Super-pouvoir : Jacques a dit : Barbara utilise la parole pour plier les autres à sa volonté. Il lui suffit d'utiliser la formule "Jacques a dit" pour que la suite de sa phrase devienne un ordre que son interlocuteur doit exécuter, qu'il le veuille ou non.
Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
Les Petits + : Sœur à 100% de Shana, Emma et Pascal, c'est aussi la demi-sœur de Sasuke, la belle Azalée et... Harry.
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Sam 25 Avr - 2:08
Marche à l'ombreKhaleemitée & Barbie casse-noisettesPeut-être que cette journée ne serait pas totalement une perte de temps, après tout. Qu'on ne s'y trompe pas, l'Institut était toujours un dépotoir rempli de rampants sans le sou et de bons à rien, mais enfin, il faisait plutôt bon et le soleil brillait - pour une fois - sur la capitale. Les cours étaient terminés et la perspective d'une fin d'après-midi, sinon délicieuse, au moins correcte, s'offrait à elle. Le parc était très fréquenté par ce temps radieux mais Barbara n'avait pas eu à argumenter très longtemps pour se trouver une place de choix près du lac. Elle avait installé sa serviette 100% coton sur l'herbe jaunie, s'était étirée comme un chat et avait étendu ses longues jambes graciles d'adolescente - que l'étalage minutieux de crème solaire rendait presque éblouissantes de blancheur. Lunettes de soleil Valentino vissées sur le nez, en short en jean Levis et débardeur Lacoste, elle entendait bien bronzer un peu - ou en tous cas, essayer, n'en déplaise à tous les coups de soleil qui l'assaillaient perpétuellement chaque été. Les bras derrière la tête, ses cheveux roux s'étalaient autour de son visage comme un petit soleil. La sensation de chaleur sur sa peau nue, le clapotis régulier de l'eau, le gazouillis harmonieux des oiseaux dans les arbres... Tout était presque parfait. Presque.
- Jacques a dit : plus d'air !
Bobby se mit à secouer son éventail frénétiquement, près de son faciès constellé de tâches de rousseur. Le mouvement répété commençait sérieusement à le faire suer à grosses gouttes, mais ça ne dérangeait pas Barbie plus que ça - tant qu'il ne se mettait pas à empester... Bobby ne s'appelait probablement même pas Bobby. C'était juste un FDP qu'elle avait trouvé au détours d'un couloir. Elle avait gentiment réquisitionné ses services pour l'après-midi. Il ne valait pas le petit personnel de son père, mais elle savait réduire ses exigences quand la situation l'exigeait. Elle enfonça un écouteur dans son oreille pour ne plus entendre la respiration sifflante et désagréable de Bobby et laissa sa playlist défiler, les yeux fermés, ne se souciant plus de rien, ni de son larbin d'un jour, ni des élèves qui prenaient l'air tout autour. Un petit sourire satisfait accroché aux lèvres, elle pensait au dernier tour qu'elle avait joué à Harry, en début d'après-midi. Toujours aussi inutile, toujours aussi nuisible, le cancrelat était venu se vanter pendant le déjeuner, arguant qu'Azalée l'aimerait toujours plus fort, lui, bien plus fort qu'elle ne l'aimerait jamais, elle. Après tout, il était son jumeau et elle n'était que sa demi-sœur. Elle aurait pu se laisser emporter, elle aurait pu se montrer bien plus cruelle et lui faire ravaler au prix fort sa stupide jalousie. Elle aurait pu lui demander de se planter sa fourchette dans l’œil, ou de s'étouffer avec son petit pain moisi. Elle aurait pu lui demander de lécher le sol comme un chien, ou de se briser la carafe d'eau sur la tête, mais dans sa grande mansuétude, elle n'avait rien fait de tout ça. Elle s'était contentée de lui intimer de se traîner comme une serpillière - comme la serpillière qu'il était déjà, de naissance. Il était probablement toujours en train de se tortiller sur le sol, quelque-part. Cette simple pensée la remplissait d'aise. Il n'avait que ce qu'il méritait, après tout. Elle ne lui avait rien demandé, elle. Il était venu l'emmerder en sachant très bien comment cela finirait - à croire qu'il était devenu complètement maso. Décidément, il ne pouvait s'en prendre qu'à lui-même et tout allait bien dans le meilleur des mondes. Comme de bien entendu, il fallait qu'une ombre vienne gâcher ce merveilleux tableau. Un nouvel arrivant s'était planté devant elle, ou plutôt, une nouvelle arrivante. Barbie daigna à peine ouvrir un œil derrière ses lunettes de soleil, reconnaissant la silhouette disgracieuse de Khalee, la Causette de l'Institut et ses haillons, qui s'était prise d'affection pour Harry le cancrelat. Une FDP sans intérêt, en somme, avec de très mauvaises fréquentations. C'était une visite dont elle se serait bien passé.
