[Event groupe 2] A la poursuite de Daphné

« Enfer ». Voilà comment « Alden » (il ne s’y faisait toujours pas à ce prénom) voyait cette réunion officielle organisée par Mila. Déjà, il ne voulait pas être là et il se fichait complètement de ce qui allait être dit. Cette histoire de destruction d’école de super-héros lui était complètement égale. En plus, il y avait beaucoup trop de monde dans cette salle, beaucoup trop de gens qui pensaient en Français, et qui en plus pensaient n’importe quoi. Bref, il se prenait des déchets mentaux de toutes parts, et tout ça lui collait de bons gros maux de tête. C’était l’occasion parfaite pour lui de se rappeler pourquoi il n’aimait pas les gens. Il s’intéressa qu’à un seul moment à ce qui se disait, lorsque le nom de Basilio « Tsuminable ? » (Sérieusement, « Tsuminable ? ») fût prononcé. Il supposa que ça ne ravirait pas l’adolescent…

En tous cas, il n’avait aucune intention de participer à cette stupide « chasse à l’homme ». (Il détestait les groupes, il n’aimait pas le travail d’équipe et Basilio saurait très bien se débrouiller tout seul). Il calculait le chemin le plus rapide vers la sortie lorsque Mila décida de tirer sur des gens avec… quelque chose qu’il ne put même pas identifier, trop de gens pensaient autour de lui, et elle était trop loin pour que le télépathe puisse comprendre ses intentions.

Il retournait au Bureau international quand soudainement, il changea complètement d’avis. Sans savoir pourquoi, il voulait maintenant absolument participer à la chasse à l’homme et poursuivre les petits fuyards. Alden avait une envie irrépressible de tenir un fusil de paintball et de tirer sur des gens, et cette envie était si forte qu’il ne se demanda même pas pourquoi. Il partit vite s’équiper. Il avait un peu de retard, mais ça ne lui porta pas du tout préjudice. Alden n’eut besoin que de traverser quelques couloirs en direction de la sortie pour voir une fuyarde passer en trombe devant lui, et il la poursuivit. Et après... elle... tira sur le plafond? ... Ce n'était peut-être pas étonnant que les super-vilains aient voulu se débarrasser d’elle... En tous cas, à cause de cette erreur, il avait une belle fenêtre de tir, et il en profita.

Spoiler:

Ce dé n'est pas existant.

Pandi est un panda. Un adorable panda. Dans une école de futurs génies du mal (et futurs sous-fifres oubliables pour 95% d'entre eux). Alors forcément, il fallait s'attendre à ce que le merveilleux et duveteux animal ait parfois un petit côté bestial.
Comme aujourd'hui. Après ne PAS avoir été convié au discours de Mila (quelle honte ! Lui qui était la mascotte de l'institut !!!). Heureusement, grâce aux dispositifs de capture de son situés dans ses oreilles, Pandi avait pu entendre le discours malgré tout. Une chasse à l'homme ? Très bien.

||Derrière son écran d'ordinateur, la dame à l'imper examine les fiches qu'elle a en sa possession.
- Khalee Desmarais : nulle à chier
- Neville Leblanc : semble avoir des contacts hauts placés. Approche peu recommandée.
- Owen Kinney : pouvoir puissant. Evaluation précise à effectuer. Semble proche de Daphné Lowrens.

Très bien, la dame à l'imper savait ce qu'elle devait faire.||

Pandi se mit à courrir et s'élança sur une vitre de la salle où se trouvait Daphné. Plusieurs carreaux furent brisés et la boule de poils toute mimi choupi fit une embardée vers la pauvre jeune femme.




Réussite : Pandi heurte Daphné avec un de ses flancs. (Daphné je te laisserai choisir à quel point elle est destabilisée)
Echec : Pandi est emporté dans son élan et heurte un mur. Il pousse un cri de panda mignon-bof
Volte-face : Pandi heurte un mur, passe au travers, puis un travers d'un autre.

Ce dé n'est pas existant.

Popolo pompom... Aujourd'hui allait sûrement être une journée normale pour Orion le fantôme, une journée comme beaucoup d'autres, où il vadrouillerait dans les salles et les couloirs au gré de son humeur...
SAUF QUE NON !
Devant l'une des portes, il entendit Mila et le brouhaha d'une foule. Haha, il se passait quelque chose ! Il entra pile au moment où elle expliqua les règles du "simple jeu". Oho, les bons vieux entraînements sportifs de Mlle Mila. Autant, elle pouvait terroriser l'ancien professeur, autant il avait toujours admiré sa capacité à gouverner cet Institut avec force et chaos. Orion n'allait rater ça pour rien au monde, mais en simple observateur bien sûr, en tant que fantôme, il ne pouvait décemment pas particip-...

