Institut Trueman
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[Terminé] RP 2 : Tu dépasses les bornes des limites, Orion

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Jeu 23 Avr - 10:51


[Terminé] RP 2 : Tu dépasses les bornes des limites, Orion Jzm1rr10

Vous savez ce qui est le plus dur quand on a enfin une amie, qu'elle vit sous le même toit que vous (grand toit avec plein d'autres personnes oui, je sais), ce qui la rend accessible 24H/24 sauf qu'elle n'a pas le même rythme de vie que vous puisqu'elle a justement une vie, elle ? Le plus dur, c'est de se retenir d'aller la déranger voir.

Je ne dormais pas, moi. Certaines nuits, j'avais la chance d'assister à des débauches étudiantes au sein de l'Institut (non, pas ce genre-là voyons, j'ai une certaine pudeur !), mais il y avait bien un moment où tout le monde était couché et où même le trafic de Paris était au plus calme si je montais l'écouter sur les toits. Bien sûr que j'avais essayé de dormir, mais ça ne donnait rien de mieux que d'être couché les yeux fermés sans qu'il ne se passe rien.

Du coup, maintenant qu'Henriette était entré dans ma vie mort, j'étais pire qu'un chat qui voulait réveiller son maître dès 5h du mat'. Mais je suis galant moi. J'attendais 6h du mat' avant d'être réellement impatient. Puis j'attendais côté FAPFAP qu'elle sorte et que je puisse la saluer. Des fois, elle prenait le temps de papoter, des fois, elle n'avait que le temps de passer en me saluant de la main avec son doux sourire. Des fois, Goodboy venait me saluer aussi et même il restait avec moi et on était deux foufous, des fois, il accompagnait Henriette et j'avais terriblement envie de faire la même chose, mais je serais un toutou bien encombrant. Et bavard aussi, terriblement bavard.

Ce matin-là, j'attendais face à sa porte et je commençais à faire les cent pas car son heure de réveil était passée et je n'entendais aucun signe de vie de l'autre côté. Est-ce qu'elle était bien là ? Est-ce que j'avais raté un truc ? Rah, je pouvais même pas toquer pour savoir poliment si tout allait bien ! Il ne me restait qu'un seul moyen de savoir si elle était bien chez elle et si tout allait bien. C'était juste pour vérifier, juste pour ça...

Je traversais la porte sans la moindre résistance, d'abord la tête, inspectant l'intérieur, puis le corps entier. Je ressentais les fameux chatouillis de quand on franchit un interdit. Même quand elle dormait chez Léandre, je n'avais jamais osé pénétrer chez elle. Le pire, c'est que j'adorais cette sensation ! Pas tous les jours que j'en avais !
Petit comme c'était, je trouvais vite la chambre. Pareil, je passai d'abord la tête, yeux fermés, puis j'en ouvris un, puis l'autre quand je vis qu'elle était bien dans son lit, belle endormie. Je m'avançai vers son smartphone, je voulais l'allumer et vérifier l'heure de l'alarme mais AH quel crétin, j'arrivais encore à oublier que je ne pouvais pas interagir avec les objets. Qu'est-ce que j'allais faire maintenant ? Trouve une solution, mon grand.

« …Psst. Psst ! Henriette. »

Mon nouveau plan de génie était de la réveiller subtilement puis de m'enfuir en courant avant qu'elle ne me voie.

« Debouuut… » murmurai-je.

Super, elle bougeait ! Plus qu'à fuir et...

« AAAH ! »

Goodboy avait surgi derrière moi, tout excité, me barrant le chemin et m'avait tellement surpris que j'en avais hurlé. Et cet idiot continuait de me barrer le chemin quelque soit la direction que je prenais, c'était un jeu pour lui ! C'est pas le moment, Goodboy !!

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Jeu 23 Avr - 22:41
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Henriette dormait. Ah, ça pour dormir, elle dormait. Avec un doux sourire sur son visage endormi, tant son rêve dans lequel elle volait était sensationnel. Sur un balai. Comme dans Harry Potter ! Et si elle avait le plaisir de se souvenir de ces superbes sensations dans ses loopings une fois réveillée, elle se promettrait certainement de vérifier si les balais volants existaient vraiment! Après tout, l’Institut Trueman était rattaché à la Flander’s Company et n’y avait-il pas -d’après certains dires- un génie -un boulet dans d’autres bouches- qui faisait des inventions extraordinaires ? (Bon, il était dit que ses réglages sur le balai de Henry Pottier avait causé l’éparpillement de ce dernier mais ça, Henriette ne le savait pas). Et Zou et fiouuuu, ça allait vite ! L’adrénaline parcourait le corps d’Henriette, chevauchant fièrement un aspirathor -oui, c’était devenu un aspirateur, les rêves c’est jamais une notion concrète, vous savez- electrique 2021 -oui, ça se passait aussi dans le futur, et alors ? Laissez-la rêver !-. Et elle aurait bien voulu le connaitre plus longtemps ce rêve, mais une voix, au loin, s’y immisçait. Avec un faible volume, très doux, dans un murmure qui fait sourire davantage Henriette, dommage pour le fantôme que son bras gênait la vision pour voir ses commissures se relevant au son de sa voix.

La voix résonna une seconde fois. Debout. Sur le balai ? Vraiment ? Oh, c’était une bonne idée ça ! Courageuse comme une Gryffondor (seulement en rêve), le corps de la jeune femme se leva et se mit en équilibre sur le corps de l’aspirathor 2000 ! Mais erreur, son pied ripa et elle eut un de ces horribles vertiges, seulement visible en rêve, avec un splendide haut le cœur. En dehors de son songe, dans la réalité, elle bougea simplement, en grognant.
Mais bon. Quand un crétin de chien fantôme couplé à un tout aussi stupide fantôme d’humain aboie et hurle comme des putois, c’est difficile de poursuivre le rêve.