- Tu me caches le soleil, lâcha t-elle seulement à Khalee pendant que Bobby continuait de l'éventer à la sueur de son front. ️ 2981 12289 0
Barbara Gward
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Mer 6 Mai - 15:25
"Tu me caches le soleil."
Tu me caches le soleil ? Tu me caches le soleil ??????? Nan mais elle était sérieuse la pouffiasse ? Elle se faisait une séance de bronzage après ce qu'elle avait fait ?
J'étais dans le réfectoire lorsque Barbara ordonna à Harry de se tortiller sur le sol. Je l'avais vue tourner les talons, hautaine. Et j'avais vu plein de sales gosses se moquer de mon camarade de chambrée. Le pauvre ne méritait pas ça. J'avais donc pris sur moi pour ne pas déclencher un scandale en plein réfectoire, et j'avais ramassé Harry sous les regards, les rires et les noms d'oiseaux, puis je l'avais tant bien que mal emmené jusque dans notre chambre, où il pourrait au moins ne pas trop souiller sa réputation, à défaut de vraiment retrouver une dignité. La tâche fut rude, le petit breton essayait toujours de se re-glisser au sol quand je le relevais et le soutenais.
Une fois la porte du dortoir numéro 1 fermée, je me mis en chasse. Khalee-colère ! Il n'était pas question que la demi-soeur maléfique d'Harry s'en sorte. J'allais lui faire payer la monnaie de sa pièce (il fallait un jour qu'on m'explique d'où vient cette expression car elle a l'air bien con... Mais c'est pas le sujet). Au moins, je voulais faire en sorte qu'elle arrête l'influence qu'elle avait sur le pauvre adolescent. Même si c'était suite à une embrouille, ça ne valait plus le coup de continuer à le tourmenter.
Mais bon, est-ce que ça me ressemblait d'être polie et courtoise envers les petites pétasses ?
"Tu me caches le soleil.", dit Barbara.
Ce à quoi je répondis, d'un ton se voulant factuel :
"C'est un nuage de pluie.
Et je lui crachai au visage.
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Barbara Gward
Plus surcôté qu’un fapfap! (Enfin, que Neville, mais quand même!)
Super-pouvoir : Jacques a dit : Barbara utilise la parole pour plier les autres à sa volonté. Il lui suffit d'utiliser la formule "Jacques a dit" pour que la suite de sa phrase devienne un ordre que son interlocuteur doit exécuter, qu'il le veuille ou non.
Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
Les Petits + : Sœur à 100% de Shana, Emma et Pascal, c'est aussi la demi-sœur de Sasuke, la belle Azalée et... Harry.
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Dim 31 Mai - 0:34
Marche à l'ombreKhaleemitée & Barbie casse-noisettesLe visage figé dans l'indifférence, Barbara ne bougea pas d'un cil, déterminée à rester plus impassible qu'une statue. Les yeux de Bobby le larbin, quant à eux, s'étaient arrondis d'effroi. Silencieux, il continuait de remuer son éventail comme si sa vie en dépendait, priant silencieusement pour ne pas finir en dommage collatéral façon chiche kebab. Après quelques instants, l'adolescente prit une lente inspiration. Bien. Est-ce que Khalee venait de faire ce qu'elle croyait ? Est-ce que cette petite paysanne des bas-fonds venait vraiment de lui cracher à la gueule de la façon la plus littérale possible ? Pas la moindre justification, pas la moindre ébauche de cause, elle s'était simplement plantée devant elle pour lui jeter ses sécrétions salivaires au visage. Sa bêtise crasse n'avait-elle aucune limite ? Un tel niveau de connerie était tout à fait fascinant. Khalee savait pourtant bien à qui elle avait affaire. Elle savait qu'il ne faisait pas bon se mettre en travers de son chemin, et encore moins la provoquer de la sorte. Et elle s'exposait quand même aux représailles, sans y réfléchir à deux fois. Barbara aurait presque pu trouver cela courageux si elle avait soupçonné chez la jeune femme la moindre trace de noblesse. Cela dit, il fallait se rendre à l'évidence : elle ne voyait qu'une furie bonne à interner. Pour être parfaitement sincère, Barbara aurait pu se mettre en colère. Elle aurait pu sortir de ses gonds et abattre toute la puissance de sa rage sur la souillonne en haillons. Elle se retenait déjà de justesse de ne pas lui sauter à la gorge pour lui labourer le visage à coups de french manucure - mais bien entendu, n’en laissait rien paraître. Oui, c’est vrai, elle aurait pu se fâcher, mais cela n’aurait pas été très productif. L’adolescente soupçonnait que c’était tout à fait la réaction que Khalee attendait de sa part, et il n’était pas question de lui apporter satisfaction. Non, Barbara allait plutôt la faire payer… selon ses propres conditions. Sans hâte, elle se redressa sur un coude, sortit un mouchoir de sa poche et nettoya comme un rien le crachat sur sa joue.
