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RP 6 : Juste une dernière danse, avant l'ombre et l'indifférence (un vertiiiige puiiiiiiiiis le sileeeeeee-eeen-ce)

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Ven 23 Oct - 16:04
 

Juste une dernière danse

feat sexy Orion huhu


… Pfiouh. Wow. Ça faisait... longtemps. Le souffle coupé, sa poitrine rebondissant sous son rythme cardiaque qui ne s’était pas autant excité depuis belle lurette, sa peau peu recouverte et brillante de transpiration, Henriette s’allongea de tout son long avec un fin sourire sur ses lèvres, épuisée. Dans cet instant après un tel grand final, elle se laissa récupérer plusieurs secondes en laissant ses paupières se clore.

« Need de respirer juste… Quelques secondes. Après... on recommence? » Son visage pivota sur le côté et observa une paire d’iris avec une envie grandement lisible sur ses traits. « S’il y a encore de l’énergie quelque part en vous. » ricana-t-elle avec un air mesquin, avant de voir ses traits se dérider sous un tel aplomb, montrant clairement que, oui, il avait encore de quoi rebondir. « Oui, bon, ok, c’est moi qui suis en PLS mais c’est de la triche... » qu’elle finit par chouiner la petite Henriette en évitant de rappeler la différence qu’il y avait entre lui et elle… Mais cherchant desespéremment à rester accrochée au regard brun qui était désormais trop loin d’elle à son goût. Il avait été si proche durant cet instant, à lui permettre d’en dévorer ses lèvres même. Depuis combien de temps en avait-elle rêvé ? Depuis trop longtemps. Mais la fraicheur de ses membres se liant à la chaleur de son propre corps lui fit oublier toute cette attente silencieuse.

« Je ne dirais pas que j’en ai eu envie dès notre rencontre... » Henriette ne put s’empêcher de rire en se remémorant son entretien avec le recruteur, dans lequel ce fichu fantôme s’était incrusté… Avant de devenir son ami, et plus, au final. « … Mais… c’est idiot, tout ça me rend heureuse... d'avoir partagé ça avec toi. Moi qui pensait ne plus avoir droit à ça... » L’un de ses bras se replia sur le parquet et son corps en profita pour rouler sur le côté, posant sa tête sur son avant bras. Créatrice d’un face à face avec Orion, Henry en profita pour reconnecter leurs regards. Ils étaient à nouveau proches et elle adorait pouvoir scruter tout ceci. Ou le scruter. Tout court. Surtout que, ayant basculée sur le côté, la distance qui s’était créée entre les deux corps des amoureux, fut bien rapidement diminuée. Leurs nez se frolaient presque et la petite surveillante se sentait presque loucher dans cet échange. Tout comme elle sentait cette nouvelle envie irrépressible de toucher à nouveau Orion.

Ça se sentait à travers son autre main libre qui effleurait le sol du bout de ses doigts, tout proche de la main du fantôme. Si proche qu’elle en ressentait cet habituel aura frais alors même qu’elle ne le touchait pas encore. Comment en étaient-ils arrivés là ? Pour ça, il faudrait remonter le temps d’une bonne vingtaine de minutes…


***
« Bon, c’est pas que je vous vire mais… Je crois que vous avez cours bientôt. » s’exclama une Henriette à la fin d’un énième cours de danse. « Et je ne voudrais pas apprendre votre atomisation juste à cause d’un retard... » C’était dit avec un rire mais certains professeurs ici en étaient capables, la surveillante en était sûre. « Prenez les derniers granolas qui restent, c’est cadeau. » Parce que oui, Henriette avait offert cette mauvaise habitude d’un gouter après la danse. Bon, les granolas étaient les seules choses sucrées et industrielles, sinon, la table était fournie de fruits et de barres de céréales, ainsi que de boissons reboostantes. Et autant virer ces intrus de sa vue (avant qu’elle n’en dévore davantage. Elle avait un problème avec ces gâteaux… C’était de famille.)

Gratifiée de sourires par ses petits danseurs (qu’ils soient timides comme celui d’Harry ou franc et remplie de fraîcheur comme celui d’Altéa), Henry leur souhaita une bonne semaine avant de se retrouver seule dans la pièce… Avec un Orion toujours aussi frais malgré le cours de danse d’une bonne heure, qui avait commencé à essouffler même le professeur. Bon, c’était un manque d’entrainement, ses années de médecine l’en avaient privé et il fallait qu’il réhabitue son corps désormais. Et elle était clairement sur la bonne voie !