Dans un horrible sursaut pour son cœur, Henriette se réveilla d’un coup, prit place assise furtivement et… Vit Orion X. Maudit Press. …

Temps de latence.

Il y avait Orion.

Dans sa maison. Enfin, celle de son frère.

Dans sa chambre. Bien la sienne, pour le coup.

Alors qu’Henriette dormait.

Et dans une tenue des plus clochardes mais tout aussi peu vêtue qu’un boxy et qu’un tee-shirt lui arrivant jusqu’au dessus des cuisses.

Henriette allait faire un meurtre. Là, présentement.

« NON MAIS CA VA PAS OUI ?! QU’EST-CE QUE VOUS FOUTEZ DANS MA CHAMBRE EN PLEINE NUIT ?! » C’était orienté Orion, bien sûr, mais Goodboy baissa les oreilles et s’en alla la queue entre les jambes. Et avant que la mauvaise idée de faire pareille chez l’humain ne lui vienne en tête, elle reprit… Plus calmement. Mais juste pour le volume. Si elle n’avait pas réveillé son frère.

«Vous-avez-30-secondes-pour-me-justifier-votre-présence-dans-ma-chambre-ou-je-vous-promet-de-vous-materialiser-pour-vous-TAPER-DESSUS-et-croyez-moi-que-vous-n’allez-pas-du-tout-aimer-monsieur-Orion-Press-de-mes-fesses. » Ah. Oui. Réveiller Henriette, c’était dangereux.

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Jeu 23 Avr - 23:22


J'étais dos à elle quand elle m’apostropha. Elle avait hurlé si fort que j'avais remonté les épaules, tout fautif que j'étais. Aïe aïe aïe aïe aïe, c'était vraiment tout ce que je voulais éviter... Mon plan n'avait pas du tout fonctionné... Et je ne pouvais même plus m'enfuir comme un voleur, elle m'avait vu !
Je tournai sur place, trèèès lentement, comme si le risque d'un mouvement brusque pourrait enflammer sa colère. Encore raté, elle était déjà enflammé et venait de me balancer son oreiller au travers.

« Hééé... Je suis peut-être immatériel mais vous venez de blesser mes sentiments ! »

Ça passe, ça passe pas ? Ça passe pas... Par contre, elle ne se doutait pas que même être matérialisé pour me faire taper, ça me donnait envie. Enfin chut, on va pas le dire, on va plutôt répondre à sa question. Ouais, c'est un bon plan ça : répondre et se justifier. Qu'est-ce qui pourrait mal tourner ? Je suis sûr qu'elle comprendra tout de suite quand je lui expliquerai que je me suis calqué sur son rythme de lever et que, ne la voyant pas, je me suis tout naturellement inquiété et, ne pouvant pas toquer, ben oui hein, j'ai décidé d'entrer parce que je le pouvais, afin de la réveiller et de l'attendre dehors patiemment pour la retrouver parce que je l'apprécie beaucoup et que je veux passer le plus de temps possible avec elle ?
...
Ouaaaais non ! Non non non on va pas dire, mayday, danger, nope, abort mission !

« Jeeeeeeeee... venais chercher Goodboy, héhé... Pour une promenade matinale ? »

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Ven 24 Avr - 0:42
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Ou était passée l’adorable Henriette qui passait du sourire aux pleurs en passant par les rires, face à cet idiot d’Orion ? LOIN. Là, c’était Dragonriette. La sœur de Léandre pure souche, la sœur de Pyrostructor, héritant de ses flammes dans ses yeux, prête à carboniser l’imprudent de fantôme. RETOURNE-TOI MAUDIT FANTOME DE… Dans un réflexe rapide, Henry envoya son coussin sur Orion, et visant plutôt bien, même. Et… ROH. CACHEZ CETTE EPAULE QU’IL NE SAURAIT VOIR ! Henriette se rendit compte de son épaule dénudée par le tee-shirt dont le col était bien trop grand pour sa petite largeur d’épaule et… AH LA COUETTE.

« Vingt-secondes-avant-que-je-vous-fasse-exploser-en-milles-morceaux ! » prévint-elle toujours les dents serrées tout en réajustant sa couverture sur ses gambettes dévoilées et son tee-shirt… Merde, ça plongeait par devant. D’un geste sec, Henry tira le tissu en arrière, se donnant la sensation d’un petit coup d’étranglement tant elle ne contrôla pas sa force ! La faute à Orion, ça ! Bon dieu mais quel CRETIN FINI ! … Ah mais non mais il osait ? C’était encore pire ! Ce fut son long polochon cette fois qui passa sur Orion, et encore plus correctement que son ami le coussin !

« Il-n’a-pas-besoin-de-vous-maudit-professeur-fantôme-à-la-noix ! »

« Et-baissez-les-yeux-quand-vous-parlez-à-une-femme-dans-son-lit-espece-de-malotru-de-mes-deux ! » Non mais ! Hop, second coussin cette fois. « Ok, maintenant, il vous reste dix secondes pour dégager d’ici, d’attendre en dehors de chez moi en attendant que je me change !  Et si je vois le moindre bout de nez de votre part chez moi sur le passage, je mets ma menace à exécution ! Compris ?! » Arf, c’était dur de tenir le monde Dragonriette en chuchotant ! Bon. Orion avait compris.

Pour la peine, Henriette mit une bonne demie-heure à apparaitre devant chez son frère. Elle s’était laissée 10 minutes pour se réveiller convenablement -du moins, se calmer, car pour être réveillée… il n’y avait pas sur Terre plus réveillée qu’elle à cet instant!-, 10 autres pour se préparer et encore 10… Pour préparer un petit déjeuner. Chose qu’elle aurait pu faire plus tard mais encore une fois, elle fit exprès de prendre son temps dans ses préparations. Et quitte à avoir une discussion à… 6 heures 30 du matin -Henry allait le tuer. … Le re-tuer-, autant profiter du lever du soleil avec un petit déjeuner de tartines et de thé devant la maison.