- Je vois que tu as retrouvé l'usage de ta bouche, depuis la dernière fois.
Barbara faisait évidemment référence à la façon dont elle avait forcé Khaleemity au silence lors de leur dernière rencontre, lorsque celle-ci s’était mis en tête de défendre Harry le cancrelat face à elle. Calme, en contrôle, elle continua d’une voix légère, presque guillerette :
- Mais vu la façon dont tu en uses, je soupçonne ton éducation d'être à la hauteur de ton rang social. Alors, Khalee, qu’est-ce que ça fait d’être un cliché de petite racaille de cité ?
Question rhétorique, bien entendu ; l’adolescente se fichait pas mal d’obtenir une réponse. Tout ce qui lui importait était d’inculquer au petit prolétariat la leçon qu’il méritait. Personne ne crachait sur Barbara Chevalier, personne, et encore moins une créature aussi insignifiante que Khalee Desmarais. L’adolescente comptait bien lui faire regretter amèrement le jour de sa conception. Sans prêter attention à Bobby et son éventail, elle finit par s’asseoir au bord de sa serviette, parfaitement détendue et rayonnante.
- Leçon numéro un : pour une vraie dame, tout commence par la posture, et il me semble que tu manques foncièrement de souplesse. Jacques a dit : croise tes jambes derrière ta tête, puis ensuite je veux que tes coudes se croisent dans ton dos et surtout n’hésites pas à bieeeeeeeeen t’étirer car il faut que tes coudes remontent jusqu’à tes pieds.
Si elle n’était pas Elasticgirl, et Barbara doutait qu’elle le soit, il était parfaitement impossible que Khalee s’exécute sans se briser quelques os plutôt, disons… essentiels. On ne faisait pas d’omelette sans casser des œufs, pas vrai ? ️ 2981 12289 0
Barbara Gward
Invité
Invité
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Dim 21 Juin - 22:30
J'espérais pouvoir continuer la joute verbale et rabaisser cette petite connasse prétencieuse et sadique. Mais le problème avec ces putain d'Omégas, c'était qu'on ne pouvait rien faire avec eux. Soit ils prenaient la grosse tête, soit ils se grandissaient en cassant la gueule de toutes les personnes dont l'avis divergeait un peu. C'était précisément ce que Gward était en train de faire. Après m'avoir rappelé sa supériorité vilainique et insulté les conditions financières de mes parents, elle venait de déclencher son pouvoir.
Je supportais de moins en moins les gens comme elle. Ceux qui étaient nés avec une cuillère en argent dans la bouche et un sabre laser à la main. Ceux qui pensaient qu'ils étaient Quelqu'un alors qu'ils n'avaient rien à faire dans la vie à part profiter de leur héritage financier et génétique, à assouvir leur désirs, leurs penchants dégueulasses. Oui j'étais pauvre, et elle avait raison je n'étais la fille de personne. Mais mes parents avaient fait de moi la femme que j'étais, et je refusais d'avoir honte de moi. Je refusais de me laisser froisser comme une feuille de papier et jeter à la poubelle.
