476d19772d3a8783bb8812abaf40850c6.gif)
Oh et à toi de voir si on fini ici ou pas 
]![[Terminé] Il te faut un dessin pour comprendre mon "Casse-toi" ? 111814institutparker2](https://2img.net/r/hpimg15/pics/111814institutparker2.png)
![[Terminé] Il te faut un dessin pour comprendre mon "Casse-toi" ? Kr0s](https://www.zupimages.net/up/19/24/kr0s.gif)