La porte s’ouvrit enfin, laissant une Henriette, croissant dans la bouche et plateau dans les mains, sortir. Ses cheveux noués en chignon, elle avait gardé son tee-shirt mais avait mis un jogging et un plaid par dessus ses épaules. Fusillant du regard le fantôme qui l’attendait -pire que GoodBoy…- elle n’ajouta aucun mot et prit place assise contre sa maison, avec son plateau devant elle.

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Ven 24 Avr - 1:16


Gloups et re-gloups, c'était vraiment la cata ! Encore une attaque et cette fois de la taille d'un polochon ! Par réflexe, je levai mes bras en geste de défense (oui je sais ça servait à rien, mais les habitudes ont la vie dure, hein oh !). Goodboy tentait de les attraper au vol. Tu m'aides vraiment pas là ! Je n'arrêtais pas de marmonner "ouiouiouioui" à tout ce qu'elle me disait. J'étais le plus penaud des fantômes !

Et probablement le plus titillé de l'Institut. Oui, c'est pas glorieux, mais que voulez-vous ? Henriette est déjà fort jolie et c'était la première vision d'une jeune femme en tenue de lit que je voyais depuis... Ben même avant ma mort en fait. Et non, c'est pas comme si ça me remettait au même niveau qu'un adolescent prépubère, mais... Mais je sais pas, la voir elle en t-shirt oversize qui dévoilait épaule et aussi, il faut le dire, un bon décolleté, ben, ça me chamboulait.
Ça me chamboulait moi qui ne m'étais jamais imaginé entrer dans son intimité ; ça me chamboulait d'avoir ce genre de papillons pour une humaine que je comptais bien garder comme amie ; et ça me chamboulait d'avoir ces sensations tout court. Aucune idée de si je pouvais rougir, aussi ça m'arrangeait de devoir fuir le champ de bataille.

Je pris le temps de souffler et de me reposer devant la maison, Goodboy toujours aussi surexcité de pouvoir jouer plus tôt que prévu. En attendant Henriette, je lançais de l'air au chien qui courrait l'attraper et me le ramener. Elle en mettait du temps ! Elle me boudait, obligé elle me boudait... Et je le méritais. Pathétique fantôme que j'étais, seul au monde, hello darkness my old friend...

Elle sortit enfin ! eet me fusillait du regard. Ah là, je me tenais à carreaux, je n'osais même pas m'approcher de là où elle s'assit. Aaah, un petit-déjeuner en plateau, qu'est-ce que ça donnait envie ça aussi. Moins que les contacts physiques, mais pas loin derrière. Je n'étais même pas en capacité de sentir l'odeur du thé, snif.
Elle mangeait, mais sans me parler ni même me regarder. Pourtant, elle était sortie dooonc j'avais le droit de parler ?

« Avec cette attitude, vous feriez un malheur en professeure qui donne des punitions ! »

Woh, les yeux revolver, ok, trop tôt pour les blagues, je retire, tout doux !

« Je... Je voulais pas vous réveiller, en fait si... Euh, je... C'est que vous êtes debout généralement vers cette heure-ci et je voulais pas que vous soyez en retard au travail, vu que c'est encore votre premier semaine et... je voulais juste aider. »

Je faisais vraiment pas le fier, même mes expressions faciales étaient loin d'être dignes et assurées.

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Ven 24 Avr - 2:13
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Dragonriette en place. Ses iris semblables à ceux de serpents (dans sa tête seulement) regardaient au loin, dans la direction future du soleil levant. Elle voulait voir les premières lueurs apparaitre et… Bon dieu, Orion, la ferme !

Ce fut exactement ce qu’il comprit rapidement, se taisant à sa blague. … Blague qui n’en était pas une. Aussi, si elle n’était pas en mode écailleuse, elle s’en serait voulu de le narguer mais… Au final, c’était un compliment. Arg, il recommençait ! Il savait comment récupérer sa bonne humeur mais non non et non Monsieur Orion. Ca n’allait pas se passer ainsi, elle continuerait à faire du boudin un petit bout de temps, ça lui ferait les pieds à ce grand dadet ! …



Mais c’était  un compliment tout de même et après 5 soirées à travailler… Ou plutôt, 5 nuits complètes à parler/crier/radoter/surveiller les FAPFAP et le couloir de leur batiment ; à ne pas se sentir assez « mauvaise » pour être respectée, à se faire lyncher, regarder de travers… Ca faisait du bien. Cette première semaine avait été rude pour elle et plusieurs fois elle s’était sentie au bord de l’implosion. Curieusement, Dragonriette n’intervenait que sur le pauvre Orion et certainement pas sur un des élèves… Et encore, même si elle le voulait, elle ne pourrait pas. C’étaient des Fils et Filles de riches, les privilégiés de l’école… Après un soupir silencieux face au récapitulatif horrible de cette semaine, elle se renfrogna un peu sur elle-même -signe que ça cogitait dans sa tête- en rapprochant d’avantage ses genoux contre son torse et en réajustant son plaid.

«… Vous êtes un véritable psychopathe. » ne put-elle s’empêcher de dire en ne se retenant pas de l’observer dans les yeux. … Oh non, il avait sa fameuse bouille de la bêtise. … Dragonriette était reparti dans sa grotte et c’était Bisounenriette qui prenait le relai ? NON, PAS ENCORE. « Et pas très perspicace malgré tout. On est dimanche. Je dois vous rappeler que travailler chez les super-vilains permet malgré tout d’avoir des jours de repos ? » Son croissant bientôt englouti, Henry se servit son jus d’orange pressé et but goulument son verre. … Bon, elle ne pouvait pas lui en vouloir trop longtemps.