"Jacques a dit :"
Et merde. J'enrageais et je n'avais pas été assez attentive. Est-ce que j'allais déjà perdre ? Est-ce qu'elle allait encore avoir raison ? Est-ce que j'étais condamner à m'applatir devant elle ? Elle allait encore me faire souffrir, et kiffer ça. Et Harry n'obtiendrait encore pas justice. Non ! Bordel ! Ta gueule !
"croise tes jambes derrière ta tête,"
Je ne pouvais pas la faire taire mais je pouvais arrêter de l'entendre. J'activai mon pouvoir et fit exploser mes tympans. C'était la première fois que je blessais cette partie de mon corps. C'était pire que ce que j'imaginais. Je poussai un hurlement et perdis l'équilibre. Putain putain PUTAIN ! Pourquoi est-ce que ça faisait toujours si mal ? Pourquoi y'avait-il des conséquences à chacun de mes choix ? En tombant ma tête heurta le sol. Et tandis que je me taisais ma jambe gauche commençait à se lever en direction de ma tête. J'avais pris des cours de danse classique étant petite, j'avais déjà été capable de faire ce que Gward m'avait ordonné mais en grandissant j'avais un peu perdu en souplesse : mes aducteurs ou je ne sais pas quels muscles allaient morfler.
"Les vraies dames étaient des poules pondeuses. Ce sont de bien piètres modèles."
Ma première jambe avait atteint mon cou, et ma seconde se levait lentement mais sûrement. J'avais mal, mais rien de comparable à toutes les blessures que j'avais déjà subies, ni même le perçage de tympant. Je sentais un liquide chaud couler le long de mes oreilles. Putain j'allais en chier en cours cette semaine... Je tentai de me relever en position yoga, parce que je me refusais à ramper devant la sale rouquine bretonne.
"Tu ne pourras pas toujours t'en prendre à moi, à Harry, ou à Benjamin." C'était le nom du Gris qui faisait de l'air à Gward. Il me faisait un peu de peine, mais son sort était bien préférable au mien ou à celui de mon camarade de la chambre 1. J'essayai de décrocher mes jambes mais rien n'y faisait : elles refusaient de m'obéir pour le moment. J'espérais que le pouvoir de cette sale gosse durerait moins longtemps que la dernière fois, et que je pourrai me relever pour lui casser la gueule. Et si je ne me relevais pas, j'espérais qu'elle s'approcherait au moins assez pour que je puisse l'agripper par les cheveux et lui foutre un coup de boule, ou quoique ce soit d'autre. J'espérais n'importe quoi à part qu'elle me laisse au milieu du parc comme une conne.
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Barbara Gward
Plus surcôté qu’un fapfap! (Enfin, que Neville, mais quand même!)
Super-pouvoir : Jacques a dit : Barbara utilise la parole pour plier les autres à sa volonté. Il lui suffit d'utiliser la formule "Jacques a dit" pour que la suite de sa phrase devienne un ordre que son interlocuteur doit exécuter, qu'il le veuille ou non.
Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
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Sam 18 Juil - 14:53
Marche à l'ombreKhaleemitée & Barbie casse-noisettesBarbara n'était pas particulièrement disposée à écouter les inepties de Khalee. Les vraies dames étaient des poules pondeuses, n'est-ce pas ? Qu'en savait-elle, elle qui ne côtoyait l'univers des ladies que dans ses plus beaux rêves de souillon ? Elle n'avait aucune idée de ce dont elle parlait et l'adolescente ne s'intéressait pas du tout à ce qu'une fille comme Desmarais pouvait considérer comme un modèle digne d'être imité. Son attention se reporta bien vite sur le corps de Khalee, qui ne se contorsionnait pas autant qu'il aurait dû. Elle était supposée être en train de se déboîter bien gentiment les épaules, à l'heure actuelle, mais seules ses jambes avaient bougé. C'était étrange, inhabituel. Personne n'échappait à son pouvoir, jamais. Comment diable une mutante de seconde zone parvenait-elle à la contrer si frontalement ? C'était parfaitement inconcevable. Le visage de marbre blanc de l'adolescente ne laissait rien paraître des interrogations qui enflammaient son esprit. Elle se payait même le luxe d'une esquisse de sourire nonchalant. Barbie soutenait sans faillir le petit regard noir vicieux de Khalee. Que disait-elle, encore ? Qu'elle ne pourrait pas toujours s'attaquer à elle, à Harry, ou à... Benjamin ? L'adolescente fronça les sourcils :
- Qui diable est Benjamin ?