"Hé vous là, magnez-vous, restez pas planté là !"

On s'était clairement adressé à lui, on lui avait même posé un paintball devant lui à ses pieds dans l'empressement. On le voyait ?!

"Vous me voyez ?" demanda-t-il à quelqu'un qui aurait préféré foncer tout droit sans s'arrêter mais lui répondit un chaleureux "Ta gueule !" informatif au passage.

YES Orion visible. Il ne se demanda même pas pourquoi ni comment, mais il prenait et il se mit à courir après Alden qu'il avait reconnu. (sans le pistolet car ses mains étaient passées au travers, on peut pas tout avoir) Juste à temps pour voir Pandi (oh tiens, Salut mascotte) heurter une jeune blonde en fuite. Bien joué !

"Alden, levez-vous ! Je ne peux pas aider à la maintenir au sol, il vous que vous y alliez ! Vite, Pandi n'a fait que la heurter !"

Tentatives:

Ce dé n'est pas existant.

Des pistolets ? Voilà pourquoi je voulais pas qu’elle vienne ici ! Cette école est totalement folle ma parole, se faire se tirer les élèves dessus c’est fou non . En regardant autour de moi je vis tous les regards se poser sur les noms prononcés, ou comment transformer des êtres humains en cibles vivantes.
« Mec il y a des phéromones je les sens, les gens vont devenirs agressifs alors laisse-moi prendre les commandes, on sait tous les deux que je m'en sortirait mieux que toi et que je protégerais ta princesse a la tignasse blonde »
Le laisser sortir en plein milieu des élèves . Le carnage assuré, et ça c’est inadmissible, donc première chose à faire : amener Daphné loin d’ici et là mettre en sécurité.
Je pris la blonde par la main et me mis à courir pour nous échapper de tous ces gens qui ne veulent que peindre les ‘héros’.
Entre les tirs ratés et les flaques de peintures il fallait faire attention à ne pas glisser et se ramasser comme un caca. Boum ! Un panda venait de briser une vitre et foncer droit vers celle qu’il devait protéger. Le choc fit lâcher la main de la jeune femme et le déstabilisa.
« Tu vois c’est le bordel, laisse-moi sortir et m’occuper de tout » Le lézard ailé commençait à me taper sur le système je ne pouvais pas gérer la chasse et garder mon calme en même temps, mon cœur battait si fort dans ma poitrine que je me serais cru dans un cartoon, le genre de cartoon ou le cœur sort de sa poitrine avec la langue qui pend et tout le reste.
« Elle va se faire défoncer mec ! Et ce sera ta faute » « STOP ! Arrête ça tout de suite ! » Je venais de crier tout seul sur moi-même comme un malade mental. DAPHNÉ ! Je l’avais presque oublié avec ce lézard de l’enfer. Je m’élançais donc sur elle pour faire barrage avec mon corps, hé oui autant que les séances de musculation servent à quelque chose.

Lancé de dé:

Le membre 'Owen Kinney' a effectué l'action suivante : Lancer de dés

---

'Sauveur' :

Autant le dire, Alden était un peu contrarié. Courir sans regarder où on met ses pieds, c’est assez con. Mais bon, ce qui l’agaçait c’était surtout 1) de ne pas avoir pu tirer et 2) que ses chaussures toutes neuves de 2020 soient fichues. Il n’avait aucune envie d’aller dans un centre commercial pour les remplacer. Il voyait bien assez de gens insupportables dans une journée pour ne pas en rajouter. A cause de cela, son agressivité provoquée partait dans deux directions différentes. D'un côté il avait encore plus envie d'attaquer les fuyards, de l'autre, il s'énervait contre cet exercice idiot. Il en avait rien à faire de tout cela à la base, et ça ressortait un peu.

Il était dans son dilemme, entre je-m’en-foutisme et agressivité, lorsqu’une série de trucs bizarre se produisit. D’abord un panda – dont il ne percevait aucune pensée – déboulait pour frapper la fille qui fuyait avec son allié, ensuite un type demanda d’aller vite rattraper la fuyarde. Type qui connaissait son nom – ce n’était pas réciproque, duquel émanait aucun flux de pensée non plus, et qui raconta être immatériel. Admettons. Une sorte de fantôme quoi, se dit Alden, assez indifférent à l’étrangeté de tout cela.