« Rendez-vous compte quand même que, même si je suis la seule personne à qui vous pouvez parler… Il y a des règles à respecter. Comme celle de ne pas entrer chez les gens ou dans la chambre de quelqu’un pendant qu’il dort. Surtout que je suis une femme et vous… Un homme. Enfin, après, tant vous êtes gay… » …. Elle avait osé. « … et vous ne vous en êtes pas inquiété par rapport à ça mais…Orion, bon sang quoi ! » Son ton était désespéré mais aussi gêné. Son front se posa sur ses genoux et son dos se bomba pour préparer une grande inspiration. Et sans quitter cette position, elle expulsa un long souffle avant d’ajouter « …En plus je suis vraiment dangereuse au réveil… Et je peux être de mauvais poil juste parce que j’ai été mal réveillée… … Vous m’avez réveillée en plus alors que je revais que je faisais du quidditch sur un aspirathor electrique 2000… »

Cherchait-elle à se faire pardonner pour ce début de matinée plutôt… criant ? Oui. Même si elle lui en voulait encore et qu’elle n’allait pas changer d’avis sur les règles à respecter avec elle. Sa maison (enfin, celle de son ainé) : son territoire. Sauf s’il était invité, bien sûr.

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Ven 24 Avr - 22:44


Elle mâche son croissant, elle me juge, elle est en train de me juger, c'est sûr ! Elle va me répudier, elle va trouver un exorciste et me renvoyer à jamais, elle va me...

On était dimanche.
On était putain de dimanche et j'avais même pas fait attention au calendrier... Goodboy, creuse-moi un trou que je m'y cache tout de suite, s'il te plait. Ou indique-moi le trou le plus proche. Arrête de me tirer la langue, c'est pas poli. Qui t'a éduqué de ton vivant, hein ?

Je ne savais pas quoi répondre et l'écoutai patiemment. Elle avait raison en tout point et j'étais un gros nul. Moi qui étais pourtant si poli et distingué et beau gosse usuellement ! J'étais en train de me faire remettre en place et en beauté.

[Terminé] RP 2 : Tu dépasses les bornes des limites, Orion Tenor

Puis c'était clairement pas le moment de répliquer que j'étais pas gay ni de me rappeler que la dé-couvrir dans son lit était une très jolie vue, même si elle avait aussi été mortelle.
Elle m'en voulait, mais à quel point ? J'avais besoin de savoir, j'avais besoin... de l'ancre qu'elle représentait. J'étais prêt à tout, je m'étais juste laissé emporter une fois de plus.
Je m'agenouillai devant elle, à la distance qu'elle m'avait apprise et lui parlai en la regardant, même si elle avait encore la tête sur les genoux.

« Je suis sincèrement désolé, Henriette, croyez-moi. Je me rends compte maintenant que je me suis mal comporté, veuillez me pardonner. Et... je suis vraiment débile d'avoir oublié l'existence des dimanche, je n'ai pas d'autre excuse que d'être mort depuis trop longtemps. J'obéirai à toutes les règles que vous voudrez mettre en place, promis ! Et... désolé pour votre match de Quidditch, je suis sûr que vous étiez en train de gagner en plus. »

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Sam 25 Avr - 0:12
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Il fallait interdire à cet homme de l’approcher. Il savait beaucoup trop bien comment se faire pardonner. Ou en tout cas, il avait la bonne bouille de l’homme à qui on pardonnait tout et il en profitait allègrement. Et Henriette parvint à y échapper alors qu’Orion s’excusait platement (en s’étant rapproché, le volume de sa voix était plus proche), se justifiait (en utilisant son statut de fantôme…) puis essayait de partir sur autre chose… En terminant par un compliment ! NON. Ca n’allait pas se passer comme…



Henriette releva doucement son regard pour le fusiller du regard et… Sentit ses deux armes perdre toutes leurs balles. Cet homme était un monstre.

En sept jours qu’ils se connaissaient, Orion avait compris (ou avait, tout simplement, naturellement) le comportement à avoir pour se faire pardonner Henriette sur plus d’un cafouillage. Et aura eu la chance d’être matérialisé deux fois ! Le premier jour et… cet instant là. D’un geste vif -et avec la volonté de le rendre tangible cette fois, au moins-, Henriette poussa Orion par l’épaule pour que ce crétin fini accroupi atterrisse sur les fesses. Oh, rien de bien fatiguant, elle avait rapidement pesé le pour et le contre : elle mangeait, était réveillée depuis peu, avait passé une bonne nuit de sommeil et surtout… elle n’avait abusé (car oui, c’était clairement de l’abus) de son pouvoir qu’une seconde, le temps du contact entre elle et Orion. Tout le contraire que leur premier… Beaucoup moins attendrissant que son étreinte aussi. Bon, elle n’était plus si énervée que ça désormais, ça lui avait fait du bien ! … Et puis la déception de ne pas avoir de réponse quant à l’attirance amoureuse de cet idiot de fantôme prenait bien le dessus. Tout simplement car… sa curiosité n’était pas rassasiée ! Voilà tout ! Juste pour ça.

« Quoi ? » demanda-t-elle face au regard d’Orion. « J’ai fait d’une pierre trois coups. Je m’entraine sur mon pouvoir, je vous offre un peu de contact et j’évacue. » Elle aurait voulu que ça soit sec. Et froid. Comme son visage qui boudait et regardait ailleurs. Mais elle sentait cette maudite commissure se relever toute seule car elle imaginait la bouille du professeur. … Elle lança un regard sur lui… EXACTEMENT la bouille imaginée ! Mais !