« Alors, mon cher Orion, une observation sur ce cours ? » Elle aimait avoir son avis. Savoir qu’il s’était éclaté, que ça lui faisait du bien que de se mélanger aux étudiants… Et juste entendre sa voix, en privée, au final, après un long moment à ne pouvoir offrir la totalité de son attention à ce cher professeur. « Enfin, je ne sais pas s’il y a de quoi prendre au sérieux un professeur de 33ans qui vient danser en costume mais... » Ses yeux vipères glissèrent sur le coté, en direction du taquiné, pendant qu’elle se mit à étirer tout son corps afin d’apaiser les futures courbatures, l’air de rien.
KoalaVolant
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Dim 6 Déc - 15:40


RP 6 : Juste une dernière danse, avant l'ombre et l'indifférence (un vertiiiige puiiiiiiiiis le sileeeeeee-eeen-ce) Giphy

Qui l’eut cru ? Moi, Orion Press, un fantôme élégant et esseulé, mâle blanc coincé du cul quand il vient à faire des trucs de djeun’s (sans manquer de rester élégant et talentueux tout de même), me suis finalement retrouvé dans un cours de hip hop au sein même de l’Institut où j’enseignais de mon vivant. Et en costard. Oui, parce que je n’ai qu’une seule et unique apparence sous forme ectoplasmique et c’est celle de quand j’étais impeccablement soigné pour faire mes cours. Qu’y puis-je ? Qu’y pouvais-je si la Mort m’avait gratifié d’une tenue à toute épreuve qui faisait qu’à la fin de ce cours de hip hop, même si j’étais invisible aux yeux de tous, Henriette pouvait clairement noter la différence entre ses élèves vivants transpirants, respirant lourdement, échauffés et odorants, et moi qui gardais les mains dans les poches, total oklm, même pas le front brillant, à patienter qu’ils s’en aillent pour me rapprocher de ma vivante préférée à moi.

C’était drôle de me retrouver dans la position d’élève après tout ce temps. Je n’interférais pas, je l’écoutais sagement, je suivais ses consignes, je retenais ce qu’elle disait pour les prochaines fois (car je n’allais pas me priver d’être un élève assidu) et, malgré moi, je réchauffais mon cœur inerte en la voyant si heureuse, autant dans son élément, la joie qu’elle avait aussi à partager ses connaissances et la satisfaction de bouger son corps. Il émanait d’elle une grâce naturelle lorsqu’elle dansait le hip hop que je n’avais pas prévu. Sous sa peau hâlée se mouvait des muscles décidés, ses cheveux, même attachés, ondulaient en harmonie avec elle et ses yeux clairs regardaient parfois dans une autre dimension, celle de l’espace-temps où s’inscrivait sa danse, concentrés.

Lorsqu’enfin nous fûmes seuls et qu’elle s’adressa à moi, je m’approchais d’elle nonchalamment.

« Eh bien, ma foi, ma chère Henriette… » Ah une taquinerie, héhé. Jouons l’outré, ça donne une excuse pour lui balancer plein d’arguments en ma faveur. J’adore me jeter des roses. « Alors d’abord sachez, ma chère Henriette, que ce n’est pas donné à tout le monde de danser en costard. D’ailleurs, je vous mets au défi de me trouver une seule personne sur terre qui y arriverait ! Enfin, après tout, si vous ne voulez pas des conseils avisés d’une personne qui a enseigné plusieurs années de sa vie et qui y était doué, tant pis pour vous hein. »

Je fis mine de m’en aller, bras croisés. Ça ne rata pas, elle me rappela vers elle sans être dupe. Quand je revins, elle roulait des yeux et me lança un regard signifiant « bon ça va. Alors, tu vas me les donner tes commentaires ? ». J’étais très content de moi, en témoignait les commissures au coin de mes lèvres et de mes yeux.

« En vérité… je n’ai rien à redire, vous faites également une excellente professeure. Vous présentez le programme à venir, vous prenez le temps d’expliquer, de démontrer, j’ai noté que vous portiez attention à tous vos élèves, vous avez même l’air d’avoir déjà repéré celleux en besoin d’aide, etc. Non, vraiment, je reste impressionnée, vous avez ça aussi dans le sang. »

Je voyais bien que j’étais en train de la gonfler à bloc et je n’avais dit que la stricte vérité. J’ai un œil pour ce genre de choses. J’ai un œil pour beaucoup de choses.

« Vous avez bien fait de lancer ce club de danse. Ha, qui sait si nos futurs Vilains ne lanceront pas des battles à leurs ennemis ! Quand j’y pense, ce serait ridiculement génial. Eh ! me tapez pas, j’ai jamais dit que le hip hop était ridicule. »

Elle n’aurait pas pu me taper, mais je m’étais quand même éloigné d’un bon quand elle leva le bras.