Un raclement de gorge attira son attention. Ses yeux se posèrent froidement sur Bobby, qui continuait de secouer son éventail d'un air embarrassé. Oh. Elle comprenait.
- Tu t'appelles Benjamin.
Le FDP hocha faiblement la tête, les yeux baissés, comme s'il craignait de réveiller la fureur de la jeune oméga - il faisait bien de ployer l'échine face à elle, et si Khalee avait deux sous de jugeote, elle en aurait fait de même. Barbara soupira en secouant la tête. Bien, Bobby était donc Benjamin. Ça n'était pas comme si cette information éveillait chez elle la moindre forme d'intérêt. Pour changer, ce que racontait Khalee ne faisait pas sens. Rien ne l'empêchait de s'en prendre à elle, à ce cancrelat de Harry, ou au dénommé Benjamin dès que l'envie lui en prenait. Elle en avait le pouvoir ; un pouvoir que Causette 2.0 semblait trop prendre à la légère. Restait à savoir comment elle avait pu échapper, au moins en partie, à son emprise. Lunettes relevées sur le haut du crâne, Barbara se rapprocha de quelques pas, trop loin cependant pour que la jeune femme puisse l'atteindre. Son regard se fixa sur l'oreille droite de Khalee, puis son oreille gauche. Pour l'amour du ciel... elles étaient pleines de sang. Le liquide écarlate coulait jusque dans sa nuque. Ses tympans semblaient tout bêtement avoir... explosé. Voilà pourquoi elle n'avait pas exécuté ses ordres à la lettre : elle ne pouvait plus l'entendre. S'était-elle infligé cela volontairement ? En plus d'être stupide et mal élevée, Khalee était donc masochiste. Il n'y avait donc décidément rien à sauver chez cette pauvre fille ; elle s'en serait doutée. Dans tous les cas, Barbara ne pouvait plus se servir de son pouvoir sur elle. Si la jeune femme pensait que cela suffirait à lui éviter de subir les effets de son pouvoir, c'était bien mal connaître Barbara. Elle n'avait aucun besoin de contrôler Khalee directement. Elle avait d'autres pantins à disposition.
- Si tu le permets, Benjamin, je vais encore requérir tes services pour un petit moment. Jacques a dit : frappe Khalee aux oreilles.
Tout tremblant, visiblement contraint et forcé, le FDP s'approcha de Khalee et leva une première fois son pied pour lui donner un coup à l'oreille. Oh, elle pouvait bien tenter de se débattre, mais en l'état actuel, Benjamin, grand et fort, ne tarderait pas à prendre le dessus. Déjà, le premier coup la cueillait au dessus du lobe gauche. Oups... elle aurait peut-être plus de chance pour le prochain et parviendrait à l'arrêter avec ses petits bras fébriles. Se mettant à la hauteur de la jeune femme, Barbara articula clairement :
- Lis sur mes lèvres, Khalee. Tu es venue m'attaquer et je ne fais que te rendre la monnaie de ta pièce. Vois ça comme un retour de karma.
Un petit sourire mauvais fleurit sur son visage juvénile. ️ 2981 12289 0
Super-pouvoir : Harry a la capacité de se rendre aveugle lui-même lorsqu'il ressent quelque chose de particulièrement fort, comme un stress important, ou même l'amour ou la haine.
Il est également capable de tirer des rayons lasers par les yeux, subissant alors des migraines atroces suite à l'utilisation de ce pouvoir, comme si son crâne allait exploser.
En réalité, les deux capacités de Harry sont intimement liées et, lorsqu'il subit une émotion forte, le Rouantelezh déclenche soit l'une ou soit l'autre, semble-t-il au hasard
Réputation (intra-école) : 4/10 : Quand on est un petit garçon tout mignon, qui fait beaucoup moins que ses 15 ans, et qu'on vit dans un institut de super-vilains censés être badass et faire peur... Disons que la réputation, c'est pas trop ça hein... A part, peut-être, si on parle de réputation en tant que victime officielle ! Cependant, depuis l'incident de l'EIFEB et tout ce qui a suivi, Harry est considéré comme un "traître" aux vilains, et est donc devenu un peu plus connu. Mais est-ce pour le mieux ? On se le demande...