« Aaaah mais arrêtez avec votre regard de Merlan frit làààà ! » Un rire interrompit sa plainte. « C’est bon, vous êtes content ? j’vous en veux plus, vous m’avez faite rire ! Mais par pitié, arrêtez d’avoir cet air là constamment ça me donne envie de… » Vous pardonner, me dire pour la énième fois que c’est VACHEMENT dommage que vous soyez mort, vous rendre matériel, vous caliner, vous frapper, vous… TROP DE CHOSES. … Elle ne termina pas sa phrase et garda son sourire sur ses lèvres. Surprenant, tiens. « Vous auriez été dans quelle maison si Poudlard avait existé ? » demanda-t-elle soudainement, toujours dans sa quête pour deviner la matière favorite d’Orion. L’enquête se poursuivait toujours et elle trouverait sa réponse.

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Sam 25 Avr - 11:08


Que que quoi ?! Elle m'avait poussé, elle m'avait réellement poussé ? Utilisé son pouvoir pour me faire du mal ? Pour m'humilier ? Je lui sortais mon air le plus meurtri pour mettre sa consistance à rude épreuve, dévoiler la Vilaine en elle ou la pure enfant qui voulait bien faire. Et... elle riait. Pure enfant.

Comme elle venait de mentionner, elle m'avait offert un contact, une matérialisation, même brusque, même sadique, mais elle l'avait fait et je lui en étais reconnaissant. Elle m'avait fait tomber sur mes fesses et sentir mon coccyx, quoi ! Vous chais pas, mais moi ça me fait la journée !
Après ma "bouille de merlan frit" revint le sourire. Le sourire heureux que notre relation tienne le coup même après mes bourdes à répétition, heureux qu'elle rit, heureux que cette magnifique personne soit venue à l'Institut.

Il fallait profiter de l'instant présent et de ses petites envies "d'entrainement". Je me remis à genoux devant elle cette fois les bras en croix, le visage levé vers le ciel, dans une pose de sacrifice pénitent.

« Poussez-moi encore ! Je l'ai mérité. Révélez votre potentiel, Henriette Raya-Yoon. »

Mais rien ne se passa. Évidemment, quand c'était moi qui demandais, ça ne marchait jamais ! Bon, qui ne tentait rien n'avait rien et au moins j'avais essayé. Au pire des cas, je recevais un rire de plus et c'était ce à quoi j'aspirais secrètement le plus. Toujours un genou à terre, je pris une position plus détendue et prompte à la discussion.

« Poudlard, l'école d'Harry Potter ? Comme j'ai pas bossé une seule fois pour lui, en même temps, vous verriez le personnage, vous n'auriez pas forcément envie, il a bien changé vous savez ? Bref, eh bien, comme j'ai bossé ni pour lui ou Voldemort, j'ai pas pu visiter une seule fois l'école, j'aurais bien aimé pourtant. Et la maison du coup ? Hum, eh bien, je vais pas prendre Serpentard, parce que tous les méchants ne peuvent pas se trouver là-bas, c'est trop cliché et je ne suis même pas cliché moi, alors bon. Serdaigle ? J'aime mieux l'action à la réflexion ! Poufsouffle, c'est mort et il reste donc... ah ouais mais c'est la maison du Pottier là. Vous savez quoi ? Je vais rester maison Press, la meilleure maison, la mienne. Quelle est votre maison à vous ? Vous voulez rejoindre la mienne ? Oooh mince, vous êtes Poufsouffle s'il faut ! Oh la boulette. Oui mais c'est ça aussi les gentils qui s'incrustent chez les vilains, vous êtes cramés ! »

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Sam 25 Avr - 20:59
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Featuring Orionblblblblblblbllblblblbl
Et allé, que ça gloussait encore de rire. S’entendant elle-même, Henriette mit sa main devant sa bouche pour étouffer son rire histoire de ne pas réveiller son frère. L’entendre gueuler, d’accord (même si à 6 heures du matin et chez soi alors qu’ils n’étaient qu’eux deux, normalement…) mais l’entendre ricaner autant devant la maison… Il y avait de quoi trouver tout ça suspicieux jusqu’à aller la voir, la trouver seule et comprendre qu’un fantôme était dans l’équation. Non, il ne fallait pas réveiller ce pauvre Léandre. Il pourrait s’apercevoir de quelque chose qu’Henriette essayait elle-même de se cacher inconsciemment. Mais même ses propres réactions envers elle-même était dures à cacher. Comme ce mordillement de lèvre en le voyant en position de sacrifice. On redescend Henry. L’observant donc en silence, bouche pincée et sourcils relevés jusqu’à ce qu’il baisse son regard à nouveau sur elle… la surveillante laissa sa tête faire un « non » avant d’entendre son propre rictus.

« Bah oui, l’école de Magie ! » C’était normal, non ? Henriette laissa Orion se lancer dans un (de ses fameux) monologue.s, toujours aussi amusée par son ton, sa discussion, sa culture (bon, un peu inutile pour le coup), sa vie avec les choses qu’il avait faites ou non…

Serpentard. Aussi super-vilain se disait-il, elle ne voyait pas la mauvaise ruse des verts. Peut-être une certaine détermination dans ses envies et actions mais… Henriette était plus déterminée que lui, à ne pas lui offrir ce qu’il voulait dès qu’il le lui demandait. (Et, spoiler-alert, il le lui demandait beaucoup. Mais c’était plus devenu une blague innocente, loin d’être lourde.) Serdaigle… Peut-être. Elle le voyait comme un homme intelligent et sage même s’il était un hyperactif de l’action d’après ses dires. A croire que les intellos ne pouvaient pas être dans l’action ? Mais il serait un parfait mélange des rouges et des bleus pensa-t-elle, avant d’être amusée par le rejet de la maison jaune de Poudlard. Et voilà qu’il s’inventait sa propre maison. Ego/100…

Hmmm… Maison Press donc ? C’aurait pu être intéressant si Orion n’avait pas osé la mettre chez les Poufsouffles ! Quelle INFAMIE ! A en faire voltiger le rouleau de sopalin dans la tête du professeur.