« Comment vous feriez votre battle de Vilaine, vous, dites ? Je vais être un adversaire de petite taille, mais je peux essayer de refaire les mouvements que vous avez appris aujourd’hui. Ou alors, vous m’en apprenez d’autres au fur et à mesure. Je peux copier. »

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Mer 6 Jan - 18:21
 

Juste une dernière danse

feat sexy Orion huhu


Pas donné à tout le monde de danser en costard ? Dans la tête de Henry, un « Challenge Accepted » résonna mais… il resta pour elle, l’égoïste. L’envie de surprendre Orion et de gagner un défi la faisait sourire intérieurement.

« Je trouverai cette personne. » dit-elle comme si c’était la chose la plus facile au monde. Non, ça n’était pas de la triche que d’être cette personne et de se choisir elle-même ! Elle en était même sûre : Orion adorerait découvrir une Henriette en costard à la place d’un.e parfait. Inconnu.e ! Savourant donc son idée en toute discretion, elle dût s’arrêter car voilà que le fantôme faisait son dramaqueen. Encore. Toujours. Et, encore, et toujours, Henriette en rigola et joua son jeu, mais pas trop. Le genre je t’offre un peu de considération mais n’abuse pas trop non plus, subliminalement caché (non) dans son « Mais oui, j’y crois teeellement, me voilà triste de… Non, en fait, aller, on reviens là, hop ! » Leur dynamique avait beau être répétitive, elle s’en amusait beaucoup trop. Le professeur était un compagnon de jeu irremplaçable et unique, jamais elle n’avait connu une telle… une telle amitié ? Drôle d’amitié, entre une jeunette de 21ans et un vieux fantôme de 32ans, qui continuaient de se vouvoyer malgré les semaines et mois qui existaient dans leur relation. Mais c’était ainsi. Aussi saugrenu que le lien qui les unissait, que leurs comportements de gamins entre eux, que ce qui les reliait chaque fois, qui provoquait un mimétisme dans leurs rires et sourires. Comme si leurs commissures répondaient inexorablement entre elles, comme si chacune tirait sa consœur chez l’autre, ne voulant pas se relever seule. C’est donc avec des sourires se renvoyant la balle, qu’Henriette fit un signe de tête, lui intimant silencieusement de s’exécuter. L’heure de la bêtise venait de prendre fin et, comme une élève attentive (changement de rôle en quelques secondes, vlam!), elle prit place sur une des tables, en tailleur et l’écouta… Lui envoyer des rôles. Des tas de roses. Méticuleusement débarrassées de toutes épines. De la gentillesse, a l’état pur, bien caché derrière des paroles dignes d’un professeur. Cet homme avait le don de rester professionnel et adorable, help.

Sans vraiment s’en apercevoir, avachie sur elle-même au début après une heure de cours, le torse d’Henriette se retrouva relevée à la fin du premier monologue de son ami. Il savait comment lui parler et la regonfler ! S’il y avait une comparaison douteuse à faire dans leur étrange relation, ça serait entre un pneu à plat et une pompe à vélo ! Il lui insufflait beaucoup de bien, d’énergie, de compassion, de soutien… De bêtises. Henriette sortit de son air sérieux quand l’idée de battles de dance entre vilains fut prononcée. Quoi que… Nop, elle ne rigola plus là, ou du moins, elle mit en pause son rire sur un sourire, mais sourcils froncés. « Comment ça ridicule ? » demanda-t-elle, faussement outrée, levant sa main pour donner une pichenette imaginaire à l’épaule du vilain (c’était le cas de le dire!) avant de rouler des yeux face à son injection. « Ah bah vous le méritez ! Si, c’est CARREMENT ce que vous venez de dire, espèce de mytho ! » dit-elle dans un rire avant de soupirer pour finaliser son rire et se concentrer sur la demande d’Orion.

« Hmmm... » Postant ses bras derrière elle pour s’appuyer dessus, Henriette laissa pencher sa tête en arrière. « Je sais pas, j’ai pas envie de vous fatiguer plus que ça, à cette heure-ci, les petits vieux doivent aller devant la télévision pour se reposer et se coucher à 20 heures pétantes hein... » fit-elle dans une moue presque déçue en reposant son regard sur son ainé avant de révéler ses dents qui allaient avec la fin de ses taquineries. Retournant ses pieds au sol, Henry reprit encore quelques étirements en même temps qu’elle se mit à réfléchir réellement.

« Déjà, dans les règles, donc avec un adversaire qui peut se fatiguer… car ça tient aussi sur ça, l’issue du match. Mais on passera pour le coup... » Sans aucune ironie, vraiment. « Et hmmm, je ne sais pas… Ça vient comme ça, ça dépend de la musique … Quoi que, je pense que pour commencer, vous voyez, je ferai un truc bien féminin pour mettre l’ambiance, un truc genre... »

Spoiler:

Henriette s’exécuta, se la jouant un peu bolosse et viril, se mordant la lèvre dans son pas débile et loin d’être glamour.