Les Petits + : - Harry possédait une peluche, qu'il trimbalait avec lui autant qu'il le pouvait, et qu'il avait nommé "Mr Nounours", parce que... ben c'était un ours en peluche ! Mais ça, c'était avant que quelqu'un décide de le détruire...
- Depuis peu, Harry a été autorisé a emmené son chien, Odin, a l'Institut... Un Dogue de Bordeaux qui est autant impressionnant que gentil !
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Lun 20 Juil - 23:32
Dé kakarma obtenu au visibilisons nous 3 - Si Kakarma arrive, un oiseau victime de ce que l'on pourrait appeler une envie pressante le fait droit sur la tête de Barbie !
Harry Rouantelezh a effectué 1 lancé(s) d'un Kakarma - FDP :
Harry Rouantelezh
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Jeu 22 Oct - 23:52
Ma fierté m'empêche de vous décrire les sévisses que me fait subir cette harpie bretonne. Le pauvre Benjamin n'a pas d'autre choix que de me frapper encore et encore, et bien évidemment je chute à nouveau. Ca ressemble aux bagarres qui ont parfois lieu devant mon bar, mais là ce n'est pas moi qui gueule pour que les gens se séparent et se casse. Personne ne gueule à vrai dire, alors j'attends et j'enrage. J'attends et je réfléchis à ma vengeance, la vraie, celle où je gagnerai. Celle qui sera préparée. Contamination au covid ? Strangulation ? Gros fight dans une boite de nuit ? Il fallait des conditions qui l'empêchent d'utiliser son pouvoir, et je pourrai avoir une chance de prendre l'avantage.
Je regarde Barbara. Parfois je ferme les yeux sous les coups de la douleur ou je tourne la tête pour ne pas prendre un coup dans un trop mauvais endroit. Je la regarde les yeux injectés de sang et cela m'inspire. Je vois qu'elle essaye de me faire un discours de vilaine fille mais je ne sais pas lire sur les lèvres alors la vacuité de ses paroles m'atteignent encore moins.
Je la regarde et je vois la grosse fiente s'écraser sur sa tête et dégouliner. Le hasard fait bien les choses ! J'adore ! La vraie dame a maintenant un chapeau ! Bien fait pour ta gueule ! J'éclate de rire ! Un rire sonore ! Et même les coups ne parviennent pas à l'arrêter ! Je ris ! Je ris ! Je m'époumonne comme si c'était la meilleure blague du monde (c'en est pas loin, avouons le).
Je ris jusqu'à ne plus avoir de force ! J'ai presque aussi mal au ventre qu'à la tête. Je ris, et j'arrête de faire mon regard noir à Barbara. Ma vue se trouble un peu.
Pfiou. Ca fait du bien.
[HRP : Ouais Khalee est sur le point de faire un malaise]
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Barbara Gward
Plus surcôté qu’un fapfap! (Enfin, que Neville, mais quand même!)
Super-pouvoir : Jacques a dit : Barbara utilise la parole pour plier les autres à sa volonté. Il lui suffit d'utiliser la formule "Jacques a dit" pour que la suite de sa phrase devienne un ordre que son interlocuteur doit exécuter, qu'il le veuille ou non.
Maîtrise du son : Barbara a la capacité de manipuler les ondes sonores. Elle peut contrôler les fréquences, c’est-à-dire qu’elle peut intensifier ou atténuer le son à sa guise, peut le rendre plus aigu, plus grave, plus strident, etc, voire le passer dans le domaine des ultra-sons. Cette maîtrise des ondes sonores lui permet d’agir sur les vibrations et de créer des dommages concrets, plus particulièrement causés par des ondes de choc. Au besoin, la jeune fille est capable d’accumuler les ondes en un endroit précis. Barbara sera amenée à se servir de sa voix comme outil, mais contrairement à sa capacité de contrôle mental, elle n’a pas besoin de parler pour activer son pouvoir. Ses deux pouvoirs ne sont pas cumulables.
Réputation (intra-école) : 8/10 : Qui n’a jamais eu affaire à la jeune tortionnaire bretonne ? Rares sont les bienheureux qui ignorent encore l’existence de la Chevalier, ses caprices et ses lubies. Généralement, les élèves frôlent les murs sur son passage, et cela lui convient très bien. Cela dit, l’antipathie que provoque ce despote en culotte courte touche beaucoup de monde, et elle n’est pas souvent invitée aux soirées… au moins, personne ne remet en cause sa badassitude d’oméga.