« Hey ! Je ne serai JAMAIS chez les Loosers ! Ah mais cette maison, elle ne sert tellement à rien en plus ! Mais vous êtiez sérieux ? Ça m’attriste que vous me liez à elle ! » dit-elle faussement, main sur sa poitrine… Oh, Orion déteignait sur elle. « …Serdaigle pour moi. J’ai beau ne pas avoir grand-chose pour moi, je me sais très intelligente. Je n’aurai pas réussi à aller jusqu’en 3ème année de Medecine sinon. » Le peu de fierté qu’elle avait provenait de ce parcours étudiant. Reprenant un ton sérieux depuis sa dernière phrase, elle poursuivit. « Couleur, animal et traits. » Elle croqua dans sa tartine de beurre et de confiture, avant de sembler bon de préciser. « La maison Press. Ca serait quoi sa couleur, son animal et les traits qui feraient qu’on irait dedans. … Oubliez le blaireau, il est déjà pris. » Et chtoc, dans tes dents ! « Oh et les bisounours ne sont pas une race animale.  » Oui, Henriette était contente d'elle.

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Sam 25 Avr - 22:15


Il était vrai que son côté étudiante en médecine la faisait énormément pencher vers les Aigles bûcheurs. Je me pris à rêver qu'elle serait encore cette année en train de réviser, la moitié des cheveux remontés en un chignon vite fait, des lunettes au bout du nez, un crayon entre les dents, la tête tenue par une main, le regard perdu sur un manuel scientifique... Et je l'observerai des heures durant, sans rien dire. Mieux qu'une télévision calée sur une chaine ASMR. Elle ne me verrait même pas, je la soutiendrais mentalement et je verrais la vie tracer un de ses innombrables chemins.

Je souriais un peu bêtement, charmé par son caractère. Je n'avais même pas réagi quand elle balança le sopalin, je le laissais me traverser sans m'en soucier, allez-y monsieur, passez je vous en prie.
Par contre, quand elle me traita indirectement de blaireau, je repris moi aussi la pose de la main offusquée sur la poitrine en miroir d'elle. On aurait pu tenir un concours toute la matinée. Au fond de moi, je trouvais ça adorable qu'elle ait enchainé sur les bisounours. J'étais content qu'elle me voie ainsi. Mais hey, fallait quand même que je m'affirme en tant que méchant !

Je changeai de position pour réfléchir. Sans faire exprès, avec grand naturel, je ressemblais à une jaquette de CD, appuyé sur une main, une jambe au sol, l'autre genou relevé pour poser mon coude dessus et le regard perdu au loin. Un peu plus et j'aurais pris une brindille entre mes lèvres.

« Voyons voir... Pour les couleurs, c'est facile : noir et violet électrique, celles de mon costume de Vilain, d'excellentes couleurs pour des Vilains, Disney ne s'est pas trompé. Et chut c'est moi qui décide si noir est une couleur ou pas, vous n'aviez qu'à pas poser la question si c'était pour me contredire jeune fille. Tss, quelle impertinence. Bref, les traits... Charme, bien évidemment, et ponctualité. » Je repensais à mes années de kidnapping. Le timing en était un élément très important. « Quant à l'animal emblème, hum, il faut quelque chose qui prouve mes valeurs, qui montre tout de suite qui je suis, ce que ma maison vaut ! »

Ce fut à ce moment-là que Goodboy vint me faire des papouilles, cassant complètement mon groove et en même temps, m'offrant l'arme parfaite pour faire craquer une fois de plus - je l'espérais - ma chère amie. Je pris la bouille du border collie et, tout en la malaxant de grattouilles, l'orientant face à Henriette. Je collais ma joue à celle de Goodboy et, avec l'air le plus mignon que je pouvais sortir de l'au-delà, déclarai :

« Un border collie ! N'est-ce pas le parfait animal, Henriette Raja-Yoon ? [Terminé] RP 2 : Tu dépasses les bornes des limites, Orion 2185222245 »

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Sam 2 Mai - 6:37
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Featuring Orionblblblblblblbllblblblbl
Noir et violet… Ca rejoignait l’idée d’Henriette qui avait de suite imaginé la tête d’Orion sur un splendide violet vif. Mais le noir n’était pas une…

« Ok, je me tais ! » dit-elle en levant ses mains pour prouver qu’elle n’allait pas répliquer, amusée à l’idée de voir qu’elle avait tout juste ouvert la bouche pour rappeler cette information au fantôme… Et dont ce dernier avait aussitôt remarqué et surtout compris ce qu’elle allait faire. Arf, c’était ça d’être une Serdaigle, alors ? Elle ne s’y était jamais vraiment intéressée, à ‘sa’ maison car elle était du genre à avoir les pieds sur terre et à ne pas rêver d’histoires folles. Même si au final, tout ça existait bien.

Le Charme. Henry se retint de valider cette caractéristique mais elle allait parfaitement au fantôme. Il en avait un fou. Si elle avait été son élève… Non. Rectification. Si elle avait su qu’un tel professeur enseignait ici… Elle serait devenue une super-vilaine. Rien que pour pouvoir sourire et papillonner pour pouvoir exister à ses yeux. Le second trait ? La ponctualité… Si elle trouva le second trait assez peu intéressant au départ, elle finit par l’accorder. Elle ne savait pas si ç’avait un rapport avec sa spécialité… Mais sûrement. Elle était sûre de sa ruse après tout.

Et pour agrémenter le tableau, un border collie. Ok, c’était la goutte d’eau qui faisait déborder le vase et qui l’affubla d’un nouveau rire… Avant d’éclater d’un rire encore plus grand qu’elle essayait de calmer.

« C’est horrible… Vous me faites penser à un manga ou y a une fillette avec une bouille aussi mignonne que la votre et… Qui a un chien… Et ça fait une… chimère et… » C’était nerveux, en vrai, car elle avait pleuré devant cette scène. « Oh bon sang… je vous interdis de vous approcher d’un quelconque alchimiste avec mon chien à côté… » Non, son rire empirait. Un rire tellement nerveux et jaune et… horrible. L’aura d’une super-vilaine cachée, bien enfouie, qui montait enfin à la surface ? Des larmes venaient à rouler sur sa joue. Ses joues la tiraillaient, les muscles de son ventre aussi… Oh, non, c’était pas possible… Ca n’était pas drôle ! … Enfin, si…

Il fallut plusieurs minutes à la brune pour se calmer… Même si elle s’était laissée tomber sur le côté pour essayer d’évacuer au maximum la douleur de son torse. Et… ouf, que c’était dur de reprendre son souffle, tempes trempées à cause des larmes. …



« Votre animal officiel sera une chimère. »
Oui, elle avait osé. Et elle repartit de plus belle avant de sentir une douce chaleur recouvrir doucement son visage. Le soleil commençait à pointer le bout de son nez, elle n’avait pas fait attention. Et c’est avec ce sourire gravé qu’elle laissa ses quintes de rire s’estomper dans l’admiration du paysage qui changeait de forme au fur et à mesure que la lumière dévoilait le parc de l’institut. Et c'est sans s'arrêter sa contemplation qu'elle avoua d'une voix rêveuse :


« Du coup, avec mon super plan diabolique, j'ai 2 traits sur vous... Et je vous vois comme un... Arsene Lupin. Un voleur. Enfin, un voleur dans la classe. C'est ça votre spécialité ?»

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Sam 2 Mai - 14:37


Mais de quoi elle parlait ? Oh non, quand même pas de ça. Mais Henriette était horrible en fait ! Et elle rigolait comme une sadique en plus ! Mon petit cœur ! Elle m'avait fait croire à son innocence tout ce temps pour mieux me fendre le cœur ! Et même si j'avais un air de chien battu à côté de Goodboy - qui lui continuait d'irradier de bonheur -, elle n'en démordait pas, elle riait toujours. J'étais... J'étais si fière d'elle ! Et si si heureux de la voir rire autant. Aucune idée de si elle avait le rire aussi facile avec ses frères et ami.e.s, mais moi je n'avais pas vu quelqu'un vivre autant ses émotions depuis belle lurette. Le spectacle de ses notes de rire, de ses larmes joyeuses, de ses mains en mouvement, de son sourire, de ses cheveux qui se balançaient me comblait de bonheur. Je devenais vite sentimental, mais je lui souhaitais intérieurement longue et belle vie quand elle m'offrait un tel présent. Que les personnes qui partageraient sa vie aient droit au même spectacle et le lui rendent bien surtout, moi qui ne le pourrais jamais.

Je lançai encore deux-trois fois de l'air à Goodboy pour qu'il aille le chercher le temps qu'elle retrouve son souffle. C'était sans compter sur le comeback round 2 d'Henriette pour rompre mon visage impassible. C'était la journée des mains sur la poitrine !

« Une chimère ? C'est pas parce que je suis mort que le respect doit l'être aussi, enfin ! »

Le Soleil atterrissait enfin dans le terrain derrière moi. Je n'aurais pas remarqué si je n'avais pas suivi le regard d'Henriette perdu dans cette direction. Je me levai pour m'asseoir un peu plus près d'elle maintenant qu'elle avait fini de me jeter des objets dessus et pour regarder les rayons du Soleil gagner du terrain au fur et à mesure des minutes tant qu'elle voudrait de moi. J'avais tout de même une plus grande tendance à la regarder elle que le parc.

« Haha, Arsène Lupin me convient très bien ! Un voleur possédant du panache ? Oui, vous n'êtes vraiment pas loin. Pour mon costume, j'avais même pensé à celui de l'Homme Masqué, vous voyez ? Sailor Moon, non ? Je sais que ça date mais j'avais cru comprendre que c'était revenu à la mode. Bon. Mais je suis arrivé après la mode des capes, on a eu un mandat d'arrêt, littéralement, pour ne plus en porter dans tout le business. »

Oui, je kidnappais des gens à l'époque, mais c'était après les avoir embrassés. J'avais toujours eu une vision romantique de la chose, quoiqu'on en dise. Le pouvoir fait le larron.

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Lun 4 Mai - 2:19
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Featuring Orionblblblblblblbllblblblbl
Henriette, restée allongée quelques secondes encore après sa tentative d’enquête sur Orion, se releva enfin et reprit place contre la maison de Léandre, réajustant son plaid tandis que le fantome venait s’incruster à ses côtés. Et yeux plantés sur le soleil (enfin, c’est ce qu’elle pensait) la pensée qu’ils ressemblaient à un beau duo d’amis la fit d’avantage sourire. Il avait beau être gaffeur, elle appréciait beaucoup trop cet idiot. Surtout quand ils partageaient la même vision, comme avec ce bon vieil Arsène Lupin ! Bien qu’ancienne étudiante en médecine, elle avait adoré parcourir les aventures de ce voleur dans son adolescence. Et celles de Sherlock Holmes. Mais le côté bandit d’Arsène l’avait toujours rendu plus attirant que le précédent ! Ah, les amours de jeunesse de la petite Henry n’avaient rien à envier aux « célébrités » du XXIème siècle… Sauf peut-être Orion Press. Après tout, elle l’avait comparé à son idole de bouquin ! Mais même ainsi, elle n’y était toujours pas. En temps normal, elle aurait tiré une moue travaillée mais là, elle était trop concentrée pour admirer la vue. Son visage se durcit juste quelque peu sous de nouvelles réflexions, cherchant encore, tout en répondant machinalement.