« Puis j’enchainerai avec un... »

Spoiler:

« Petit Twerk des familles ! » annonça la brune, fière de sa connerie qui la fit doucement reculer en direction d’Orion avant de s’interrompre soudainement en voyant des regards provenant de la porte. Ah, la bande de relous, avec de grands sourires (loin d’être intimidés). Elle y était habituée… si bien qu’au final, elle n’hésitait plus à sortir de ses gonds pour les envoyer péter. Surtout lorsqu’il était question qu’ils se moquent de ses petits élèves.

« Rah, mais cassez-vous, bande de crève-la-dalle ! » Et vlam, une porte claquée. « Ils me soulent lààà. » rala-t-elle encore un coup avant de soupirer, croisant les bras comme pour illustrer un agacement qui était pourtant clairement visible. … « Désolée, j’en étais ou du coup… Ah, oui, le tw… … Hey, vous savez twerker vous ? » demanda l’horrible petite medium avec un sourire de peste. « Allez, shake ya ass dude ! » ordonna la pseudo professeure dans un rire, ayant vite oublié ceux qui s’étaient rincés l’oeil… Du moins, ceux du dehors de la pièce.
KoalaVolant
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Dim 13 Juin - 11:41

Ha, elle n'en perdait jamais une, celle-là !

« C'est un coup bas ça. Je suis mort, pas un vieux croulant en maison de retraite, non mais oh. »

Je l'écoutais patiemment se décider des règles de ce qui serait notre jeu dans les minutes à venir. J'hésitais un brin entre continuer de la regarder s'étirer comme un mec peut-être un peu creepy ou à m'y mettre aussi et être ridicule. Je décidais qu'il y avait des limites au ridicule si je voulais garder ma prestance. Surtout que je n'avais pas encore idée à quel point je frôlerais le ridicule peu après.
À son premier pas de danse, j'haussai un sourcil impressionné et ma bouche se baissa en même temps que j'hochais la tête, appréciateur. En une fraction de seconde, cette femme se transformait en danseuse souple et précise. C'était... envoûtant. Ok, pffrt, maintenant c'était débile ! Son twerk me déclencha un éclat de rire qui aurait dû résonner dans la grande salle vide si j'étais en chair et en os. Je continuais de rire à la voir bougonne sur ses élèves. J'aimais bien la voir râler (tant que c'était sur quelqu'un d'autre que moi). Je lui souriais gentiment quand elle revint vers moi, les bras toujours croisés. Je pensais qu'elle allait reprendre son enchainement là où elle l'avait laissé. C'était mal la connaître... Et c'était mal calculé Orion. T'avais parlé de battle et une battle se fait à deux, va falloir que tu secoues ton popotin comme l'exige la dame. Je levais les deux mains devant moi en signe de négation

« Non, non, je ne sais pas twerker et je ne veux même pas... Non, n'insistez pas, cela va être une vision navrante. »

Plus je me défendais, plus elle insistait et plus mon sourire s'agrandissait, amusé. Elle était adorable, je craquais complètement et je me marrais à l'avance de la catastrophe que j'allais commettre devant ses beaux yeux.

« Henriette, c'est une très mauvaise idée que je... Bon, très bien, je vais le faire, d'accord. Vous allez le regretter. Bon alors... »

Mains sur les genoux et... je crois que j'ai twerké ? J'ai sautillé sur place en tout cas, fesses en arrière. Je ne fis quelques mouvements et me relevai, hilare de moi-même, main devant la bouche.

« Vous êtes une bonne professeure, mais le twerk, ça va pas le faire pour moi. »

Depuis combien de temps n'avais-je pas rigolé si fort ? Je me sentais revivre. Je calmais mes éclats.

« Pfiou, wouh, nope, quoique vous disiez, je ne recommencerai jamais et je suis bien content que personne d'autre n'ait vu ça. » Je reprenais ma respiration et lissai mes vêtements par réflexe. « Non, si je devais initier une battle, je pense que j'utiliserai des mouvements old school, je m'y sens mieux. Je commencerai par des jeux de pieds, une sorte de moonwalk sur place » je m'exécutais en observant mes pieds, pas trop mécontent « puis j'enchainerai très certainement avec des pas glissés à droite » démonstration « à gauche » pareil. Je me taisais désormais, entré dans mon flot et je continuais mes pas chassés avec des mouvements de bras de plus en plus amples. Ok, c'était soft mais on en était qu'au début et de toute façon, c'était pas comme si j'allais poser ma tête au sol et tourner dessus.

Je m'arrêtai, coincé mes mains sous mes aisselles, l'air prétentieux, et leva le menton dans la direction d'Henriette dans un air de défi. À son tour maintenant. Que la battle continue.
Dès qu'elle franchirait un pas dans ma direction, je ferai de même.

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