-Ah oui? Je veux bien te voir courir attraper quelqu'un avec trois centimètres de peinture sous les semelles, répliqua le télépathe, qui délaçait ses baskets. S’il marchait tout de suite avec ça, il allait glisser à chaque pas. Essayons autre chose, je vais tenter de les ralentir par une attaque mentale, de ton côté, passe devant eux et fait comme si tu leurs bloquais le chemin, ça nous fera peut-être gagner quelques secondes, dit-il à voix basse à l’espèce de fantôme. Avec ça il aurait plus de chance de réussir des tirs après. (Apparemment avec les phéromones d'agressivité, l'objectif d'attraper les traîtres passait au-dessus de sa réticence à faire quoi que ce soit en équipe).

Bon c’est pas tout mais il fallait réussir à la doser l’attaque télépathique, il faisait rarement ça aussi énervé, il ne devait pas y aller trop fort non plus… Et pendant ce temps il aurait fini de se débarrasser de ses chaussures.

Spoiler:

||Et biiiiiiiiiiiiiiim ! En plein dans le mille ! Y'avait pas à dire, ce travail de marionettiste pour robot géant était vraiment ultra kiffant !||
Pandi se dressa sur ses pattes arrière et poussa un cri guttural. C'était son côté ursidé. Il retomba à quatre pattes avec fracas, heureusement pour elle Daphné Lowrens n'était pas en dessous. Petite futée va ! Cours Daphné cours. Je te rattraperai de toutes façons.

Pandi chercha du regard Owen Kinney, et ce dernier arriva à côté de lui... Avec fracas aussi, mais c'était moins glorieux. L'hôte du dragon n'avait vraiment pas l'air très doué. ||La dame à l'imper nota dans sa fiche d'évaluation la note "psykokwak" dans la case "agilité". Est-ce qu'Owen était aussi médiocre en tout ? Il fallait faire sortir le dragon pour noter des choses intéressantes.||

Pandi poussa un petit cri aigu attendrissant en regardant le beau brun devant lui. Et s'assit dessus.




Réussite : Owen est coincé sous le panda.
Raté : Owen pourra se dégager super facilement. À la limite il perd une chaussure mais pas plus.
Volte-face : Le fait de s’asseoir déclenche le protocole automatique "sieste" du robot. La dame à l'imper devra lancer un reboot avant de repartir.

Résultat:

Jusque-là, Orion était très content, très excité par tout ce branle-bas de combat ! Jusque-là, il voulait se donner à cœur joie dans cette chasse. Mais là, plus trop. Ouais non. Pourquoi ? Parce qu'il venait de croiser le regard de sa... de leur proie, sa propre sœur Daphné. Ah zut, dirait-on poliment, ça changeait tout. Pas bon ça, pas bon du tout même ! Parce que Daphné est littéralement sans défense par elle-même ! Et puis oh quoi, il n'allait pas rester là sans rien faire ! Comme les phéromones les affectaient encore, sa instinct prédateur se transféra de Daphné au reste du groupe.

Elle venait de trouver un autre protecteur ; ils venaient de gagner une taupe.

Et l'idée d'Alden tombait on-ne-peut-mieux ! Se rapprocher de Daphné et d'Owen en donnant l'impression aux chasseurs de vouloir les bloquer alors qu'il pourrait ainsi établir un contact avec elle et les aider à s'échapper. Il n'avait aucun tir à craindre dans sa direction. Il acquiesça aux dires d'Alden et commença à prendre de l'élan en direction de sa sœur
QUAND SOUDAIN
Owen sortit une aile de dragon et en plus Pandi affala ses grosses fesses sur lui. Aïe aïe aïe, voilà qui n'allait pas aider à les faire carapater au plus vite ! S'il voulait garder sa casquette d'agent double, Orion ne devait pas vendre la mèche et sembler menacer la proie. Il fila se placer comme pour bloquer le chemin, les bras étendus, hurlant "Daphné" et la fixant dans les yeux.

Tentatives:

Vous connaissez la loi de Murphy ? Alden la connaissait très bien, lui. Voyons ce que nous dit Wikipédia à ce sujet. « La loi de Murphy, développée par Edward A. Murphy Jr, un ingénieur aérospatial américain qui en énonça le premier le principe, est un adage qui s'énonce de la manière suivante : Tout ce qui est susceptible d'aller mal, ira mal. » Le pire est toujours certain. Alden avait complètement intégré ce charmant slogan dans sa manière de penser. Aussi n’était-il pas particulièrement choqué lorsque sa tentative d’attaque mentale s’avéra catastrophique. Tout juste ressentait-il de la lassitude. Porté par ses pulsions d’agressivité, son essai de limiter la force de l’agression conduit son pouvoir à « déborder »… en lui faisant entendre les pensées dans tout le bâtiment. Fait chier, pensa-t-il, obligé de se masser le crâne et de s’arrêter comme s’il avait reçu un coup. En plus ça n’avait l’air de leur avoir rien fait, aux deux cibles. Enfin, à la blonde, le gars par terre qui étouffait sous l’espèce de panda bizarre mais efficace, difficile de savoir.