Les Petits + : Sœur à 100% de Shana, Emma et Pascal, c'est aussi la demi-sœur de Sasuke, la belle Azalée et... Harry.
Haters : 1124
Mar 3 Nov - 4:24
ATTENTION ! SCENE DETAILLEE DU MASSACRE D'UN ANIMAL, ÂMES SENSIBLES S'ABSTENIR !
Marche à l'ombreKhaleemitée & Barbie casse-noisettesBarbara n'avait aucun goût pour ce retour de karma inopiné ; le rôle de l'arroseur arrosé ne lui avait jamais paru flatteur ou enviable, pour des raisons tout à fait évidentes, cela allait de soi. Le regard toujours fermement fixé sur Khalee qui se faisait battre violemment par le brave Benjamin, Barbara sentit plus qu'elle ne vit quelque-chose lui tomber dans les cheveux et dégouliner jusqu'à son épaule. Une grosse goutte de pluie, peut-être, par ce ciel si bleu ? Oh non, la sensation n'était nullement celle de l'eau sur sa tête. Les options, dès lors, se faisaient rares. Avec appréhension, l'adolescente saisit délicatement une mèche pour y trouver... de la fiente d'oiseau. Elle fût saisie d'un violent haut le cœur qui lui fit aussitôt lâcher sa prise. Benjamin, pâle comme un linge, semblait au bord de l'évanouissement face à cette nouvelle péripétie, les yeux exorbités prêts à sortir de leurs orbites. Quant à Khalee, cette chère Khalee, pliée comme un origami, Khalee sanglante et ridiculement à sa merci, cette petite catin de Khalee trouvait encore le moyen de montrer son hilarité. Barbara sentit une fureur sourde rugir du fin fond de son être face à cette humiliation qui avait tout d'un mauvais coup du destin. Elle, si mesurée, qui contrôlait parfaitement la situation, ne supportait pas qu'une créature aussi médiocre que Desmarais trouve le moyen de lui rire au visage. Elle voulait rire ? Elle voulait se fendre la poire jusqu'à en avoir les larmes aux yeux ? Qu'elle se rassure. La jeune oméga était toute disposée à lui donner une bonne raison de verser sa larmichette. Un instant durant, son joli minois laiteux se trouva transformé par la haine et la furie, et ce, avant que Barbara ne force ses traits à la neutralité la plus indéchiffrable. Non, elle n'allait pas hurler et se donner en spectacle, ni laisser voir à Khalee que quoi que ce soit dans cette situation et dans son rire moqueur, qui ne semblait pas avoir de fin, avait de l'emprise sur elle. Elle était au-dessus de ça. Elle était au-dessus de ça et avait les pleins pouvoirs pour exécuter sa vengeance. D'ailleurs, elle avait même une idée. Oh oui, une si belle idée. Emma n'approuverait pas, mais Emma n'était pas là, n'est-ce pas ? Qui irait lui dire ? Et que valait la parole d'inconnus face à celle de sa petite sœur chérie ? Barbara ramassa calmement la serviette sur laquelle elle était allongée plus tôt et nettoya le désastre sans piper mot. A quoi bon ? L'autre dinde ne l'entendait plus, et elle n'était pas d'humeur à la faire lire sur ses lèvres. Ces dernières étaient scellées, pour lui éviter tout rugissement rageur qu'elle aurait pu laisser passer contre son gré. Pour sûr, Barbie n’avait pas réussi à tout enlever de l’horrible déjection, mais une grande partie cependant tâchait à présent sa serviette, bien assez pour sauver sa dignité. Il était entendu qu’après avoir réglé son compte à l’autre erreur génétique, elle irait derechef prendre une longue douche et user ses meilleurs produits capillaires. Pour l’heure, ses priorités se portaient ailleurs, et plus particulièrement sur un pigeon blanc, une colombe, peut-être, posé sur la branche basse d’un arbre à quelques mètres de Khalee, Benjamin et elle. Barbie ne pouvait jurer que c’était le volatile responsable de son humiliation, mais il ferait un très bon substitut, le cas échéant. L’adolescente n’avait exercé son pouvoir sur des animaux qu’en quelques rares occasions, mais elle voulait tenter le tout pour tout. Elle se souvenait vaguement que les plus simples ses ordres étaient, et plus ses chances d’obtenir une réaction augmentaient. D’une voix forte, elle lança en direction de l’oiseau :
- Jacques a dit : viens.
Pendant une angoissante seconde, il ne se passa rien, avant que l’oiseau blanc ne vienne se faire un perchoir de son bras tendu. Les serres sur sa peau étaient désagréables et l’animal aurait facilement pu la dégouter, mais qu’importait. Un sourire candide, presque affectueux éclaira son visage alors qu’elle passait gentiment quelques doigts rassurants sur la petite tête de l’emplumé, qui roucoulait gentiment, sans se soucier de rien. Son triomphe était à porter de main.
- Jacques a dit : ne bouge plus.
La colombe, ou peut importe de quoi il s’agissait, se figea comme une créature empaillée – ce qu’elle aurait sans doute préféré être, car ce sort aurait été bien moins funeste. De sa main libre, Barbie saisit au cou l’oiseau immobile, sans forcer sur sa gorge fragile, et posa le volatile allongé devant Khalee.
- Benjamin !
Le garçon tressaillit.
- J’ai encore une petite chose à te demander, tu n’y vois pas d’inconvénient, j’espère ? Elle semble s’endormir, je m’en vais donc la réveiller. Jacques a dit : frappe cet oiseau de malheur avec la tête de Khalee, jusqu’à faire de la bouillie de ce stupide piaf.
Quasiment translucide, il sembla résister un moment, horrifié, secoué au plus profond de sa chair, mais céda finalement à la voix enjôleuse. Ils cédaient tous, à la fin de l’histoire. Plus tremblant que jamais, il empoigna fermement les cheveux de Khalee et commença à marteler le ventre mou de l’animal avec le front dur de la jeune femme. L’oiseau, incapable du moindre mouvement, se contenta de pousser des piaillements déchirants. Encore et encore, Benjamin abattait sur lui le front de la FDP, qui elle ne risquait vraiment guère plus qu’un bon mal de crâne et des lésions superficielles. La scène était longue, son issue était inéluctable, et Barbara s’étonna presque que personne dans le parc n’y fasse attention. Les gens étaient bien trop occupés à profiter de leur journée, et bien trop loin d’eux pour vraiment être interpellés. Toujours, l’oiseau piaillait à l’agonie sans pouvoir se débattre. Ennuyée par le temps que cela prenait, Barbara saisit la lime à ongles métallique qu’elle promenait dans sa poche et intima – ou plutôt força – Benjamin à s’en servir contre le volatile, faute de mieux. Il lâcha donc Khalee et commença à abattre l’outil aiguisé sur le ventre de l’oiseau. Encore. Et encore. Jusqu’à ce que le sang jaillisse sur lui par jets écarlates, jusqu’à transpercer les entrailles chaudes et encore bien vivantes. Dans un dernier chant du cygne, la colombe se tut et son regard devint vitreux. Sous le choc, haletant, Benjamin gardait les yeux sur l’oiseau mort, éventré, à genoux, parcouru de spasmes de plus en plus violents. Enfin, il se détourna pour vomir. Barbara ne pût que rouler des yeux, pas le moins du monde choquée par cette scène de massacre. Le petit personnel, par les temps qui courraient… quelles petites natures. Elle avait elle-même eu son compte d’animaux morts, écrabouillés, broyés ou brûlés. L’odeur était toujours sensiblement écœurante, mais c’était bien tout.
- Évidemment, il faut toujours tout faire soi-même…
Saisissant à son tour Khalee par les cheveux, sans douceur, prenant plaisir à voir ses crispations de douleur, elle enfouit son visage dans le corps ouvert de la colombe. De force, elle appuya sur sa mâchoire pour l’obliger à ouvrir la bouche dans le ramassis de plume, d’hémoglobine et de chair encore palpitante. Ce serait bien étonnant qu’aucun déchet organique n’ait passé le barrage de ses lèvres, finissant sur sa langue, peut-être. Barbara laissa la FDP là quelques secondes avant de remonter vers elle son visage souillé. Elle tira quelques instants sa tignasse bien en arrière, lui faisant voir son sourire victorieux, et ce, avant de l’envoyer rouler plus loin dans l’herbe. Satisfaite ? Oui, elle l’était. Pour le moment. ️ 2981 12289 0
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