« Non, connais pas… »
Ok, alors, c’était aussi classe que Arsène Lupin… Bon, Henry ne trouvait absolument pas. Genoux contre elle et menton posté dessus, elle finit par laisser son visage glisser pour y poser sa joue et observer Orion…

« Un mandat d’arrêt ? Carrément ? C’est que c’est pris au sérieux tout ça… Bon, tant mieux d’un côté car c’est ridicule un peu… » Puis, se privant de quelques secondes de spectacle, elle sortit son téléphone et rechercha donc ce mystérieux Homme Masqué. Oh. Pas mal. Elle devrait peut-être se mettre aux mangas en fait, il y avait des supers plutôt classes ! Bon, il y avait la cape mais… « Pas très dur de vous imaginer avec. Du coup, vous aviez du violet et noir dessus… Et vous souriiez aussi comme vous faites toujours ou vous aviez un air un peu plus serious business du coup ? » demanda-t-elle, mitigée entre une envie de taquiner et une question réelle.

S’il souriait comme là, il y avait fort à parier qu’il s’en servait comme arme et non pas juste comme réaction… Ou alors il aurait été bien bête de ne pas se servir d’un tel atout ! Enfin, là, elle était sûre qu’il s’en était servi contre elle… Mais elle ne voyait pas ça d’une manière malsaine que les personnes aux dents chatoyantes qu’elle avait croisé sur son chemin. Ah, les beaux parleurs... Elle le plaçait donc en dehors de cette catégorie, par instinct (peut-être mauvais ?) même si elle était persuadée qu’il l’avait bien aiguisé, ce sourire…

Elle partait donc sur… Une matière dans la duperie de personnes ? Henriette était sûre d’être sur la bonne voie. Et puis, le costume ne servait pas à rien ! Il jouait de son apparence, en profitait. Ses yeux observaient de bas en haut le pauvre fantôme, tressautant légèrement, dans ses pensées, sans vraiment se rendre compte qu’elle le fixait.

« Et votre super-pouvoir, c’est quoi du coup ? » Cette nouvelle question la sortit elle-même de ses pensées et dans ses observations. Comment elle avait fait pour ne pas lui demander ça plus tôt, franchement ? Se rendant compte de son idiotie, Henry retourna son regard sur le soleil et… Woah, il avait bien avancé en ces quelques secondes ou elle avait tout juste viré son regard, c’était rapide ! Prise d’un frisson, elle finit par s’emparer de son thé et d’en boire une gorgée, profitant de sa chaleur et l’accueillant avec un petit sourire. « Et votre pseudo au fait ? » Ah, bah, oui, demandons tout le CV de Monsieur Orion Press alors que ça faisait bien une semaine en non stop qu’ils se fréquentaient ! Ils avaient parlé de quoi pendant tout ce temps si elle connaissait aussi peu l’homme à ses côtés ?!
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Lun 4 Mai - 23:09


[Terminé] RP 2 : Tu dépasses les bornes des limites, Orion Tenor

Pff, les jeunes critiquaient toujours les capes. Ah ça pour avoir vu Les Indestructibles, y'a du monde, mais pour comprendre à quel point l'histoire des Super et de la cape était entremêlé, là il n'y avait plus personne. Oui, évidemment que ce grand pan de tissu avait beaucoup de désavantages, mais le haut potentiel classe qu'elle apportait faisait que j'étais et resterai toujours un fervent adorateur des capes.

Lorsqu'elle me posa la question sur mon sourire, je ne pus m'empêcher de tourner ma tête vers elle et, en plus de mon plus beau sourire, j'agitais les sourcils d'un air entendu. Peut-être... Peut-être pas... J'adorais ne pas lui répondre. À l'Institut, du temps où j'enseignais, tout le personnel connaissait l'histoire de tout le monde et les élèves l'apprenaient bien vite. J'avais oublié le petit jeu qui consistait à faire languir quelqu'un sur son identité, lui faire croire tout et n'importe quoi, la laisser dans le doute... Un jeu assurément délicieux. (Et je n'allais pas m'avouer que j'avais un peu honte que elle, Henriette, découvre mon pouvoir et mon passé salace déviant. Elle venait un peu des Gentils, elle allait indubitablement me juger.) Mais c'est qu'elle continue à creuser en plus ! Elle était bien accrochée, la moule ! Je poussai un éclat de rire franc et court, yeux fermés, et me tournai à nouveau vers elle. Bataille de regards, je laissai planer un silence de quelques secondes. Il fallait qu'elle sache que je voyais clair dans son jeu et que justement, j'étais pleinement joueur. Qu'elle ne croie pas que j'évitais la question par embarras. Je me relevai d'un coup en claquant mes mains, comme si j'avais un entrain soudain, puis je parcourus le devant de la maison de long en large, comme un prof qui ferait les cent pas devant son tableau, l'air inspiré.

« Revenons sur les capes, puisque vous en reparlez. Pensez que c'était un attribut royal à la base, même Cléopâtre en avait, avouez que c'est un magnifique héritage ! Je vais vous dire un truc moi : les Mousquetaires. Eux, ils étaient visionnaires ! Et ils avaient des panaches ! Oui, du panache et des panaches, les plumes sur les chapeaux quoi. »

Peut-être qu'avec ça, elle croirait que j'étais professeur en costume. Je n'en avais jamais fait de modules, mais je me rappelais très bien de mes cours en tant qu'étudiant, j'avais adoré cette matière. Sûrement mon côté flamboyant.

« Tenez, on va faire un exercice tout de suite. » Comme lorsque j'avais réussi à vous lancer dans des pompes en plein couloir. « Nouez votre plaid autour de votre cou et imitez mes mouvements en tenant un pan de votre cape et vous allez me dire après si vous ressentez rien. Allez, je suis sérieux. »

Évidemment, elle m'avait juste regardé assise à la première intonation, mais elle se leva quand j'insistai, ce qui augmenta mon sourire ravi d'avoir une si chouette amie. Dès qu'elle fut debout, j'enchainai les poses, attendant à chaque fois qu'elle m'imite, poussant parfois des "Ha !" pour accompagner le mouvement. Un peu plus et c'était un entrainement militaire comme dans Mulan.

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