Pendant ce temps, Orion était arrivé en face de la fuyarde… et il hurla son nom. Vachement effrayant comme réplique. Toujours en tourmente télépathique, Alden n’était pas en état de réagir lorsque Daphné récupéra son fusil pour tirer sur le panda fièrement installé sur son trône humain. Par contre, le bruit du coup de feu le fit réagir. Les phéromones d’agressivité reprenaient le dessus, et son attention se portait de nouveau sur Daphné. C’était à cause d’elle qu’ils se retrouvaient dans cette situation, à devoir faire les clowns avec des paintball. Il suffisait de s’en débarrasser au plus vite et ensuite ils seraient tranquilles, voilà. Mais est-ce qu’il pourrait viser correctement, avec toutes les images parasites qui se superposaient à sa vision ? S’il suivait la loi de Murphy, non.

Spoiler:

Alors de 1, Owen ne parvenait pas à se dépatouiller du postérieur de Pandi et de 2, ces sagouins de l'Institut Trueman dégueulassaient SON mécha ! La dame à l'imper était fu-rax !
Elle "jouait" son panda de manière sauvage, mais ces idiots allaient découvrir un nouveau Pandi. Un Pandi sanguinaire.

Faisant fi de sa mission, et n'écoutant que sa colère, la dame à l'imper activa une des armes secrètes du robot : un lanceur de liquide traçant (qui permet de détecter la personne touchée via un signal GPS émis par le liquide). Ouais en gros : une mitraillette à peinture.
Une des pattes avant de Pandi s'ouvrit et dévoila la mitraillette, que le panda saisit dans ses griffes. L'ursidé se dressa sur ses pattes arrière et poussa un cri guttural tout en arrosant la pièce de peinture.



Réussite : tout le monde est touché et la dame à l'imper a été assez discrète pour que personne ne voit le compartiment secret.
Echec : l'intégralité de la pièce est aspergée mais... Aucun des êtres vivants situés dedans !!! Et oui, il fallait faire peur mais la dame à l'imper se contrôle assez pour ne pas brouiller la lisibilité de son radar !
Kakarma : Pandi arrose la pièce, touche... Qui qui en a envie dans sa réponse Mais surtout, surtout... La récupération de la mitraillette à peinture n'était pas du tout discrète ! Tous les participants de ce RP pensent au moins que Pandi est un panda bionique. Et les perspicaces peuvent penser que c'est un robot :)

_________________Pandi Serkis a effectué 1 lancé(s) d'un Poursuivant (Image non renseignée.) :

Alors euuuh, comment dire... Comment dire que c'était la cata ? La bonne grosse cata ? Ben on va le formuler comme ça, voulez-vous ?

La seule aide qui aurait pu être fonctionnel pour sauver ma soeur est enseveli sous un gros cul poilu, avec une aile qui frétille dans le vide ; je n'ai ab-so-lu-ment aucun moyen d'y remédier ou d'influencer sur quoi que ce soit ; et pour finir le tableau, tous les êtres vivants de l'endroit venaient d'être recouverts d'une quantité franchement impressionnante de peinture. De quoi refaire les murs en fait. On se croyait dans un de ces films où les gens sont tombés dans la boue ou autre, qu'ils se retrouvent maculés des pieds à la tête et que très lentement, ils viennent tous essuyés leurs yeux, dépités. Moi au moins, je restais un ectoplasme parfaitement propre, pas désolé
Je ris aux éclats à cause des phéromones, j'étais surexcité dans le mauvais sens du terme.
Alors je m'éloignai, purement et simplement, d'un pas tranquille dans la direction que Daphné avait commencé à emprunter, mon rire résonnant toujours, comme si je considérais la partie terminée et que je m'en retournais chez moi.
Sauf que non ! Haha, j'vous ai eu ! (Non ? Ah bon... ) En fait, je préservais ma couverture de méchant un peu plus longtemps pour aller voir l'air de rien. Ben c'était un carrefour de couloir. Qu'est-ce qu'on pouvait faire avec ça ?

Tentatives: